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Points de vue

Contre l'islamophobie, valeurs républicaines et valeurs spirituelles convergent

Rédigé par Mustapha Cherif | Jeudi 24 Mai 2018 à 08:45

           


Contre l'islamophobie, valeurs républicaines et valeurs spirituelles convergent
Il n’y a pas d’alternative au vivre-ensemble en paix et en justice. Le mois de Ramadan devrait être propice à l’éveil des consciences, à la réalisation spirituelle et au renforcement du vivre-ensemble. Le racisme, l’antisémitisme et l’islamophobie sont des fléaux qu’il faut dénoncer et combattre. Les discours islamophobes sont une grossière provocation. Ils attaquent l’islam du fait que l’éthique, la culture et la religion musulmanes résistent à la marche du temps, alors que d’autres succombent. Reste à faire la part des choses et à pratiquer l’autocritique.

Pour ne pas prêter le flanc, il faut mettre fin aux aspects archaïques et dépassés d’une partie des constructions humaines en fiqh (jurisprudence) et des pratiques crispées. Se réformer et s’ouvrir est vital. Les dérives fondamentalistes et obscurantistes sont l’anti-islam. Comme l’exigent le Coran et le Sunna, la majorité des musulmans lit les textes et vit sa foi en fonction de la ligne du juste milieu, articulation entre le constant et l’évolutif, une question interne au monde musulman. Valeurs républicaines et valeurs spirituelles non seulement convergent, mais ont un socle commun. Liberté, égalité et fraternité sont aussi des références abrahamiques. Être citoyen et croyant, en toute harmonie, respectueux des lois est une réalité quotidienne. La foi est une affaire privée, l’État et les services publics sont soumis à la neutralité, non pas les citoyens.


Pour une civilisation universelle, où la spiritualité ne sera pas bannie

L’extrémisme violent est fabriqué, instrumentalisé et amplifié comme épouvantail pour faire peur et détourner l’attention de l’opinion publique. Depuis des années, l’injonction odieuse faite, y compris par des intellectuels qui se disent de culture musulmane, aux musulmans, perçus comme des indigènes, de se renier, de blasphémer et de frapper d’obsolescence des versets de la Révélation, source sacrée fondatrice, démontre que la posture antimusulmane primaire et l’ignorance sous-tendent ses auteurs et non légitime la lutte pour la démocratie et la modernité et contre le fanatisme.

Ces discours sont des signes funestes de nouvelles années trente. Depuis la chute du mur de Berlin, le « musulman » est un bouc émissaire, présenté comme la nouvelle menace. L’ordre dominant a pour ambition de régenter le monde entier. Il a besoin d’une diversion. Des intellectuels avides de notoriété, qui devraient connaître la valeur des mots, se laissent entraîner dans une chasse aux sorcières qui affiche son hostilité à l’islam. Cette posture belliqueuse vise à occulter l’impasse dans laquelle se trouve le monde dominant. Elle est contraire aux valeurs des Lumières et à la Déclaration universelle des droits de l’Homme, dont cette année est le 60e anniversaire. L’islamophobie vise à empêcher un nouvel ordre mondial juste et une nouvelle civilisation universelle, où la spiritualité ne sera point bannie.


Donner à l’être commun, à la nation, au vivre-ensemble

Les pourfendeurs de l’islam ne veulent pas voir son vrai visage. Le Coran ordonne la paix : « Vous qui croyez, entrez en masse dans la paix » (s. 2, v. 208). Il n’existe aucun verset qui appelle au meurtre, mais une théorie de la légitime défense et une critique des dérives des pratiques religieuses infondées et déshumanisantes. Elles peuvent paraître violentes. Les théologiens savent qu’il s’agit d’interpréter et de contextualiser. La problématique n’est pas nouvelle. La religion peut devenir violente si elle est mésinterprétée par des fanatiques et des populistes.

