Sur le vif
Durant 48 heures, Israël accepte de suspendre ses frappes aériennes sur le sud du Liban, le temps de mener l'enquête sur les bombardements meurtriers sur la ville libanaise de Cana, a annoncé dimanche soir un porte-parole du département d'Etat américain.
Sous le couvert de l'anonymat, un responsable du gouvernement israélien a confirmé que le Premier ministre Ehoud Olmert avait accepté un arrêt de 48 heures des raids aériens au Liban, et a précisé que la suspension était à effet "immédiat".
Toutefois, les responsables du gouvernement israélien ont précisé que des frappes pourraient intervenir pour contrer d'éventuelles frappe en préparation contre Israël. Ils ont également prévenu que la suspension pourrait durer moins de 48 heures si l'enquête sur le bombardement de Cana était terminée avant la fin de ce délai.
"Les Etats-Unis se félicitent de cette décision et espèrent qu'elle contribuera à soulager les souffrances des enfants et des familles du sud du Liban", a déclaré aux journalistes le porte-parole du département d'Etat américain, Adam Ereli, qui accompagnait la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice lors de sa visite en Israël.
Le porte-parole américain a précisé que l'Etat hébreu se réservait le droit d'attaquer des objectifs s'il était informé que des frappes du Hezbollah sont en préparation contre des cibles israéliennes.
Selon M. Ereli, Israël va se coordonner avec les Nations unies pour permettre la mise en place durant 24 heures d'un corridor sécurisé qui pourra être emprunté par tous les habitants du Liban-Sud qui souhaitent quitter la région.
Les bombardements de l'aviation israélienne sur la ville libanaise de Cana, tôt dimanche matin, ont fait 56 morts, dont 34 enfants et 12 femmes.
Sous le couvert de l'anonymat, un responsable du gouvernement israélien a confirmé que le Premier ministre Ehoud Olmert avait accepté un arrêt de 48 heures des raids aériens au Liban, et a précisé que la suspension était à effet "immédiat".
Toutefois, les responsables du gouvernement israélien ont précisé que des frappes pourraient intervenir pour contrer d'éventuelles frappe en préparation contre Israël. Ils ont également prévenu que la suspension pourrait durer moins de 48 heures si l'enquête sur le bombardement de Cana était terminée avant la fin de ce délai.
"Les Etats-Unis se félicitent de cette décision et espèrent qu'elle contribuera à soulager les souffrances des enfants et des familles du sud du Liban", a déclaré aux journalistes le porte-parole du département d'Etat américain, Adam Ereli, qui accompagnait la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice lors de sa visite en Israël.
Le porte-parole américain a précisé que l'Etat hébreu se réservait le droit d'attaquer des objectifs s'il était informé que des frappes du Hezbollah sont en préparation contre des cibles israéliennes.
Selon M. Ereli, Israël va se coordonner avec les Nations unies pour permettre la mise en place durant 24 heures d'un corridor sécurisé qui pourra être emprunté par tous les habitants du Liban-Sud qui souhaitent quitter la région.
Les bombardements de l'aviation israélienne sur la ville libanaise de Cana, tôt dimanche matin, ont fait 56 morts, dont 34 enfants et 12 femmes.
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