Sur le vif
Mark Malloch Brown, secrétaire général adjoint de l'ONU, a invité vendredi les pays européens à fournir rapidement des troupes pour renforcer la Force intérimaire des Nations unies au Liban.
"Nous souhaitons que cette force ait un caractère multinational, multilatéral, pour qu'elle bénéficie de la confiance des deux parties", a-t-il expliqué. "Il est très important que l'Europe fasse maintenant un pas en avant" pour contribuer à honorer la promesse des Nations unies de déployer 3.500 hommes sur le terrain d'ici le 27 août.
Les règles d'engagement de la FINUL, qui déterminent si des soldats peuvent ouvrir le feu, et dans quelles conditions, sont toujours en discussions aux Nations unies.
Dès dimanche, la France qui dépêche 200 hommes au Liban, insiste notamment pour que des Casques bleus musulmans participent au renfort et que la mission et les règles d'engagement soient clairement précisés. L'ONU table sur 3.500 soldats supplémentaires, dont 2.000 du Bangladesh, et plusieurs pays dont l'Italie ont promis des troupes.
La FINUL, dont les effectifs doivent être portés à terme à 15.000 contre 2.000 actuellement, devra aider l'armée libanaise à établir une zone-tampon entre le fleuve Litani et la frontière israélienne.
"Nous souhaitons que cette force ait un caractère multinational, multilatéral, pour qu'elle bénéficie de la confiance des deux parties", a-t-il expliqué. "Il est très important que l'Europe fasse maintenant un pas en avant" pour contribuer à honorer la promesse des Nations unies de déployer 3.500 hommes sur le terrain d'ici le 27 août.
Les règles d'engagement de la FINUL, qui déterminent si des soldats peuvent ouvrir le feu, et dans quelles conditions, sont toujours en discussions aux Nations unies.
Dès dimanche, la France qui dépêche 200 hommes au Liban, insiste notamment pour que des Casques bleus musulmans participent au renfort et que la mission et les règles d'engagement soient clairement précisés. L'ONU table sur 3.500 soldats supplémentaires, dont 2.000 du Bangladesh, et plusieurs pays dont l'Italie ont promis des troupes.
La FINUL, dont les effectifs doivent être portés à terme à 15.000 contre 2.000 actuellement, devra aider l'armée libanaise à établir une zone-tampon entre le fleuve Litani et la frontière israélienne.
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