La Torah, l’Évangile et le Coran ne sont pas responsables des dérives de leurs mauvais adeptes. C'est faire un injuste procès à l'islam, ou toute autre religion, que de généraliser. Les sociétés musulmanes favorisaient l’État de droit, le respect du droit à la différence et le vivre-ensemble, même si elles n’étaient peut-être pas l’idéal que l’on peut concevoir aujourd’hui. Des symbioses et des harmonies ont eu lieu. C'est un devoir de respecter l’altérité et de donner la priorité à l’être commun, à la nation, au vivre-ensemble.


Au lieu de diviser, il faut rassembler

Le dialogue est possible avec des intellectuels ouverts et objectifs qui condamnent tous les racismes, tentent de comprendre une religion qui n’est pas la leur, qui ne sont pas dogmatiques et partisans du choc des civilisations, comme le sont malheureusement des intellectuels et des politiciens malveillants. Il faut saluer le fait que, malgré les difficultés, la plupart des musulmans font émerger en Europe un islam qui allie modernité et authenticité, sécularité et valeurs de l’esprit.

S’opposer au racisme, à l’antisémitisme, à l’islamophobie et à toutes les intolérances doit être une priorité, loin de la politique des deux poids et deux mesures. L’amalgame, l’ingérence et la stigmatisation sont voués à l’échec. Au lieu de diviser, posture suicidaire, il faut rassembler. Le drame réside dans le fait que l’on ne compte pas les morts de la même manière. 95 % des victimes des actes terroristes dans le monde sont des musulmans. Et la majorité des personnes discriminées en Occident sont les citoyens de confession musulmane.

Dans la complétude du triple dialogue : entre citoyens musulmans, entre fils d’Abraham, juifs, musulmans, chrétiens , et entre toutes les personnes de bonne volonté, dépend l’avenir, pour préserver le vivre ensemble et forger une nouvelle civilisation universelle. Le lien citoyen, la fraternité humaine et les droits humains l’emporteront, le devenir est commun.

******
Mustapha Cherif est philosophe, lauréat du prix Unesco du dialogue des cultures. Auteur notamment de L’Émir Abdelkader, apôtre de la fraternité (Éd. Odile Jacob, 2016) et de Sortir des extrêmes : ni intégrisme, ni perte d'identité (Les Points sur les i, 2015). À paraître : Islam et éthique du vivre-ensemble.





Réagissez ! A vous la parole.

1.Posté par Bypass le 24/05/2018 13:42 | Alerter
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Je veux poser une question pourquoi l'islamophobie tant qu'il est possible à tous les gens de la liberté de croyance. Pas de panique, tous les pays ont officiellement des religions pourquoi l'islam. La Tunisie un exemple de pays ou les juifs, les musulmans et le chrétiens vivent ensemble sans problèmes. Visiter la Tunisie pour un séjour médical, séjour touristique ou toute vacance vous donne l'occasion de vivre entre des chrétiens , juifs et musulmans.

2.Posté par François Carmignola le 24/05/2018 19:56 | Alerter
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En parlant de "modernité et authenticité, sécularité et valeurs de l’esprit", la citation du coran (2.208) est en fait:

"entrez dans (la paix, la soumission, l'islam) et ne suivez pas le diable. "
Les versets autour évoquent bien sur les punitions diverses dont on menace les désobéissants (gehenne, feux variés etc).

Typique des ordres et des malédictions autoritaires qui remplissent le Coran, ce verset tronqué, cité avec une traduction qui sourit aux oreilles des mécréants qu'on veut enchanter se révèle en fait une bien mauvaise illustration du propos global tenu. Franchement, si vous ne voulez pas abroger de versets tendancieux, peut être pourriez vous vous abstenir de les citer maladroitement sans la commenter vraiment ?

