Dernière semaine du festival « Libertés ! » à l’Institut des cultures d’islam, qui, jusqu’au 21 juillet, invite des artistes à s’exprimer un an après le « Printemps arabe ».
Pour la première fois, des pièces chorégraphiques (tarif plein : 8 € ; tarif réduit : 5 €) se jouent à l’ICI, les 19 et 20 juillet, à 20 h 30.
And so !, de Seifeddine Manaï, met en scène, pour 6 danseurs, les espoirs et déceptions de la jeunesse tunisienne. Le solo Égale, de Hamdi Dridi, évoque la « révolution de soi ».
Le 20 juillet, à 22 h 30, un battle de danse fait se confronter les danseurs de la compagnie tunisienne Brotha from another Motha et trois groupes de hip-hop parisiens. Cette cypher session (entrée libre), improvisation de danse libre qui reste ouverte à tous, est animée par la djette Missy Ness.
Le 21 juillet, à 12 h, focus sur la jeunesse révolutionnaire branchée sur Internet, avec une relecture culturelle des soulèvements arabes par Raphaël Liogier, directeur de l’Observatoire du religieux. Également le 21 juillet, à 15 h, l’atelier « Liberté, je grapherai ton nom » initie le jeune public au graffiti.
Tout au long du festival, la plasticienne Majida Khattari, à travers l’exposition « LibertéEs », montre, quant à elle, la chute des dictatures à travers la chute des corps.
Le croisement des disciplines fait ainsi écho aux révolutions arabes en plein cœur de la Goutte-d’Or où est implanté l’ICI (Paris 18e). L’ICI entend montrer la capacité émancipatrice du langage artistique et dépasser les points de vue sur le monde arabe actuellement en ébullition au-delà de l’aspect politique et/ou religieux.
Pour la première fois, des pièces chorégraphiques (tarif plein : 8 € ; tarif réduit : 5 €) se jouent à l’ICI, les 19 et 20 juillet, à 20 h 30.
And so !, de Seifeddine Manaï, met en scène, pour 6 danseurs, les espoirs et déceptions de la jeunesse tunisienne. Le solo Égale, de Hamdi Dridi, évoque la « révolution de soi ».
Le 20 juillet, à 22 h 30, un battle de danse fait se confronter les danseurs de la compagnie tunisienne Brotha from another Motha et trois groupes de hip-hop parisiens. Cette cypher session (entrée libre), improvisation de danse libre qui reste ouverte à tous, est animée par la djette Missy Ness.
Le 21 juillet, à 12 h, focus sur la jeunesse révolutionnaire branchée sur Internet, avec une relecture culturelle des soulèvements arabes par Raphaël Liogier, directeur de l’Observatoire du religieux. Également le 21 juillet, à 15 h, l’atelier « Liberté, je grapherai ton nom » initie le jeune public au graffiti.
Tout au long du festival, la plasticienne Majida Khattari, à travers l’exposition « LibertéEs », montre, quant à elle, la chute des dictatures à travers la chute des corps.
Le croisement des disciplines fait ainsi écho aux révolutions arabes en plein cœur de la Goutte-d’Or où est implanté l’ICI (Paris 18e). L’ICI entend montrer la capacité émancipatrice du langage artistique et dépasser les points de vue sur le monde arabe actuellement en ébullition au-delà de l’aspect politique et/ou religieux.