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Points de vue

Non à la banalisation du discours raciste d'Eric Zemmour !

Rédigé par Collectif de signataires | Mercredi 2 Octobre 2019 à 19:30

           

La charge haineuse du discours prononcé samedi 28 septembre par Eric Zemmour lors de la « convention de la droite » a provoqué un tollé général en France. A l'initiative de Chems-Eddine Hafiz, vice-président du Conseil français du culte musulman (CFCM), une tribune vient ici dénoncer la banalisation des discours de haine du polémiste. Celle-ci a d'ores et déjà été signée par une trentaine de personnes aux profils éclectiques.



Non à la banalisation du discours raciste d'Eric Zemmour !
À l’occasion de la tenue le 28 septembre 2019 de ce qui fut appelée la « convention des droites » et des amis de Marion Maréchal Le Pen, Éric Zemmour s’est lancé, comme à son habitude, dans une violente diatribe visant notamment les musulmans.

Adepte de la théorie du « grand remplacement », récusée par tous les démographes et sociologues sérieux, et portée par les seuls propagandistes d’extrême droite, Éric Zemmour se voit offrir, de manière éhontée, plusieurs tribunes, par certains médias, en quête d’audience, comme la chaîne LCI qui, en toute irresponsabilité, a retransmis en direct son discours, alors qu’il a été condamné il y a à peine quelques jours pour incitation à la haine pour des propos similaires tenus contre les musulmans.

Il est à rappeler en effet qu’il s’agit d’un récidiviste notoire, déjà condamné une première fois en 2011 et vient de se voir confirmer tout récemment une deuxième sanction.

Eric Zemmour, un agent provocateur qui cherche à nourrir et à exacerber toutes les divisions

Eric Zemmour ne doit pas être vu comme un penseur ou un intellectuel qui exprimerait son opinion dans un débat d’idées, mais comme un acteur médiatique de l’extrême droite française qui a fait de la xénophobie et de la stigmatisation du musulman une ligne idéologique et politique. Ces mêmes musulmans sont systématiquement essentialisés et décrits, sans aucune nuance, sous un vocable anxiogène et stigmatisant qui incite incontestablement à la haine et au rejet. Ce qui est contraire aux lois et aux règles de la République et à l’esprit d’une démocratie laïque où la liberté de conscience est garantie.

Eric Zemmour doit être placé dans la même catégorie que d’autres individus connus pour leurs discours extrémistes et haineux contre des segments de la société française. Il n’est pas possible d’accepter des discours aussi stigmatisants et de jeter le discrédit et l’opprobre sur un ensemble de citoyens appartenant à une même religion.

Au-delà des propos extrémistes dont il est le promoteur, Éric Zemmour crispe le débat et excite des tensions que plusieurs acteurs engagés veulent apaiser et traiter dans le cadre des lois et des règles de ce pays. Il est ainsi un agent provocateur qui cherche à nourrir et à exacerber toutes les divisions afin de se nourrir à son tour de celles-ci.

La parole raciste n’est pas une opinion mais un délit

Nous, signataires de la présente tribune, appelons à leur responsabilité les chaînes de télévision qui ont retransmis en direct le discours d’Éric Zemmour, leur faisant part de notre indignation et leur demandons d’être vigilants face à la parole haineuse qui ne doit pas être banalisée dans le débat public.

Nous, signataires de la présente tribune, demandons, par ailleurs, aux responsables politiques de s’exprimer pour dénoncer les propos dangereux d’Éric Zemmour et de tous ses acolytes. La parole raciste n’est pas une opinion, rappelons-le, mais un délit puni par les tribunaux de la République. On ne peut pas se prévaloir de la France et mépriser à ce point les valeurs qu’elle incarne.

Nous notons, par ailleurs, avec satisfaction que le parquet de Paris annonce l'ouverture d'une enquête sur les propos d’Éric Zemmour pour « injures publiques » et « provocation publique à la discrimination, la haine ou la violence », ce qui est déjà un signe important de la prise en compte par les pouvoirs publics de la dangerosité de cet individu.

