Un photographe de l'Agence France-Presse enlevé à Gaza a été relâché après avoir été retenu pendant près d'une semaine par ses ravisseurs, rapportent des responsables.
Jaime Razuri, un Péruvien âgé de cinquante ans, avait été enlevé lundi dernier par des inconnus devant le bureau de l'AFP à Gaza. Des agents de sécurité palestiniens l'ont conduit dimanche au bureau du président palestinien Mahmoud Abbas.
"Les efforts déployés par toutes les parties ont permis le retour du journaliste péruvien", a déclaré Tayeb Abdel-Rahim, collaborateur d'Abbas. "Il est maintenant libre. Les services de sécurité poursuivront leur travail pour mettre la main sur ses ravisseurs".
L'enlèvement n'a pas été revendiqué.
Il est le dernier d'une série de rapts de journalistes et de travailleurs humanitaires étrangers ces derniers mois dans la bande de Gaza. Tous ont été relâchés sains et saufs.
"Je me réjouis de la libération de M. Jaime Razuri et je remercie tous ceux qui y ont contribué", a réagi le ministre français des Affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, dans une déclaration.
Des collègues de Razuri avaient dit cette semaine qu'il craignaient pour sa santé parce qu'il devait prendre différents médicaments, notamment pour soigner un problème cardiaque.
Les ravisseurs enlèvent généralement des étrangers pour tenter de faire pression sur le gouvernement palestinien afin par exemple d'obtenir un emploi. Ils cherchent aussi parfois à faire libérer des camarades emprisonnés, notamment en Israël.
Jaime Razuri, un Péruvien âgé de cinquante ans, avait été enlevé lundi dernier par des inconnus devant le bureau de l'AFP à Gaza. Des agents de sécurité palestiniens l'ont conduit dimanche au bureau du président palestinien Mahmoud Abbas.
"Les efforts déployés par toutes les parties ont permis le retour du journaliste péruvien", a déclaré Tayeb Abdel-Rahim, collaborateur d'Abbas. "Il est maintenant libre. Les services de sécurité poursuivront leur travail pour mettre la main sur ses ravisseurs".
L'enlèvement n'a pas été revendiqué.
Il est le dernier d'une série de rapts de journalistes et de travailleurs humanitaires étrangers ces derniers mois dans la bande de Gaza. Tous ont été relâchés sains et saufs.
"Je me réjouis de la libération de M. Jaime Razuri et je remercie tous ceux qui y ont contribué", a réagi le ministre français des Affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, dans une déclaration.
Des collègues de Razuri avaient dit cette semaine qu'il craignaient pour sa santé parce qu'il devait prendre différents médicaments, notamment pour soigner un problème cardiaque.
Les ravisseurs enlèvent généralement des étrangers pour tenter de faire pression sur le gouvernement palestinien afin par exemple d'obtenir un emploi. Ils cherchent aussi parfois à faire libérer des camarades emprisonnés, notamment en Israël.







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