Un chroniqueur signalé à l'Arcom pour des propos discriminants envers les musulmans

L'ambiance délétère est à ce type de comportement, tout concourt à se lâcher car l'islam et les musulmans sont considérés comme des serpillières sur lesquelles tout les beaufs peuvent s'essuyer et produire leur bile. Malheureusement pour eux, la religion musulmane suscite toujours autant d'engouement, car elle a les épaules très larges.
"Que l'on parle en bien ou en mal de nous, l'essentiel est qu'on en parle"

Il dit je ne suis pas musulman juste.
Rien d'autre.
Or, on dit ce que l'on est. Pas ce que l'on est pas.
Autrement on serait dans l'impossibilité de communiquer.
Puisque ça oblige à énumérer tout ce qui existe sauf un.
Dire ce que l'on est, plutôt que que l'on est pas, ça va quand même vachement plus vite.
Dire ce que l'on n'est pas est d'ailleurs une impossibilité.

François. Personne n'a jamais vu un musulman.
Ou une femme. Ou un socialiste. Ou n'importe quoi.
Puisque dès lors que l'on dit 1, obligatoirement ou dit 2. 3. 4..... etc.
Un et 2 sont différents.
Tous ne peut pas être 1.
Personne ne peut être 1 que 1 lui même.
Tous sont 1 est une impossibilité.
Jamais je ne pourrais être vous ni vous être moi.
Soit vous et moi sommes 2, soit vous êtes moi. Et moi vous.
Vous voyez bien que ça n'a pas de sens. Puisque l'on est entrain de dire là que je me parle à moi même.
Or ce n'est pas moi qui ait dit ce que vous dîtes.
Si tout le monde est moi, je ne suis pas dans mon salon entrain de fumer dans mon salon entrain de vous répondre.
Ok. Mais qui alors!

François. Si je suis vous. Et vous êtes moi.
Je me renie. Lol.
Etre vous c'est très bien. Mais je préfère être moi. Lol.

@françois,
Ton "euphémisation" des propos tenus par nos haineux habituels cadre complètement avec l'idéologie qui t'anime. Soirées arrosées dis tu pour pardonner.In vino veritas donc ?
Plus sérieusement, l'islam sert de putching ball à tous nos esprits chagrin qui se défoulent surtout à jeun.
Nos Bonobos de service s'offusquent du fait que certains "se foutent de la République" ( comme eux se foutent des religions, pas toute évidemment, autrement dit, l'interdiction de blasphèmer la République est donc de mise. On apprécie cette notion à géométrie variable.

Pardon François mais si. Je ne suis personne.
Puisque je ne suis jamais le même.
Vous confondez je suis celui qui dit, avec celui qui avait dit et dira.
Sans vous je n'aurez jamais pu dire ce que j'ai pu répondre par exemple.
Ce que l'on est se trouve toujours en dehors de nous.
Je suis 1.
Je ne peux pas être tous les uns.
Je ne peux pas non plus être aucun d'entre eux.
Reste je ne peux être que jamais le même.
1 n'existe pas. Personne n'a jamais vu 1.
1 est ce que l'on dit qu'il est.

@101 Il me semble distinguer là-dedans l'argument du celui qui dit qui l'est.
Me trompes-je?

@ledaron le pauvre punchingball dont vous parlez partage son triste sort avec la pauvre république et chacun se plaint du blasphème qui le concerne, vous le dites très bien (et c'est vous qui le dites).

Personnellement, sans m'y livrer beaucoup, vous le remarquerez, je pense que les dénonciations à l'emporte pièce, et vous en êtes un adepte non modéré, sont à la fois dérisoires et autorisées, justiciable de la liberté d'expression mais franchement, souvent inutiles et hors de propos.

Car se contenter rageusement de propos de cette sorte est assez ridicule et l'expression de votre jugement "les musulmans sont considérés comme des serpillières sur lesquelles tout les beaufs peuvent s'essuyer et produire leur bile"
très exactement du même type. Vous me permettrez de juger vos métaphores un peu limites (s'essuyer sa bile sur des serpillères faites de musulmans, franchement...)

Je note que vous les considérez comme des "critiques d'un système politique", dont acte, mais dans ce cas, il me semble que vous pourriez ressortir de la critique inverse, qui se trouverait ainsi validée et donc susceptible d'échapper à votre rage, qui se trouverait ainsi complètement immotivée dans la forme et sur le fond.