Sur le vif
Mardi, une délégation de la Ligue arabe a mis en garde le Conseil de sécurité contre le risque de guerre civile au Liban en l'absence d'un cessez-le-feu immédiat et d'un retrait des forces israéliennes du sud du pays.
Le cheikh Hamed ben Yassem ben Djabr al Thani, ministre des Affaires étrangères du Qatar et chef d'une délégation de trois pays membres de la Ligue, a estimé que l'adoption d'une résolution non contraignante aurait des "conséquences graves" pour le Liban.
"Si nous adoptons la résolution sans étudier à fond la réalité du Liban, nous nous exposons à une guerre civile", a-t-il dit. "Au lieu d'aider le Liban, nous détruirons le Liban."
Confrontés à de fortes objections émanant du monde arabe, la France et les Etats-Unis remanient leur projet de résolution visant à mettre fin à quatre semaines de conflit au Proche Orient.
"Mon objectif est d'incorporer au texte certaines idées qui nous ont été soumises ces derniers jours", a déclaré l'ambassadeur de France à l'Onu, Jean-Marc de la Sablière, aux journalistes.
Son porte-parole a fermement démenti les rumeurs selon lesquelles la France se serait distancée des Etats-Unis en appelant à un retrait israélien immédiat du Liban. Il a ajouté que les négociations entre Français et Américains se poursuivaient.
Aucun vote ne devrait avoir lieu avant jeudi, au plus tôt. Le texte n'a pas encore été officiellement présenté aux 15 membres du Conseil de sécurité, ce qui est fait en général 24 heures avant un vote.
Le cheikh Hamed ben Yassem ben Djabr al Thani, ministre des Affaires étrangères du Qatar et chef d'une délégation de trois pays membres de la Ligue, a estimé que l'adoption d'une résolution non contraignante aurait des "conséquences graves" pour le Liban.
"Si nous adoptons la résolution sans étudier à fond la réalité du Liban, nous nous exposons à une guerre civile", a-t-il dit. "Au lieu d'aider le Liban, nous détruirons le Liban."
Confrontés à de fortes objections émanant du monde arabe, la France et les Etats-Unis remanient leur projet de résolution visant à mettre fin à quatre semaines de conflit au Proche Orient.
"Mon objectif est d'incorporer au texte certaines idées qui nous ont été soumises ces derniers jours", a déclaré l'ambassadeur de France à l'Onu, Jean-Marc de la Sablière, aux journalistes.
Son porte-parole a fermement démenti les rumeurs selon lesquelles la France se serait distancée des Etats-Unis en appelant à un retrait israélien immédiat du Liban. Il a ajouté que les négociations entre Français et Américains se poursuivaient.
Aucun vote ne devrait avoir lieu avant jeudi, au plus tôt. Le texte n'a pas encore été officiellement présenté aux 15 membres du Conseil de sécurité, ce qui est fait en général 24 heures avant un vote.
Qui sommes-nous ?
