Sur le vif
Mercredi, le président congolais Joseph Kabila a donné quarante-huit heures aux forces de l'Onu pour chasser de Kinshasa les miliciens de son rival Jean-Pierre Bemba, faute de quoi il menace d'envoyer l'armée nationale.
Cet ultimatum a été transmis verbalement au chef de la mission des Nations unies au Congo (Monuc), William Swing, a-t-on précisé de sources congolaise et onusienne.
Il intervient au lendemain de l'attaque de la Cour suprême congolaise par des partisans de l'ancien chef rebelle Jean-Pierre Bemba.
Le bâtiment a été incendié mardi lors d'une manifestation de partisans de Bemba qui a dégénéré lorsque des inconnus ont ouvert le feu à l'arme automatique, contraignant les hommes de la Monuc à tirer des coups de semonce pour maintenir la foule en respect.
L'émeute a interrompu une audience de la Cour suprême chargée d'examiner un recours de Bemba contre les résultats provisoires du second tour de l'élection présidentielle, le 29 octobre, donnant la victoire au président sortant Joseph Kabila.
La confirmation des résultats par la Cour est nécessaire à leur validation.
Cet ultimatum a été transmis verbalement au chef de la mission des Nations unies au Congo (Monuc), William Swing, a-t-on précisé de sources congolaise et onusienne.
Il intervient au lendemain de l'attaque de la Cour suprême congolaise par des partisans de l'ancien chef rebelle Jean-Pierre Bemba.
Le bâtiment a été incendié mardi lors d'une manifestation de partisans de Bemba qui a dégénéré lorsque des inconnus ont ouvert le feu à l'arme automatique, contraignant les hommes de la Monuc à tirer des coups de semonce pour maintenir la foule en respect.
L'émeute a interrompu une audience de la Cour suprême chargée d'examiner un recours de Bemba contre les résultats provisoires du second tour de l'élection présidentielle, le 29 octobre, donnant la victoire au président sortant Joseph Kabila.
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