Sur le vif
Jacques Chirac demande la mise en place de "corridors humanitaires" au Liban pour permettre à la population de se déplacer en sécurité à l'intérieur du pays, ou éventuellement de le quitter.
Le chef de l'Etat a aussi annoncé l'envoi par la France de matériel (groupes électrogènes à destination des hôpitaux, systèmes de purification d'eau) et de médicaments pour venir en aide à la population libanaise bombardée depuis une semaine.
Cette aide sera acheminée "dans les heures qui viennent" à Chypre par un avion gros porteur, puis envoyée au Liban par bateau, a précisé le président de la République, lors d'une brève déclaration à l'Elysée après une réunion interministérielle sur la situation humanitaire au Liban.
"Il y a deux urgences auxquelles il faut immédiatement répondre", a-t-il dit : "Une trêve humanitaire (...) et établir des corridors humanitaires à l'intérieur du Liban pour permettre le déplacement des populations qui ont besoin de bouger au Liban, et qui doivent pouvoir le faire en toute sécurité."
Jacques Chirac souhaite aussi la création de couloirs sécurisés entre le Liban et l'extérieur du pays, c'est-à-dire essentiellement Chypre, par où transitent aujourd'hui les personnes qui veulent fuir les bombardements.
Ces décisions ont été prises "en liaison étroite avec le gouvernement libanais", a-t-il précisé. "Je peux vous dire que nous y mettons à la fois tous nos moyens et tout notre coeur".
Le chef de l'Etat a aussi annoncé l'envoi par la France de matériel (groupes électrogènes à destination des hôpitaux, systèmes de purification d'eau) et de médicaments pour venir en aide à la population libanaise bombardée depuis une semaine.
Cette aide sera acheminée "dans les heures qui viennent" à Chypre par un avion gros porteur, puis envoyée au Liban par bateau, a précisé le président de la République, lors d'une brève déclaration à l'Elysée après une réunion interministérielle sur la situation humanitaire au Liban.
"Il y a deux urgences auxquelles il faut immédiatement répondre", a-t-il dit : "Une trêve humanitaire (...) et établir des corridors humanitaires à l'intérieur du Liban pour permettre le déplacement des populations qui ont besoin de bouger au Liban, et qui doivent pouvoir le faire en toute sécurité."
Jacques Chirac souhaite aussi la création de couloirs sécurisés entre le Liban et l'extérieur du pays, c'est-à-dire essentiellement Chypre, par où transitent aujourd'hui les personnes qui veulent fuir les bombardements.
Ces décisions ont été prises "en liaison étroite avec le gouvernement libanais", a-t-il précisé. "Je peux vous dire que nous y mettons à la fois tous nos moyens et tout notre coeur".
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