Sur le vif
L'islam en France est "libéral", et les musulmans refusent d'être "amalgamés à des extrémistes, à des fanatiques ou à des terroristes", a déclaré samedi à Paris le président du Conseil français du culte musulman (CFCM) Dalil Boubakeur.
"L'islam de france ne peut être que libéral en sa forme. Toute autre option radicale est vouée à l'échec", a déclaré M. Boubakeur, également recteur de la Grande Mosquée de Paris, lors des assises nationales des Fédérations régionales de la Grande Mosquée de Paris (FR-GMP).
"Les musulmans en ont assez d'être amalgamés à des extrémistes, à des fanatiques ou à des terroristes. Nous nous affirmons devant Dieu et les hommes de bonne foi, acquis aux droits des hommes et des femmes, soucieux de l'épanouissement social de nos jeunes et des plus faibles", a ajouté M. Boubakeur.
"Au moment où il se trouve à la croisée de son histoire, parions en France pour un islam républicain, de renouveau, d'alternative libérale, ouvert et tolérant, en contrepoids des extrémismes, des radicalismes et de tous les fondamentalismes", a poursuivi M. Boubakeur.
De son côté, le président d'une des huit fédérations régionales, qui sont une composante du CFCM, Abdekkader Bouazza (président d'Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes), a affirmé : la FN-GMP (Fédération nationale-Grande Mosquée de Paris) "se veut le trait d'union entre tous les musulmans et les non-musulmans de France".
Notre fédération "est plus que nécessaire, compte tenu des comportements de certaines organisations, de certains groupuscules qui occupent le terrain, qui parlent, agissent à la place des représentants de la majorité silencieuse des musulmans", et qui "détournent l'islam de sa vraie direction", a ajouté M. Bouazza.
"L'islam de france ne peut être que libéral en sa forme. Toute autre option radicale est vouée à l'échec", a déclaré M. Boubakeur, également recteur de la Grande Mosquée de Paris, lors des assises nationales des Fédérations régionales de la Grande Mosquée de Paris (FR-GMP).
"Les musulmans en ont assez d'être amalgamés à des extrémistes, à des fanatiques ou à des terroristes. Nous nous affirmons devant Dieu et les hommes de bonne foi, acquis aux droits des hommes et des femmes, soucieux de l'épanouissement social de nos jeunes et des plus faibles", a ajouté M. Boubakeur.
"Au moment où il se trouve à la croisée de son histoire, parions en France pour un islam républicain, de renouveau, d'alternative libérale, ouvert et tolérant, en contrepoids des extrémismes, des radicalismes et de tous les fondamentalismes", a poursuivi M. Boubakeur.
De son côté, le président d'une des huit fédérations régionales, qui sont une composante du CFCM, Abdekkader Bouazza (président d'Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes), a affirmé : la FN-GMP (Fédération nationale-Grande Mosquée de Paris) "se veut le trait d'union entre tous les musulmans et les non-musulmans de France".
Notre fédération "est plus que nécessaire, compte tenu des comportements de certaines organisations, de certains groupuscules qui occupent le terrain, qui parlent, agissent à la place des représentants de la majorité silencieuse des musulmans", et qui "détournent l'islam de sa vraie direction", a ajouté M. Bouazza.
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