Des tags islamophobes retrouvés sur le chantier d’une mosquée à Talence

François. On ne peut pas venger des meurtres. C'est impossible. C'est impossible à rendre.
De n'importe qu'elle manière que ce soit c'est impossible à rendre.
On ne peut rendre que ce qui a été perdu. Si l'on dit de ce que l'on a trouvé tiens c'est à toi c'est qu'on le reconnait. C'est que l'on en dit c'est légitimement à toi. Que ça puisse être des Louis d'or ou du poison si on le rend on en fait un bien.
On ne peut pas faire ça. On ne peut pas décider soi même du bien et du mal.
Il faut faire la démonstration de ce dont on dit qu'il appartient à un autre ou à soi même que c'est fondé.
Autrement on pourrait voler, tuer, se venger comme vous le dîtes comme bon nous semble.
On pourrait prendre comme argument, comme vous le faîtes que ça peut être fondé.
Sauf que ça ne peut pas marché. Puisque l'auteur de crimes lui même ses propres actes sont généralement eux aussi fondés. Il a ses mobiles, son raisonnement propre. Donc on balaye, l'argument fondé ne tient pas.
Il y a les acteurs, les auteurs puis il y a les spectateurs, les observateurs.
Les victimes sont spectatrices.
Elles font partie du scénario malgré elles.
Quelque par actrices mais malgré elles.
C'est cela que vous confondez.
Vous faîtes de spectateurs des acteurs.
Pourquoi vous les confondez.
Parce que les spectateurs sont des acteurs comme les autres.
Et inversement.
Les acteurs des spectateurs comme les autres.
Comme lorsque l'on paie sa place au théâtre c'est nous qui jugeons de la scène.
On jette des tomates ou ...  

François. On ne peut pas venger des meurtres. C'est impossible. C'est impossible à rendre.
De n'importe qu'elle manière que ce soit c'est impossible à rendre.
On ne peut rendre que ce qui a été perdu. Si l'on dit de ce que l'on a trouvé tiens c'est à toi c'est qu'on le reconnait. C'est que l'on en dit c'est légitimement à toi. Que ça puisse être des Louis d'or ou du poison si on le rend on en fait un bien.
On ne peut pas faire ça. On ne peut pas décider soi même du bien et du mal.
Il faut faire la démonstration de ce dont on dit qu'il appartient à un autre ou à soi même que c'est fondé.
Autrement on pourrait voler, tuer, se venger comme vous le dîtes comme bon nous semble.
On pourrait prendre comme argument, comme vous le faîtes que ça peut être fondé.
Sauf que ça ne peut pas marché. Puisque l'auteur de crimes lui même ses propres actes sont généralement eux aussi fondés. Il a ses mobiles, son raisonnement propre. Donc on balaye, l'argument fondé ne tient pas.
Il y a les acteurs, les auteurs puis il y a les spectateurs, les observateurs.
Les victimes sont spectatrices.
Elles font partie du scénario malgré elles.
Quelque par actrices mais malgré elles.
C'est cela que vous confondez.
Vous faîtes de spectateurs des acteurs.
Pourquoi vous les confondez.
Parce que les spectateurs sont des acteurs comme les autres.
Et inversement.
Les acteurs des spectateurs comme les autres.
Comme lorsque l'on paie sa place au théâtre c'est nous qui jugeons de la scène.
On jette des tomates ou on applaudit selon que le scénario nous plaise ou pas.
Sur scène, les acteurs font semblant de croire qu'ils ne savent pas ce qu'il va se passer.
Ils font semblant d'être spectateurs.
Ils font semblant d'être spectateurs de l'acteur.
Puis ils redeviennent acteurs. Puis ils redeviennent spectateurs....
Puis on juge.
Mais dans la vraie vie on ne peut pas faire ça. Juger.
On ne peut soi même écrire le scénario.
Il n'y a que les protagonistes qui puissent le faire. Si on le leur rend, si l'on en dit que l'on sait ce que c'est.
Puisque si on ne la jamais vu on est dans l'impossibilité de le reconnaître.
On trouve, je le reconnaît et je te le rends.
Ca ne colle pas.
Si l'on dit que ce n'est pas juste, correct et que dans un même temps on en dit que l'on a le droit de l'obtenir ça ne colle pas.