3.Posté par Signolles le 26/05/2018 16:16 | Alerter
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François le bien n'existe que parce que son contraire existe.
Autrement ni l'un ni l'autre ne pourraient exister.
S'il y a un paradis son contraire l'enfer existe aussi.
Les choses n'existent que parce que leurs contraires existent.
Si le mal n'existait pas on serait dans l'impossibilité de pouvoir définir ce qu'est le bien.
C'est l'homme blanc qui fait exister l'homme noir ou inversement.
Si tous les hommes étaient verts ils ne seraient pas des hommes verts mais des hommes tout court, il ne servirait à rien de dire qu'ils sont verts.
Si l'enfer n'existait pas ça voudrait dire que l'on va direct au paradis donc pourquoi se casser le bol.
Pour les non croyants si on transpose sur terre idem. Si l'on condamne le mal ça signifie que l'on peut faire ce que l'on veut.
Soit la morale existe soit elle n'existe pas. Ca ne peut pas etre les deux en meme temps.
Après on peut etre nihiliste et dire que ni le bien ni le mal n'existent, que rien n'est vrai et que tout est permis. Je peux arriver à adhérer à rien n'est vrai, dans le fond c'est pas complètement faux, mais c'est le tout est permis qui me dérange.

4.Posté par Signolles le 26/05/2018 16:41 | Alerter
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Moi je suis non croyant. Mais j'ai envie de partir satisfait, repu, serein. Je ne veux pas trainer de trucs dégueulasses. Je suis pourtant non croyant. Rien ne m'interdit d'etre méchant, radin, asocial.. d'avoir les pires défauts, je ne crois en rien. Mais je ne veux pas trainer de trucs dégueulasses, après on se met à y penser, à regretter à s'en vouloir et c'est trop pénible.

5.Posté par François Carmignola le 26/05/2018 21:03 | Alerter
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@Signolles D'après votre théorie, si la morale existe, son contraire aussi. Donc elle n'existe pas. Pareil pour Dieu, ça tombe bien vous n'êtes pas croyant, et aussi pour votre "rien n'est vrai et que tout est permis": le contraire serait-il "tout est vrai et rien n'est permis" ?

6.Posté par Signolles le 27/05/2018 14:45 | Alerter
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C'est très juste. Lorsque l'on ne se relit pas ça donne ça.
J'écris comme ça vient et ça donne ça.
C'est très mal formulé. Mais vous avez corrigé tout seul puisque vous l'avez remarqué.
Il m'arrive aussi souvent de ne pas etre d'accord avec moi meme.
On a pas forcément besoin d'un autre pour ça.
Et pourtant au moment ou je l'écris je le pense.
Il m'arrive aussi souvent d'etre incapable de savoir ce que j'ai voulu dire. Mais ça avait surement du sens au moment ou je l'écrivais.
Rien n'est vrai.
Je crois qu'en vérité c'est le contraire.
Tout est vrai ce qui fait du coup que rien n'est vrai.
Par contre je n'ai pas dit de dieu que j'y croyais.
C'est votre compréhension.
Mais j'ai bien écris que j'étais non croyant.
Mais je suis obligé d'admettre que dieu existe je n'ai pas d'autre choix.
Dieu existe et je suis non croyant. Je ne peux pas le dire autrement.
C'est le fait de pouvoir se représenter les choses qui les fait exister. Rien de plus.
Dieu je sais ce que c'est, donc il existe. Autrement je serais dans l'impossibilité de prononcer son nom.
Dieu et tout le reste. Les valeurs, le néant, la république....
La morale et l'amoral existent autrement on serait incapable de savoir les définir.
Tout est vrai autrement on serait dans l'impossibilité d'en parler.
On valide ou pas juste.
Exister je voulais dire dans le sens de valider.
On ne peut pas dire d'une chose qu'elle est morale et dire en meme temps qu'elle ne l'est pas.
Si l'on considère que rien n'est vrai on ne peut pas di...  

