Mercredi après-midi, plusieurs centaines de personnes défilaient à Paris à l'appel d'un collectif d'associations de banlieue avant de déposer au Sénat et à l'Assemblée nationale des cahiers de doléances rédigés par plusieurs milliers de citoyens lors d'une tournée dans toute la France ces dix derniers mois.
Cette "Marche des doléances" a quitté la place Denfert-Rochereau peu après 15h. Les participants, essentiellement des jeunes venus de quartiers dits "sensibles" de la banlieue parisienne, doivent défiler jusqu'aux abords du Palais-Bourbon.
En tête du cortège, figurent deux banderoles sur lesquelles on peut lire: "Pour une politique choisie et non subie. Voter, c'est exister. Le plus grand parti politique, c'est le peuple!" et, sur fond bleu-blanc-rouge "La Marche des doléances".
C'est le collectif AC le feu, créé à l'issue des violences urbaines de l'automne 2005, qui a lancé cette marche à Paris, point d'arrivée d'une tournée dans quelque 120 villes de France pour "faire remonter la parole des citoyens vers le monde politique institutionnel".
Cette "Marche des doléances" a quitté la place Denfert-Rochereau peu après 15h. Les participants, essentiellement des jeunes venus de quartiers dits "sensibles" de la banlieue parisienne, doivent défiler jusqu'aux abords du Palais-Bourbon.
En tête du cortège, figurent deux banderoles sur lesquelles on peut lire: "Pour une politique choisie et non subie. Voter, c'est exister. Le plus grand parti politique, c'est le peuple!" et, sur fond bleu-blanc-rouge "La Marche des doléances".
C'est le collectif AC le feu, créé à l'issue des violences urbaines de l'automne 2005, qui a lancé cette marche à Paris, point d'arrivée d'une tournée dans quelque 120 villes de France pour "faire remonter la parole des citoyens vers le monde politique institutionnel".