Sur le vif
Sept Palestiniens ont été tués lundi, premier jour de la fête musulmane du Fitr, qualifiée de "massacre" par l'Autorité palestinienne.
"Le président Mahmoud Abbas condamne le massacre à Beit Hanoun au moment où le peuple palestinien célèbre l'Aïd al-Fitr" et "demande l'intervention au plus vite" de la communauté internationale, a indiqué un communiqué de son bureau.
Pour le gouvernement dirigé par le Hamas, "ce massacre horrible prouve pour la millième fois que le gouvernement de l'occupation poursuit une politique visant à faire plonger la bande de Gaza dans la spirale de la violence sanglante".
Il a regretté dans un communiqué l'absence de "mesures sérieuses" de la communauté internationale pour "mettre un terme à ces massacres".
Selon des témoins, une unité spéciale, embusquée à Beit Hanoun dans le nord de la bande de Gaza, a ouvert le feu et tué Atta al-Chimbari, un chef local du groupe armé des Comités de la résistance populaire alors qu'il se rendait chez sa famille pour célébrer la fête du Fitr.
Deux de ses frères, Khaled et Kamel, son cousin, Ibrahim, et son neveu, Mohammed, ont péri avec lui. Un voisin de la famille Chimbari, Rami Hamdane, a aussi trouvé la mort.
Au moins 25 personnes ont été blessées, dont trois grièvement, selon une source médicale. L'un des blessés est décédé ensuite à l'hôpital.
"C'est une opération d'assassinat ciblé claire. Atta al-Chimbari ne menait pas une opération militaire" au moment des tirs, a affirmé à l'AFP un porte-parole des Comités de la résistance populaire, Abou Moujahid.
Selon les témoins et une source de sécurité, des chars israéliens, entrés dans le secteur, ont tiré des obus lors de l'assaut.
Une porte-parole de l'armée a indiqué qu'au "moins dix Palestiniens armés" avaient été touchés par les tirs de soldats.
"Nos forces opèrent contre les tirs de roquettes Qassam depuis le nord de Gaza. Nous avons considérablement fait baisser le nombre de roquettes tirées ces derniers jours", a indiqué à l'AFP le commandant Tal Lev-Ram.
"Le président Mahmoud Abbas condamne le massacre à Beit Hanoun au moment où le peuple palestinien célèbre l'Aïd al-Fitr" et "demande l'intervention au plus vite" de la communauté internationale, a indiqué un communiqué de son bureau.
Pour le gouvernement dirigé par le Hamas, "ce massacre horrible prouve pour la millième fois que le gouvernement de l'occupation poursuit une politique visant à faire plonger la bande de Gaza dans la spirale de la violence sanglante".
Il a regretté dans un communiqué l'absence de "mesures sérieuses" de la communauté internationale pour "mettre un terme à ces massacres".
Selon des témoins, une unité spéciale, embusquée à Beit Hanoun dans le nord de la bande de Gaza, a ouvert le feu et tué Atta al-Chimbari, un chef local du groupe armé des Comités de la résistance populaire alors qu'il se rendait chez sa famille pour célébrer la fête du Fitr.
Deux de ses frères, Khaled et Kamel, son cousin, Ibrahim, et son neveu, Mohammed, ont péri avec lui. Un voisin de la famille Chimbari, Rami Hamdane, a aussi trouvé la mort.
Au moins 25 personnes ont été blessées, dont trois grièvement, selon une source médicale. L'un des blessés est décédé ensuite à l'hôpital.
"C'est une opération d'assassinat ciblé claire. Atta al-Chimbari ne menait pas une opération militaire" au moment des tirs, a affirmé à l'AFP un porte-parole des Comités de la résistance populaire, Abou Moujahid.
Selon les témoins et une source de sécurité, des chars israéliens, entrés dans le secteur, ont tiré des obus lors de l'assaut.
Une porte-parole de l'armée a indiqué qu'au "moins dix Palestiniens armés" avaient été touchés par les tirs de soldats.
"Nos forces opèrent contre les tirs de roquettes Qassam depuis le nord de Gaza. Nous avons considérablement fait baisser le nombre de roquettes tirées ces derniers jours", a indiqué à l'AFP le commandant Tal Lev-Ram.
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