7.Posté par Signolles le 27/05/2018 15:33 | Alerter
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Rien n'est permis, tout est permis aucun des deux ne sont enviables. C'est d'ailleurs impossible.
Si rien n'était permis les hommes ne pourraient pas vivre.
Ils ne pourraient le supporter qu'un temps et se rebelleraient contre celui qui les tyrannise.
Idem pour tout est permis.
Ce qu'il faut à l'homme c'est pouvoir vivre. Vivre ça consiste à pouvoir faire des choix, bon ou mauvais. On définit le bien et le mal pour pouvoir le faire. En principe on choisit le bien.
On a conscience de ce qu'est le mal, si ce n'est pas le cas les autres (la société) sont là pour le dire. Ce qui ne veut pas dire que c'est juste, vrai. On a tout type de société. Despotiques, démocratiques, oligarchiques.....
Le vrai, le juste c'est ce qui ne change jamais, ce qui ne peut etre démenti. Pour ce qui est du reste on s'en fait une idée. On devient un idéologue et on fait politicien. Lol.

8.Posté par Signolles le 27/05/2018 18:11 | Alerter
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Vous qui croyez entrez en masse dans la paix. Pour ma part, je ne crois pas, je n'irai donc pas. L'enfer étant lui aussi réservé aux croyants, normalement je n'irais nulle part puisque s'agissant de l'un et de l'autre il faut y croire pour etre concerné.
Cependant je suis obligé d'admettre que l'un et l'autre existent. Croire ne veut pas dire que c'est vrai autrement on appellerait ça le réel.
Les animaux sont réels mais ils ne sont pas vrais.
Croire c'est une conviction, ça s'impose à vous, ce n'est pas un choix.
Et inversement. Je n'ai pas choisi d'etre non croyant.
Normalement il me reste la république. Lol.
Puis viendra le néant pourquoi pas. Ou son contraire, rien.
Rien c'est quelque chose. Le vide c'est quelque chose.
Je vais donc prendre rien. Lol.

9.Posté par Signolles le 27/05/2018 18:19 | Alerter
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Croire c'est supposer rien de plus. On les appelle les croyants pour cette raison. Nous autres croyons au néant, c'est après tout une croyance comme une autre. On ne sait rien en dire non plus.

10.Posté par Signolles le 27/05/2018 20:31 | Alerter
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Lorsque sur internet vous faites l'expérience de prendre une identité de femme tandis que vous etes un homme personne ne s'en aperçoit.
En intervenant pourtant normalement, en pensant juste à tenir compte du sexe que l'on sait choisi sans chercher à déformer ce que l'on à dire.
Et bien personne ne s'en aperçoit.
Lorsque vous dites que vous etes une femme vous devenez vraiment une femme. Les gens sont incapables de s'apercevoir que vous n'en etes pas une.
C'est donc que les sexes n'existent pas.
Que nous sommes un corps et rien de plus.
Sexué juste parce que nous devons nous reproduire et que sans cela ça en serait fini de nous.
Le sexe est une vue de l'esprit.
On se fait l'idée de ce qu'est une femme mais une femme n'existe pas.
Je peux le dire car je l'ai fait pendant environ deux ans sur un forum ou nous étions très peu nombreux et ou l'on se connaissait tous.
Falbala était mon pseudo.
J'avais pris un pseudo féminin et je m'étais dit zut, c'est une identité féminine, je ne dois donc etre une femme, je ne peux pas mentir.
Je sais je suis vraiment très bete.
Il ne mettait pas venu à l'esprit une seule seconde que ça n'avait aucune importance. Ni ça ni le fait de mentir. Du coup pour ne pas mentir j'ai menti.
C'est totalement absurde, mais j'ai une excuse, je débutais sur internet. Je pense que je n'avais pas encore intégré le virtuel.
Mais pas une seule seconde je ne me suis aperçu de l'absurdité de mon raisonnement.
Pour moi une identité féminine avec une identité masculi...  

