Sur le vif
George W. Bush est attendu mercredi à Amman où il rencontrera notamment le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki.
L'Irak, où l'hypothèse d'une vraie guerre civile est désormais évoquée de plus en plus ouvertement, mais aussi les violences entre Israël et Palestiniens, et les craintes d'une nouvelle déstabilisation du Liban, domineront les conversations du président américain, qui sera accompagné par sa secrétaire d'Etat Condoleezza Rice.
Leur hôte, le roi Abdallah II, a mis en garde dimanche contre les risques de guerre civile non seulement en Irak, mais aussi dans les territoires palestiniens et au Liban.
Après avoir soutenu pendant des mois que leurs politiques respectives allaient finir par porter leurs fruits, MM. Maliki et Bush conviennent aujourd'hui qu'il faut changer de tactique.
M. Maliki, après avoir mis les violences sur le compte d'agents étrangers et d'extrémistes, l'a reconnu dimanche: "Les actions terroristes sont le reflet de la situation politique. Ceux qui peuvent faire cesser le sang de couler, ce sont les hommes politiques". "Nous nous trouvons clairement dans une nouvelle phase qui se caractérise par une augmentation de la violence confessionnelle. Cela exige à l'évidence de notre part que nous nous adaptions à cette nouvelle phase", a estimé lundi le conseiller américain à la sécurité nationale, Stephen Hadley.
MM. Bush et Maliki auront avec le roi Abdallah II un premier entretien mercredi soir, suivi jeudi matin par un entretien en tête à tête. Jeudi, après le départ de M. Bush, Mme Rice pourrait se rendre à Jéricho, en Cisjordanie, pour y rencontrer brièvement le président palestinien Mahmoud Abbas.
L'Irak, où l'hypothèse d'une vraie guerre civile est désormais évoquée de plus en plus ouvertement, mais aussi les violences entre Israël et Palestiniens, et les craintes d'une nouvelle déstabilisation du Liban, domineront les conversations du président américain, qui sera accompagné par sa secrétaire d'Etat Condoleezza Rice.
Leur hôte, le roi Abdallah II, a mis en garde dimanche contre les risques de guerre civile non seulement en Irak, mais aussi dans les territoires palestiniens et au Liban.
Après avoir soutenu pendant des mois que leurs politiques respectives allaient finir par porter leurs fruits, MM. Maliki et Bush conviennent aujourd'hui qu'il faut changer de tactique.
M. Maliki, après avoir mis les violences sur le compte d'agents étrangers et d'extrémistes, l'a reconnu dimanche: "Les actions terroristes sont le reflet de la situation politique. Ceux qui peuvent faire cesser le sang de couler, ce sont les hommes politiques". "Nous nous trouvons clairement dans une nouvelle phase qui se caractérise par une augmentation de la violence confessionnelle. Cela exige à l'évidence de notre part que nous nous adaptions à cette nouvelle phase", a estimé lundi le conseiller américain à la sécurité nationale, Stephen Hadley.
MM. Bush et Maliki auront avec le roi Abdallah II un premier entretien mercredi soir, suivi jeudi matin par un entretien en tête à tête. Jeudi, après le départ de M. Bush, Mme Rice pourrait se rendre à Jéricho, en Cisjordanie, pour y rencontrer brièvement le président palestinien Mahmoud Abbas.
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