L'ayatollah Ali Khamenei a affirmé que l'Iran ne renoncerait pas à son droit à maîtriser la technologie nucléaire.
"Notre politique est claire et logique et nous insistons sur le droit de notre nation (à développer un programme nucléaire) sans avoir à battre en retraite", a déclaré le plus haut dignitaire politico-religieux de la République islamique cité par la télévision d'Etat.
Cette déclaration intervient au lendemain de l'annonce par la Corée du Nord de son premier essai nucléaire.
Téhéran, lui-même soupçonné de chercher à se doter de l'arme atomique sous couvert d'un programme énergétique civil, a réagi à l'annonce de ce test en se disant hostile à tout arsenal militaire nucléaire.
"L'Iran est hostile à l'utilisation et à la production d'armes nucléaires. Aucun pays n'est qualifié pour utiliser des armes nucléaires", a déclaré le port-parole du gouvernement, Gholamhossein Elham.
Elham a réaffirmé que l'Iran n'avait nullement l'intention de se doter de l'arme atomique.
"Le programme atomique de l'Iran est transparent et ne devrait pas être considéré comme étant une menace", a-t-il dit avant d'inviter les puissances occidentales et les autres membres du "club nucléaire" à engager leur propre désarmement.
Des responsables occidentaux, y compris américains, soulignent que l'Iran et la Corée du Nord constituent deux dossiers différents nécessitant des traitements différents.
L'Iran est signataire du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et défend à ce titre son droit à la technologie nucléaire civile. La Corée du Nord s'est retirée du TNP en 2003.
"Notre politique est claire et logique et nous insistons sur le droit de notre nation (à développer un programme nucléaire) sans avoir à battre en retraite", a déclaré le plus haut dignitaire politico-religieux de la République islamique cité par la télévision d'Etat.
Cette déclaration intervient au lendemain de l'annonce par la Corée du Nord de son premier essai nucléaire.
Téhéran, lui-même soupçonné de chercher à se doter de l'arme atomique sous couvert d'un programme énergétique civil, a réagi à l'annonce de ce test en se disant hostile à tout arsenal militaire nucléaire.
"L'Iran est hostile à l'utilisation et à la production d'armes nucléaires. Aucun pays n'est qualifié pour utiliser des armes nucléaires", a déclaré le port-parole du gouvernement, Gholamhossein Elham.
Elham a réaffirmé que l'Iran n'avait nullement l'intention de se doter de l'arme atomique.
"Le programme atomique de l'Iran est transparent et ne devrait pas être considéré comme étant une menace", a-t-il dit avant d'inviter les puissances occidentales et les autres membres du "club nucléaire" à engager leur propre désarmement.
Des responsables occidentaux, y compris américains, soulignent que l'Iran et la Corée du Nord constituent deux dossiers différents nécessitant des traitements différents.
L'Iran est signataire du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et défend à ce titre son droit à la technologie nucléaire civile. La Corée du Nord s'est retirée du TNP en 2003.