Sur le vif
Vendredi, le secrétaire général des Nations unies Kofi Annan et les Etats-Unis ont affiché publiquement leurs désaccords sur les raisons de la montée de violences dans la Bande de Gaza, le premier l'attribuant aux opérations israéliennes alors que les seconds ont mis en cause les attaques contre Israël.
Le bureau de Kofi Annan a estimé dans un communiqué que l'escalade de violences et l'augmentation du nombre de victime étaient causées par l'opération militaire israélienne dans le nord de la Bande de Gaza.
De son côté, le Département d'Etat américain a déclaré que "tout cela s'est développé d'abord parce qu'il y a des attaques continues contre Israël depuis les territoires de l'Autorité palestinienne". Le porte-parole de la diplomatie américaine, Sean McCormack, a répété que l'administration Bush considérait qu'Israël avait le droit de se défendre.
Le communiqué diffusé par le porte-parole de Kofi Annan pressait l'Etat hébreu de faire preuve d'une retenue maximale, de faire tout son possible pour protéger les civiles et d'éviter l'escalade dans une situation déjà grave.
Kofi Annan "appelle également les militants palestiniens à cesser les tirs de roquettes contre les cibles civiles israéliennes", précise le communiqué.
Sean McCormack a prononcé des mots plus sévères sur ce point, affirmant qu'il était important que l'Autorité palestinienne mette fin aux attaques à la roquette et démantèle les organisations et groupes terroristes. "C'est un peu plus difficile quand vous avez une organisation terroriste à la tête du gouvernement", a-t-il ajouté en référence au Hamas.
Le bureau de Kofi Annan a estimé dans un communiqué que l'escalade de violences et l'augmentation du nombre de victime étaient causées par l'opération militaire israélienne dans le nord de la Bande de Gaza.
De son côté, le Département d'Etat américain a déclaré que "tout cela s'est développé d'abord parce qu'il y a des attaques continues contre Israël depuis les territoires de l'Autorité palestinienne". Le porte-parole de la diplomatie américaine, Sean McCormack, a répété que l'administration Bush considérait qu'Israël avait le droit de se défendre.
Le communiqué diffusé par le porte-parole de Kofi Annan pressait l'Etat hébreu de faire preuve d'une retenue maximale, de faire tout son possible pour protéger les civiles et d'éviter l'escalade dans une situation déjà grave.
Kofi Annan "appelle également les militants palestiniens à cesser les tirs de roquettes contre les cibles civiles israéliennes", précise le communiqué.
Sean McCormack a prononcé des mots plus sévères sur ce point, affirmant qu'il était important que l'Autorité palestinienne mette fin aux attaques à la roquette et démantèle les organisations et groupes terroristes. "C'est un peu plus difficile quand vous avez une organisation terroriste à la tête du gouvernement", a-t-il ajouté en référence au Hamas.
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