Sur le vif
Mardi, plusieurs personnes hébergées dans le gymnase de Cachan (Val-de-Marne) et un policier ont été blessés au cours d'incidents qui ont opposé les expulsés aux forces de l'ordre à proximité de la salle de sport, a-t-on appris de sources concordantes.
La conseillère régionale Cacr (communiste-alternative citoyenne-républicain) d'Ile-de-France, Malika Zediri, a affirmé à l'AFP qu'une vingtaine de policiers ont utilisé à la mi-journée des bombes lacrymogènes et matraqué des personnes, blessant deux femmes qui ont été hospitalisées.
Il y a eu "agression des forces de police, donc réponse" de leur part, a affirmé de son côté le préfet du Val-de-Marne, Bernard Tomasini.
La brigade des sapeurs-pompiers de Paris a seulement déclaré avoir "transporté sept personnes légèrement blessées, dont un fonctionnaire de police, vers l'hôpital du Kremlin-Bicêtre.
Selon Mme Zediri, dont le témoignage est corroboré par une infirmière puéricultrice également présente au moment des faits, peu après 12H30, "les incidents ont éclaté lors de l'interpellation d'un père de famille par quatre policiers à proximité du gymnase".
Toujours selon l'élue régionale, des personnes du gymnase ont alors tenté de s'interposer. Les policiers ont été rejoints par une vingtaine d'autres policiers "en tenue anti-émeutes" qui ont usé de bombes lacrymogènes et de matraques, selon la conseillère régionale.
Lors d'une conférence de presse, le préfet a expliqué de son côté que les policiers avaient été visés par des "jets de pierre et de canettes". Un policier "a été blessé" et "pour se dégager, les policiers ont fait usage de bombes lacrymogènes", a déclaré M. Tomasini, ajoutant que les fonctionnaires avaient été "agressés par une vingtaine de personnes".
La conseillère régionale Cacr (communiste-alternative citoyenne-républicain) d'Ile-de-France, Malika Zediri, a affirmé à l'AFP qu'une vingtaine de policiers ont utilisé à la mi-journée des bombes lacrymogènes et matraqué des personnes, blessant deux femmes qui ont été hospitalisées.
Il y a eu "agression des forces de police, donc réponse" de leur part, a affirmé de son côté le préfet du Val-de-Marne, Bernard Tomasini.
La brigade des sapeurs-pompiers de Paris a seulement déclaré avoir "transporté sept personnes légèrement blessées, dont un fonctionnaire de police, vers l'hôpital du Kremlin-Bicêtre.
Selon Mme Zediri, dont le témoignage est corroboré par une infirmière puéricultrice également présente au moment des faits, peu après 12H30, "les incidents ont éclaté lors de l'interpellation d'un père de famille par quatre policiers à proximité du gymnase".
Toujours selon l'élue régionale, des personnes du gymnase ont alors tenté de s'interposer. Les policiers ont été rejoints par une vingtaine d'autres policiers "en tenue anti-émeutes" qui ont usé de bombes lacrymogènes et de matraques, selon la conseillère régionale.
Lors d'une conférence de presse, le préfet a expliqué de son côté que les policiers avaient été visés par des "jets de pierre et de canettes". Un policier "a été blessé" et "pour se dégager, les policiers ont fait usage de bombes lacrymogènes", a déclaré M. Tomasini, ajoutant que les fonctionnaires avaient été "agressés par une vingtaine de personnes".
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