Sur le vif
Cinquante-sept pays d'Europe et d'Afrique doivent participer à la Conférence ministérielle euro-africaine sur la migration et le développement, qui se tiendra à Rabat les 10 et 11 juillet, a déclaré mercredi une source officielle dans la capitale marocaine.
Parmi les participants figurent 27 pays africains dont le Maroc et le Sénégal et 3O pays européens dont la France, l'Espagne et l'Italie.
Des organisations internationales non gouvernementales dont le Haut commisariat aux réfugiés (HCR) sont également conviées, a-t-on indiqué.
Bien que le Maroc ne fasse plus partie de l'Union africaine (UA), cette organisation, dont la présidence actuelle est assurée par le Congo, délèguera un représentant à l'invitation du royaume, a-t-on appris auprès des organisateurs marocains.
Mais l'Algérie, dont une partie du territoire sert de zone de transit pour les subsahariens tentant de se rendre en Europe via le Maroc, ne participera pas à la réunion, car elle estime que la question de l'immigration clandestine devrait être débattue dans le cadre de l'UA, et le royaume n'en fait pas partie.
La réunion de Rabat se déroulera au niveau des ministres des Affaires étrangères et de l'Intérieur, a précisé cette source. D'autres pays devront néanmoins être représentés à un niveau moindre.
Les sujets soumis aux débats sont les questions de développement du sud et la coopération régionale en matière de gestion du flux migratoire.
La préparation de la Conférence a été confiée à un "comité de pilotage" comprennant le Maroc, la France, l'Espagne et le Sénégal, selon la même source.
Le 9 juillet, une réunion préparatoire se tiendra au niveau des experts et des hauts fonctionnaires des 57 pays, a-t-on indiqué.
Parmi les participants figurent 27 pays africains dont le Maroc et le Sénégal et 3O pays européens dont la France, l'Espagne et l'Italie.
Des organisations internationales non gouvernementales dont le Haut commisariat aux réfugiés (HCR) sont également conviées, a-t-on indiqué.
Bien que le Maroc ne fasse plus partie de l'Union africaine (UA), cette organisation, dont la présidence actuelle est assurée par le Congo, délèguera un représentant à l'invitation du royaume, a-t-on appris auprès des organisateurs marocains.
Mais l'Algérie, dont une partie du territoire sert de zone de transit pour les subsahariens tentant de se rendre en Europe via le Maroc, ne participera pas à la réunion, car elle estime que la question de l'immigration clandestine devrait être débattue dans le cadre de l'UA, et le royaume n'en fait pas partie.
La réunion de Rabat se déroulera au niveau des ministres des Affaires étrangères et de l'Intérieur, a précisé cette source. D'autres pays devront néanmoins être représentés à un niveau moindre.
Les sujets soumis aux débats sont les questions de développement du sud et la coopération régionale en matière de gestion du flux migratoire.
La préparation de la Conférence a été confiée à un "comité de pilotage" comprennant le Maroc, la France, l'Espagne et le Sénégal, selon la même source.
Le 9 juillet, une réunion préparatoire se tiendra au niveau des experts et des hauts fonctionnaires des 57 pays, a-t-on indiqué.
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