Sur le vif
A l'heure où le Proche-Orient connaît une explosion de violence, Vladimir Poutine a déclaré dimanche qu'il ne regrettait pas d'avoir invité cette année des dirigeants du Hamas à venir à Moscou.
Il a aussi affirmé que les contacts entamés par la Russie pour obtenir la libération des soldats israéliens enlevés par le Hezbollah permettaient d'espérer que les efforts de Moscou "ne seraient pas vains", tout en soulignant qu'il ne pouvait pas divulguer de plus de détails.
Le président russe a seulement précisé lors d'une conférence de presse à Saint-Pétersbourg, que son pays était en contact "pratiquement constamment" avec "toutes les parties impliquées dans le conflit", ce qui, a-t-il dit, "nous aide" à l'heure actuelle.
"Sous aucun prétexte, on peut enlever des personnes" et tirer des "roquettes sur le territoire d'un Etat depuis le territoire d'un autre" pays, a-t-il aussi estimé.
Critiqué au sein de la communauté internationale pour avoir invité cette année à Moscou des dirigeants du Hamas, le président russe a par ailleurs souligné qu'il s'agissait d'une décision réfléchie. "Nous ne regrettons rien", a-t-il dit. "On devrait négocier non pas avec ceux qui sont agréables en tant que partenaires" mais "avec ceux qui peuvent influencer la situation, ceux qui peuvent influencer" leur "peuple".
Il a aussi affirmé que les contacts entamés par la Russie pour obtenir la libération des soldats israéliens enlevés par le Hezbollah permettaient d'espérer que les efforts de Moscou "ne seraient pas vains", tout en soulignant qu'il ne pouvait pas divulguer de plus de détails.
Le président russe a seulement précisé lors d'une conférence de presse à Saint-Pétersbourg, que son pays était en contact "pratiquement constamment" avec "toutes les parties impliquées dans le conflit", ce qui, a-t-il dit, "nous aide" à l'heure actuelle.
"Sous aucun prétexte, on peut enlever des personnes" et tirer des "roquettes sur le territoire d'un Etat depuis le territoire d'un autre" pays, a-t-il aussi estimé.
Critiqué au sein de la communauté internationale pour avoir invité cette année à Moscou des dirigeants du Hamas, le président russe a par ailleurs souligné qu'il s'agissait d'une décision réfléchie. "Nous ne regrettons rien", a-t-il dit. "On devrait négocier non pas avec ceux qui sont agréables en tant que partenaires" mais "avec ceux qui peuvent influencer la situation, ceux qui peuvent influencer" leur "peuple".
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