
Dans un contexte difficile marqué en France par la résurgence d'attentats terroristes, la mosquée Assalam de Nantes et la mosquée Al-Houda de Saint-Herblain, dans l’agglomération nantaise, ont reçu des courriers contenant des balles. Ces lettres constituent des menaces claires qui ont de quoi effrayer les responsables des deux lieux de culte musulmans et leurs fidèles.
Jeudi 5 novembre, « j’ai trouvé dans la boîte aux lettres une enveloppe fermée et timbrée, à notre adresse. Elle était un peu lourde. Je l’ai ouverte au bureau et j’ai découvert à l’intérieur trois douilles, ou trois cartouches, je ne connais rien aux armes. J’ai appelé de suite la police. Elle a pris la chose très au sérieux », a raconté à 20 Minutes un responsable de la mosquée Al-Houda, qui a déposé plainte.
Les responsables de la mosquée, actuellement fermée au public depuis le reconfinement national, ont indiqué qu’il s’agit de la première menace reçue en 20 ans d’existence.
La mosquée Assalam de Nantes, ouverte en 2012, a également reçu dans le même temps un courrier similaire, avec trois cartouches, qui aurait été envoyé par erreur à Nantes métropole. Contrairement à la mosquée de Saint-Herblain, l'Association islamique de l'ouest de la France (AIOF), qui gère le lieu de culte, n'en est malheureusement pas à la première menace reçue, particulièrement après les attentats de janvier 2015.
« Ce qui nous rassure (les musulmans), ce sont les pouvoirs publics ici avec des gardes régulièrement autour des lieux de culte et le soutien de nos concitoyens », a noté auprès de TéléNantes Belgacem Ben Saïd, imam de la mosquée Assalam.
Jeudi 5 novembre, « j’ai trouvé dans la boîte aux lettres une enveloppe fermée et timbrée, à notre adresse. Elle était un peu lourde. Je l’ai ouverte au bureau et j’ai découvert à l’intérieur trois douilles, ou trois cartouches, je ne connais rien aux armes. J’ai appelé de suite la police. Elle a pris la chose très au sérieux », a raconté à 20 Minutes un responsable de la mosquée Al-Houda, qui a déposé plainte.
Les responsables de la mosquée, actuellement fermée au public depuis le reconfinement national, ont indiqué qu’il s’agit de la première menace reçue en 20 ans d’existence.
La mosquée Assalam de Nantes, ouverte en 2012, a également reçu dans le même temps un courrier similaire, avec trois cartouches, qui aurait été envoyé par erreur à Nantes métropole. Contrairement à la mosquée de Saint-Herblain, l'Association islamique de l'ouest de la France (AIOF), qui gère le lieu de culte, n'en est malheureusement pas à la première menace reçue, particulièrement après les attentats de janvier 2015.
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