Selon l'ambassadeur britannique aux Nations unies, le Hezbollah demande des compensations en retour de signes de vie des deux soldats israéliens qu'il détient depuis juillet dernier. L'enlèvement des deux soldats avait provoqué le conflit armé entre Israël et le Hezbollah, qui a duré 34 jours cet été.
Cheikh Hassan Nasrallah, dirigeant du Hezbollah, a révélé mardi que des "sérieuses négociations" sont en cours sur le sort des deux soldats.
"Ils demandent un prix pour une preuve de vie", a déclaré jeudi l'ambassadeur britannique auprès de l'ONU, Emyr Jones Parry, ajoutant qu'il ne disposait d'aucun détail supplémentaire.
Dans une interview mardi sur la chaîne du Hezbollah al-Manar, le chef du mouvement chiite libanais a expliqué qu'un médiateur nommé par le secrétaire général des Nations unies Kofi Annan avait rencontré des responsables israéliens et des représentants du Hezbollah. Il n'a pas identifié ce médiateur.
Côté israélien, on refusait mercredi de confirmer des pourparlers directs avec le Hezbollah.
Cheikh Hassan Nasrallah, dirigeant du Hezbollah, a révélé mardi que des "sérieuses négociations" sont en cours sur le sort des deux soldats.
"Ils demandent un prix pour une preuve de vie", a déclaré jeudi l'ambassadeur britannique auprès de l'ONU, Emyr Jones Parry, ajoutant qu'il ne disposait d'aucun détail supplémentaire.
Dans une interview mardi sur la chaîne du Hezbollah al-Manar, le chef du mouvement chiite libanais a expliqué qu'un médiateur nommé par le secrétaire général des Nations unies Kofi Annan avait rencontré des responsables israéliens et des représentants du Hezbollah. Il n'a pas identifié ce médiateur.
Côté israélien, on refusait mercredi de confirmer des pourparlers directs avec le Hezbollah.