Sur le vif
Djamel Oueld Abbes, ministre algérien de l’Emploi et de la Solidarité Nationale, a déclaré samedi (5 août) que le gouvernement n’avait pas pu obtenir l’approbation de l’ONU d’utiliser le pont aérien sécurisé entre Amman et Beyrouth.
Quatre avions militaires, avec à leur bord 90 tonnes d’aide humanitaire et une équipe de 13 médecins et psychologues, devaient décoller de l’aéroport de Boufarik.
Il a indiqué que le gouvernement ne souhaitait pas acheminer l’aide par la route, car l’expérience prouvait que cela était inefficace, prenait beaucoup trop de temps et ne garantissait nullement l’arrivée des marchandises.
Quatre avions militaires, avec à leur bord 90 tonnes d’aide humanitaire et une équipe de 13 médecins et psychologues, devaient décoller de l’aéroport de Boufarik.
Il a indiqué que le gouvernement ne souhaitait pas acheminer l’aide par la route, car l’expérience prouvait que cela était inefficace, prenait beaucoup trop de temps et ne garantissait nullement l’arrivée des marchandises.
Qui sommes-nous ?
