Dimanche, George Bush a partagé la douleur de la famille et des proches du 3.000e soldat américain mort en Irak, mais a prévenu qu'aucune issue rapide au conflit n'était envisageable, rapporte la Maison blanche.
Selon le site internet www.icasualties.org, qui fait autorité dans le recensement des pertes américaines, le cap des 3.000 soldats américains tués en Irak depuis mars 2003 a été atteint avec la mort, le 28 décembre, de Dustin R. Donica, 22 ans, qui n'avait pas été signalée jusqu'ici.
Des organisations pacifistes ont annoncé une série de rassemblements et de veillées funèbres pour honorer sa mémoire et pour plaider en faveur d'un retrait des "boys".
A Santa Monica, en Californie, où des croix sont érigées dans le sable pour chacun des soldats tombés en Irak, des anciens combattants ont organisé dimanche soir une veillée à la bougie. "Nous ne voulons pas que les gens oublient le coût de cette guerre", a expliqué Chuck Nixon, des Veterans for Peace (Anciens combattants pour la paix).
Mais pour plusieurs analystes, ce chiffre est avant tout symbolique et ne devrait pas avoir une grande portée politique ou militaire.
Ce cap des 3.000 morts est atteint au moment où George Bush, sous la pression de l'opinion publique américaine et des cercles dirigeants, étudie une modification de la stratégie - et notamment un éventuel renforcement des effectifs - face à la détérioration de la situation en Irak où les violences quotidiennes ont déjà tué des dizaines de milliers d'Irakiens.
"Le président croit que toute vie est précieuse et pleure chaque vie perdue", a déclaré Scott Stanzel, porte-parole de la présidence. "Il s'assurera que leur sacrifice n'aura pas été fait en vain."
Selon le site internet www.icasualties.org, qui fait autorité dans le recensement des pertes américaines, le cap des 3.000 soldats américains tués en Irak depuis mars 2003 a été atteint avec la mort, le 28 décembre, de Dustin R. Donica, 22 ans, qui n'avait pas été signalée jusqu'ici.
Des organisations pacifistes ont annoncé une série de rassemblements et de veillées funèbres pour honorer sa mémoire et pour plaider en faveur d'un retrait des "boys".
A Santa Monica, en Californie, où des croix sont érigées dans le sable pour chacun des soldats tombés en Irak, des anciens combattants ont organisé dimanche soir une veillée à la bougie. "Nous ne voulons pas que les gens oublient le coût de cette guerre", a expliqué Chuck Nixon, des Veterans for Peace (Anciens combattants pour la paix).
Mais pour plusieurs analystes, ce chiffre est avant tout symbolique et ne devrait pas avoir une grande portée politique ou militaire.
Ce cap des 3.000 morts est atteint au moment où George Bush, sous la pression de l'opinion publique américaine et des cercles dirigeants, étudie une modification de la stratégie - et notamment un éventuel renforcement des effectifs - face à la détérioration de la situation en Irak où les violences quotidiennes ont déjà tué des dizaines de milliers d'Irakiens.
"Le président croit que toute vie est précieuse et pleure chaque vie perdue", a déclaré Scott Stanzel, porte-parole de la présidence. "Il s'assurera que leur sacrifice n'aura pas été fait en vain."