Anciens combattants: la France revalorise les pensions

Nous sommes fils d'un ancien combattant BOUKHENFOUF MAYOUF de l'armée française mobilisé dans les rangs lors de la 2eme guerre mondiale comme tirailleur algérien Notre feu père qui était sur la ligne de front comme tous ses frères de combat a perdu ses deux jambes dans les tranchées un certain 18 janvier 1940 Il fut déclaré Grand Invalide de Guerre et a du être rapatrié à Constantine le 1septembre 1940
En 1958 il lui a été discerné le titre de Chevalier de la Légion d'Honneur dont la médaille fut octroyée et épinglée des mains propres du général De Gaulle ,en guise de reconnaissance pour les services rendus la France
Notre père qui touchait une pension de guerre lors de sont vivant est décidé en 1968 laissant derrière lui une femme et sept enfants dont cinq filles ; les enfants en bas âge et les filles étant sous la tutelle de leur mère
Cette dernière à qui l'on accordait un salaire de 500FF par trimestre, de surcroît non actualisable puisque arrêté au 05 juillet 1962, a eu toutes les peines du monde pour nous élever Elle n'a même pas bénéficié du capital - décès de son mari
Toutes les requêtes qu'elle a adressées aux instances françaises pour une revalorisation décente et un octroi du capital - décès sont demeurées vaines pour les mêmes causes que citées précédemment
Rongée par les maladies et désabusée, elle devait décéder le 23 mars 2004 à Constantine sans se voir honorée de ses attentes
Nous sollicitons votre aide et conseils en vue de recouvrer nos droits au même titre...  

Nous sommes fils d'un ancien combattant BOUKHENFOUF MAYOUF de l'armée française mobilisé dans les rangs lors de la 2eme guerre mondiale comme tirailleur algérien Notre feu père qui était sur la ligne de front comme tous ses frères de combat a perdu ses deux jambes dans les tranchées un certain 18 janvier 1940 Il fut déclaré Grand Invalide de Guerre et a du être rapatrié à Constantine le 1septembre 1940
En 1958 il lui a été discerné le titre de Chevalier de la Légion d'Honneur dont la médaille fut octroyée et épinglée des mains propres du général De Gaulle ,en guise de reconnaissance pour les services rendus la France
Notre père qui touchait une pension de guerre lors de sont vivant est décidé en 1968 laissant derrière lui une femme et sept enfants dont cinq filles ; les enfants en bas âge et les filles étant sous la tutelle de leur mère
Cette dernière à qui l'on accordait un salaire de 500FF par trimestre, de surcroît non actualisable puisque arrêté au 05 juillet 1962, a eu toutes les peines du monde pour nous élever Elle n'a même pas bénéficié du capital - décès de son mari
Toutes les requêtes qu'elle a adressées aux instances françaises pour une revalorisation décente et un octroi du capital - décès sont demeurées vaines pour les mêmes causes que citées précédemment
Rongée par les maladies et désabusée, elle devait décéder le 23 mars 2004 à Constantine sans se voir honorée de ses attentes
Nous sollicitons votre aide et conseils en vue de recouvrer nos droits au même titre que les combattants français et honorer la mémoire de notre feu père par une action juste et équitable

Bonjour à tous !
J'aimerais porter mon opinion publiquement ici à tous et au service responsable concerné à propos du refus de délivrance du CNF par Le Greffier en Chef « F.S. » du Service de la Nationalité des français nés et établis hors de la France.
Je suis le petit fils d'un ancien combattant de Madagascar qui a servi l'Armée Française. Mon grand père lui même est encore vivant actuellement (87 ans) et c'est moi qui suis en charge de s'occuper de la jouissance de tous ses droits et de l’obtention de son Certificat de Nationalité Française.


La première demande (par voie postale) s'est soldée d'une réponse négative.
Il a été décidé : « Un Certificat de Nationalité Française ne peut pas vous être délivré » . . . . « Les documents produits n’en justifient pas » . . . .
Référence : Dossier N° CNF 8158/2006
Décision N° : 3311/06
Le Greffier en Chef nous demande de former un recours.
Mon grand père possède un acte de naissance enregistré à Nantes. Semblerait-il que mon grand père ait échappé au mécanisme mis en place ? (Loi du 28 Juillet 1960). Faute de moyens et de connaissance, mon grand père n’a pu faire reconnaître la nationalité française par déclaration dite « de reconnaissance » et c’est pour cette raison que j’ai fourni la copie de toutes les informations (énumérées ci-après) concernant mon grand père face à l’existence de problème de ce genre et j’aimerais qu’on y apporte des solutions autres que « le Recours ».

Je ne suis peut être pas renseigné des critères exigés pour l...  

Bonjour à tous !
J'aimerais porter mon opinion publiquement ici à tous et au service responsable concerné à propos du refus de délivrance du CNF par Le Greffier en Chef « F.S. » du Service de la Nationalité des français nés et établis hors de la France.
Je suis le petit fils d'un ancien combattant de Madagascar qui a servi l'Armée Française. Mon grand père lui même est encore vivant actuellement (87 ans) et c'est moi qui suis en charge de s'occuper de la jouissance de tous ses droits et de l’obtention de son Certificat de Nationalité Française.


La première demande (par voie postale) s'est soldée d'une réponse négative.
Il a été décidé : « Un Certificat de Nationalité Française ne peut pas vous être délivré » . . . . « Les documents produits n’en justifient pas » . . . .
Référence : Dossier N° CNF 8158/2006
Décision N° : 3311/06
Le Greffier en Chef nous demande de former un recours.
Mon grand père possède un acte de naissance enregistré à Nantes. Semblerait-il que mon grand père ait échappé au mécanisme mis en place ? (Loi du 28 Juillet 1960). Faute de moyens et de connaissance, mon grand père n’a pu faire reconnaître la nationalité française par déclaration dite « de reconnaissance » et c’est pour cette raison que j’ai fourni la copie de toutes les informations (énumérées ci-après) concernant mon grand père face à l’existence de problème de ce genre et j’aimerais qu’on y apporte des solutions autres que « le Recours ».

Je ne suis peut être pas renseigné des critères exigés pour l’obtention du CNF mais je juge que les documents que j’ai fournis sont suffisants, à savoir :
- Journal Officiel de Madagascar et Dépendances du 25 Janvier 1947 mentionnant l’Admission de plein droit à la qualité de citoyen français de mon grand père, par Décret et par Jugement du Tribunal de Première Instance de Tananarive (Madagascar)
- Etat Signalétique et des Services produit par le Ministère de la Défense portant sur son Service dans le Corps du Groupement d’Artillerie Coloniale de l’Emyrne de l’Armée Française
- Les renseignements sur son Livret Individuel d’Homme de Troupe et sur son Fiche Individuelle d’Habillement dans le Groupement d’Artillerie G.A.C.E.-BRP
- . . . . . . .
En attente d’une réponse favorable.
Mes vifs remerciements.