L'intersyndicale des médecins hospitaliers exerçant en France et titulaires d'un diplôme étranger appelle à la grève des soins urgents durant tout le week-end du 14 juillet, afin d'exiger un statut et un salaire équivalent à ceux de leurs confrères français.
La grève prend effet vendredi matin et jusqu'à dimanche soir.
L'Intersyndicale nationale des praticiens à diplôme hors Union européenne (INPADHUE) affirme que "dans cette période estivale", la permanence des soins est assurée à plus de 80% par des médecins à diplôme étranger, et lance également un mot d'ordre de grève pour le 15 août. Quelque 6.000 praticiens à diplôme étranger exercent en France.
Elle "invite les praticiens concernés à refuser de se soumettre aux réquisitions visant à assurer un service minimum".
Ces praticiens, qui ont installé un campement symbolique depuis le 7 juin dernier devant le ministère de la Santé à Paris, réclament "le respect des engagements pris par leur ministère de tutelle".
La grève prend effet vendredi matin et jusqu'à dimanche soir.
L'Intersyndicale nationale des praticiens à diplôme hors Union européenne (INPADHUE) affirme que "dans cette période estivale", la permanence des soins est assurée à plus de 80% par des médecins à diplôme étranger, et lance également un mot d'ordre de grève pour le 15 août. Quelque 6.000 praticiens à diplôme étranger exercent en France.
Elle "invite les praticiens concernés à refuser de se soumettre aux réquisitions visant à assurer un service minimum".
Ces praticiens, qui ont installé un campement symbolique depuis le 7 juin dernier devant le ministère de la Santé à Paris, réclament "le respect des engagements pris par leur ministère de tutelle".