Sur le vif
Mardi, les associations de lutte contre la pauvreté se sont retrouvées au Trocadéro à l'occasion de la Journée mondiale du refus de la misère.
Comme chaque année depuis vingt ans, bénévoles, militants, et "personnes en grande exclusion" se sont donnés rendez-vous près de la dalle scellée le 17 octobre 1987 par le fondateur d'ATD Quart Monde, Joseph Wrésinski, en l'honneur des victimes de la misère.
A la veille d'importantes échéances électorales en France, les associations -- ATD Quart Monde, Amnesty international, le Secours catholique et la coalition Action mondiale contre la pauvreté regroupant 68 associations -- ont interpellé les "futurs élus", dénonçant l'aggravation de la pauvreté et le "manque de volonté politique de ceux qui nous gouvernent" en la matière.
Mais elles ont aussi fustigé, dans un appel commun, "l'insuffisance de réactions collectives face à la misère". "C'est à chacun de nous d'agir pour refuser les réflexes d'exclusion, pour nous révolter contre les atteintes aux droits", ont-elles souligné, "nous avons une véritable bataille d'opinion à mener".
Au coeur des préoccupations des associations, le logement, qui détermine bien souvent l'accès à l'emploi, à la santé, la réussite scolaire des enfants, l'intégration sociale.
Comme chaque année depuis vingt ans, bénévoles, militants, et "personnes en grande exclusion" se sont donnés rendez-vous près de la dalle scellée le 17 octobre 1987 par le fondateur d'ATD Quart Monde, Joseph Wrésinski, en l'honneur des victimes de la misère.
A la veille d'importantes échéances électorales en France, les associations -- ATD Quart Monde, Amnesty international, le Secours catholique et la coalition Action mondiale contre la pauvreté regroupant 68 associations -- ont interpellé les "futurs élus", dénonçant l'aggravation de la pauvreté et le "manque de volonté politique de ceux qui nous gouvernent" en la matière.
Mais elles ont aussi fustigé, dans un appel commun, "l'insuffisance de réactions collectives face à la misère". "C'est à chacun de nous d'agir pour refuser les réflexes d'exclusion, pour nous révolter contre les atteintes aux droits", ont-elles souligné, "nous avons une véritable bataille d'opinion à mener".
Au coeur des préoccupations des associations, le logement, qui détermine bien souvent l'accès à l'emploi, à la santé, la réussite scolaire des enfants, l'intégration sociale.
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