Sur le vif
Vendredi, les premiers soldats turcs venus renforcer la force internationale de l'Onu ont pris pied au Liban pour la première fois depuis la fin de l'Empire ottoman.
L'arrivée des deux-cent soixante et un personnels, acheminés par mer et par voie aérienne, porte les effectifs actuels de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) à un peu plus de 7.200 hommes, soit la moitié environ des 15.000 prévus en vertu de la résolution 1701 du Conseil de sécurité.
La Turquie est le premier pays musulman à envoyer des troupes participer à la Finul renforcée.
Deux bâtiments de la marine turque, l'Iskenderun et le Serdar, pavoisés aux couleurs turques et libanaises, ont accosté dans le port de Beyrouth en début de matinée vendredi, salués par un violent orage.
Selon l'ambassadeur de Turquie au Liban venu les accueillir, Ifan Acar, deux autres devaient suivre dans la journée, acheminant 95 hommes et du matériel, essentiellement des véhicules (46 camions, 4 transports de troupes blindés, 13 engins de travaux).
Les autres renforts de 166 hommes ont suivi à la mi-journée à bord d'un appareil civil qui s'est posé peu avant 13HOO sur l'aéroport international de Beyrouth en provenance d'Ankara. Salués par l'ambassadeur, les soldats arboraient tous le casque bleu et l'écusson des Nations unies au bras droit.
Sept officiers turcs se trouvaient déjà depuis le 10 octobre au QG de la Finul à Naqoura (sud).
"Notre contingent aura essentiellement une mission de soutien logistique à la Finul", a indiqué l'ambassadeur Acar à l'AFP.
Un communiqué rédigé en turc, distribué par les officiers de l'Iskenderun, précisait que les troupes turques venaient reconstruire des infrastructures endommagées, en premier lieu des ponts, et qu'elles procèderaient au déminage de la zone "autour de leur base" dans le sud du pays.
L'arrivée des deux-cent soixante et un personnels, acheminés par mer et par voie aérienne, porte les effectifs actuels de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) à un peu plus de 7.200 hommes, soit la moitié environ des 15.000 prévus en vertu de la résolution 1701 du Conseil de sécurité.
La Turquie est le premier pays musulman à envoyer des troupes participer à la Finul renforcée.
Deux bâtiments de la marine turque, l'Iskenderun et le Serdar, pavoisés aux couleurs turques et libanaises, ont accosté dans le port de Beyrouth en début de matinée vendredi, salués par un violent orage.
Selon l'ambassadeur de Turquie au Liban venu les accueillir, Ifan Acar, deux autres devaient suivre dans la journée, acheminant 95 hommes et du matériel, essentiellement des véhicules (46 camions, 4 transports de troupes blindés, 13 engins de travaux).
Les autres renforts de 166 hommes ont suivi à la mi-journée à bord d'un appareil civil qui s'est posé peu avant 13HOO sur l'aéroport international de Beyrouth en provenance d'Ankara. Salués par l'ambassadeur, les soldats arboraient tous le casque bleu et l'écusson des Nations unies au bras droit.
Sept officiers turcs se trouvaient déjà depuis le 10 octobre au QG de la Finul à Naqoura (sud).
"Notre contingent aura essentiellement une mission de soutien logistique à la Finul", a indiqué l'ambassadeur Acar à l'AFP.
Un communiqué rédigé en turc, distribué par les officiers de l'Iskenderun, précisait que les troupes turques venaient reconstruire des infrastructures endommagées, en premier lieu des ponts, et qu'elles procèderaient au déminage de la zone "autour de leur base" dans le sud du pays.
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