11.Posté par Signolles le 27/05/2018 21:38 | Alerter
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Je viens de comprendre mon problème, je sais pourquoi je me fais mal comprendre.
Je dis que croire c'est supposer ensuite je dis que c'est une conviction.
Je parle en fait en meme temps pour moi et pour les autres.
Pour moi croire ça n'a pas d'autre sens que supposer des choses en n'en sachant rien.
Pour les croyants croire c'est une conviction, c'est etre viscéralement persuadé qu'il ne peut en etre autrement.
Les deux n'ont pas le meme sens. Mon problème lorsque je m'exprime c'est qu'en parlant en mon nom je le fais comme si j'étais les autres et ça donne des contradictions. Je rédige très mal.
Et c'est pourtant le plus important pour bien se faire comprendre.
C'est peut etre le fait de ne croire en rien qui donne ça, il faut savoir le dire, il faut aussi parler à la place des autres et donc en résumé souligner que l'on ne sait pas ce que l'on raconte. Lol.

12.Posté par Signolles le 28/05/2018 15:53 | Alerter
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François. Un non croyant qui se projette en enfer ça a autant de sens qu'un croyant qui se projetterait dans le néant.
Il n'est pas possible de dire moi non croyant j'irais en enfer ou je me réincarnerai.
Meme ce qui n'a pas de sens doit avoir une logique.
Il est écrit ceci ne veut rien dire.
Evoquer le paradis pour l'éternité par exemple est l'aboutissement.
Il faut dire le avant et le après. Le après on ne le peut pas puisque l'éternité est inimaginable.
Il faut dire ce qu'il se passe avant, et encore avant, et encore avant donc.
Autrement ça ne veut rien dire.
Bref il faut raconter toute l'histoire.
Comme nous le faisons s'agissant de nous autres ici bas.
Un événement en entraine un autre et c'est ainsi que se passe l'Histoire. Le passé, le présent, le futur sont indissociables.
Et là on remonte en 1914 ou mathusalem mais comme on ne peut pas le faire autrement on serait dans l'impossibilité de pouvoir discuter on se projette.
On se met à parler des croyances par exemple.
On envisage donc une religion. Pour pouvoir émettre une opinion il faut la raconter, l'expliquer. Il était une fois. Lol.
Si on commence par la fin sans raconter l'histoire ça donne il était une fois le paradis. Fin de l'histoire.
Pour les non croyants on envisage le néant. Et là pareil on raconte, on explique son histoire, comment il vécu, comment il est mort. Lol.
Ou bien on fait très court aussi, il était une fois le néant fin de l'histoire.
On peut aussi comme dans un jeu de role se mettre en situat...  

13.Posté par Signolles le 30/05/2018 17:58 | Alerter
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Le langage est la plus grande arnaque que l'homme ait pu inventer.
Aussi il faudrait sans cesse revenir sur ce que l'on dit, écrit.
Y revenir. Et y re revenir. Et y re re revenir.
Le français est finalement une langue étrangère comme les autres.
On a l'habitude de dire des choses qui ne sont pas vraies, justes.
C'est surement le fait de ne pas parler comme l'on écrit qui donne ça.
On prend des tics de langage et on dit sans cesse des choses qui ne sont pas vraies. Les mots ont un sens, on a beau le savoir on continue quand meme à garder la mauvaise habitude de mal parler (écrire)
Bref.
Que-ce qu'un croyant. J'ai suivi le théologien François, lol. Mais je ne sais pas ce qu'il faut mettre derrière le mot croyant. Je ne connais des religions que les grandes lignes.
Qu'est ce qui fait un croyant.
Seul un croyant lui meme peut le dire je pense.
Si un musulman existait il serait tous les musulmans. Or c'est une impossibilité.
Donc un croyant n'existe pas.

14.Posté par François Carmignola le 05/06/2018 21:31 | Alerter
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Il semblerait que vous vous en vouliassiavez d'avoir dit que vous étiez non croyant. Vous savez, ce n'est pas grave, ça peut arriver à tout le monde de vouloir faire la maline cinq minutes.
Un conseil: mettez vous plutôt au vin rouge, ça fixe mieux les idées.


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