Mardi, Zinédine Zidane s'est dit "heureux d'être dans son pays d'origine", l'Algérie, où il a été, au second jour de sa visite, fêté comme un héros par de jeunes admirateurs qui l'ont acclamé aux cris de "Tahia ya Zizou" (vive Zizou).
"Je suis heureux d'être dans mon pays d'origine et de partager ce moment avec les Algériens", a-t-il dit dans un point de presse à l'hôtel El-Djazaïr (ex-Saint Georges) à Alger.
"L'Algérie est le pays de mes parents. J'avais envie d'y retourner depuis 20 ans, mais ma carrière ne me l'a pas permis", a-t-il ajouté. Zidane était venu une seule fois en Algérie à l'âge de 15 ans.`
Son père Ismaïl, sa mère Malika et un de ses frères, Nouredine, l'accompagnent.
Zidane a exprimé sa compassion pour les enfants à Boumerdès (50 km à l'est d'Alger), traumatisés par le séisme de 2003, qui a partiellement détruit la ville.
"Le traumatisme (de ces enfants) sera toujours présent", malgré les soins qu'ils reçoivent, a-t-il dit.
L'ex-capitaine des Bleus en a profité pour faire une courte démonstration de ses talents devant de jeunes admirateurs ébahis de l'école de football de la ville.
Il a souhaité que "l'Algérie redevienne la terre paisible qu'elle a toujours été", dans une allusion à la violence islamiste, qui a fait entre 150.000 et 200.000 morts depuis 1992, selon un bilan officiel.
Après la visite du Centre national sportif de Sidi Moussa, vivier de l'élite sportive algérienne, Zidane, de retour à Alger, s'est rendu au service Pierre et Marie-Curie contre le cancer du Centre hospitalo-universitaire Mustapha d'Alger. Il s'est attardé auprès des enfants atteints d'un cancer.
Une foule déchaînée, scandant son nom et difficilement contenue par le service d'ordre, l'a accueilli à l'entrée du CHU. Souriant et détendu, la vedette, en blouson noir, T-shirt blanc et baskets, a salué la foulé d'un geste timide.
Partout où il est passé depuis son arrivée à Alger lundi matin dans un avion spécial de la présidence algérienne, "Zizou" a été reçu comme un chef d'Etat par les autorités et accueilli en héros par des milliers d'enfants et d'adolescents.
Intimidé par la foule et affecté par la chaleur, il a répondu par des paroles simples aux acclamations de ses admirateurs en délire dansant au son des "t'bels" (tambours) des groupes folkloriques.
"Je dis merci à tous ceux qui m'ont chaleureusement accueilli", a-t-il déclaré lundi soir, à l'issue d'une journée harassante, passée à galoper pour inaugurer des oeuvres caritatives et des unités de soins pour enfants dans plusieurs villages de la région de Boumerdès.
Mercredi, le président algérien Abdelaziz Bouteflika doit décorer Zidane de l'ordre "Athir", l'équivalent national de la Légion d'honneur française, marquant ainsi le lien entre le champion du monde 1998 et le pays d'origine de ses parents.
"Je suis heureux d'être dans mon pays d'origine et de partager ce moment avec les Algériens", a-t-il dit dans un point de presse à l'hôtel El-Djazaïr (ex-Saint Georges) à Alger.
"L'Algérie est le pays de mes parents. J'avais envie d'y retourner depuis 20 ans, mais ma carrière ne me l'a pas permis", a-t-il ajouté. Zidane était venu une seule fois en Algérie à l'âge de 15 ans.`
Son père Ismaïl, sa mère Malika et un de ses frères, Nouredine, l'accompagnent.
Zidane a exprimé sa compassion pour les enfants à Boumerdès (50 km à l'est d'Alger), traumatisés par le séisme de 2003, qui a partiellement détruit la ville.
"Le traumatisme (de ces enfants) sera toujours présent", malgré les soins qu'ils reçoivent, a-t-il dit.
L'ex-capitaine des Bleus en a profité pour faire une courte démonstration de ses talents devant de jeunes admirateurs ébahis de l'école de football de la ville.
Il a souhaité que "l'Algérie redevienne la terre paisible qu'elle a toujours été", dans une allusion à la violence islamiste, qui a fait entre 150.000 et 200.000 morts depuis 1992, selon un bilan officiel.
Après la visite du Centre national sportif de Sidi Moussa, vivier de l'élite sportive algérienne, Zidane, de retour à Alger, s'est rendu au service Pierre et Marie-Curie contre le cancer du Centre hospitalo-universitaire Mustapha d'Alger. Il s'est attardé auprès des enfants atteints d'un cancer.
Une foule déchaînée, scandant son nom et difficilement contenue par le service d'ordre, l'a accueilli à l'entrée du CHU. Souriant et détendu, la vedette, en blouson noir, T-shirt blanc et baskets, a salué la foulé d'un geste timide.
Partout où il est passé depuis son arrivée à Alger lundi matin dans un avion spécial de la présidence algérienne, "Zizou" a été reçu comme un chef d'Etat par les autorités et accueilli en héros par des milliers d'enfants et d'adolescents.
Intimidé par la foule et affecté par la chaleur, il a répondu par des paroles simples aux acclamations de ses admirateurs en délire dansant au son des "t'bels" (tambours) des groupes folkloriques.
"Je dis merci à tous ceux qui m'ont chaleureusement accueilli", a-t-il déclaré lundi soir, à l'issue d'une journée harassante, passée à galoper pour inaugurer des oeuvres caritatives et des unités de soins pour enfants dans plusieurs villages de la région de Boumerdès.
Mercredi, le président algérien Abdelaziz Bouteflika doit décorer Zidane de l'ordre "Athir", l'équivalent national de la Légion d'honneur française, marquant ainsi le lien entre le champion du monde 1998 et le pays d'origine de ses parents.