Nous signataires de la présente tribune, demandons aux responsables religieux de France de dénoncer les propos abjects d’Éric Zemmour et de soutenir les musulmans, citoyens à part entière désireux de vivre en harmonie, partageant un même destin. Car, aujourd’hui, ce discours dangereux n’exprime ni nuance ni distinguo, assimile et aliène la majorité intégrée et apaisée des Français de confession musulmane, assignés dans ce discours d’extrême droite à représenter un danger pour la France, sa culture, ses valeurs, son économie et sa sécurité.

Une pétition a également été lancée, ici pour la signer.

Premiers signataires (par ordre alphabétique)

Fatma-Zohra Abdellatif, avocate ; Carole Latifa Ameer, directrice artistique et intervenante sur le soufisme ; Gérard Al Gazi, avocat honoraire ; Djelloul Beghoura, producteur-réalisateur ; Sadek Beloucif, professeur des universités ; Larbi Benabdelmadjid, avocat ; Afifa Bererhi, professeur émérite ; Valérie Bernadat, agence de communication ; Hacen Boukhelifa, avocat ; Gilles Devers, avocat ; Haydar Demiryurek, coprésident du Groupe d’amitié islamo-chrétien (GAIC) ; Ahmed Djebbar, professeur émérite ;

Fatima Fetouhi, fonctionnaire ; Chems-Eddine Hafiz, avocat, vice-président du Conseil français du culte musulman (CFCM) ; Eric Ghozlan, directeur International du Council for diplomacy and dialogue ; Maati Kabbal, responsable des jeudis de l’Institut du monde arabe (IMA), coordinateur scientifique des Rendez-vous de l’histoire ; Anouar Kbibech, directeur chez un opérateur de télécommunications, vice-président du Conseil français du culte musulman (CFCM) et président du Rassemblement des musulmans de France (RMF) ; Bariza Khiari, ex-sénatrice de Paris, vice-présidente du Sénat ; Saad Khiari, cinéaste-auteur ; Rachid Koraïchi, artiste plasticien ; Henri Leclerc, avocat ; Jean-Baptiste Ngandomane, avocat ; Emmanuel Pierrat, avocat et écrivain ; Prisca Thevenot, responsable associative ; Jean-Marie Saugey, militant associatif ; René Scemama, docteur en médecine ; Pierre Servan-Schreiber, avocat ; Mohamed Sifaoui, directeur du magazine Contre-terrorisme, journaliste et écrivain ; Dominique Sopo, président de SOS Racisme ; Benjamin Stora, historien ; Aslam Timol, chef d’entreprise, membre fondateur du Conseil français du culte musulman (CFCM) ; Abdallah Zekri, président de l’Observatoire de lutte contre l’islamophobie.

Lire aussi :
L'Observatoire contre l'islamophobie en France condamne les propos « scandaleux » d'Eric Zemmour
Une enquête ouverte contre Éric Zemmour pour « provocation publique à la haine ou la violence »
Les journalistes du Figaro veulent l'éviction d'Eric Zemmour
Une convention de la droite pour banaliser la haine contre l’islam et fantasmer sur le « grand remplacement »




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28.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 07/10/2019 22:37 | Alerter
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La question de l'intériorité (ou pas) de la pensée est une vraie question. Néanmoins il faut bien admettre que l'expression de la pensée, qui en est distincte, a une réalité, sinon cela reviendrait à nier la pensée elle même.

La liberté de l'expression quand elle est celle de la pensée, doit être totale à mon avis, et on ne doit limiter que les expressions qui ne sont pas des pensées mais des appels à des actions délictueuses.

Comme ces versets du coran qui appellent à tuer des gens, par exemple, quand ils sont repris à haute voix en y croyant.

27.Posté par Mythopasmytho le 07/10/2019 22:01 | Alerter
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Si je dis d'une valeur (la liberté) qu'elle est un droit, il faut que je me la représente pour la juger.
Pour l'expression on sait tous ce qu'est l'expression.
Une valeur (la liberté ou autre) ne peuvent se voir, s'entendre, se toucher, se sentir..
On peut tacher de se la représenter (c'est ce qui fait exister les choses) mais elle n'est pas réelle.
Pour pouvoir le faire puisque personne n'a jamais vu les valeurs, on fait appel ce que l'on connait, ce que l'on a déjà pu lire, voir, entendre, revé, à des représentations donc.
Ces derniers pour la représenter la diront, l'écriront, la mimerons etc
Ils utiliseront un langage. Ils estimeront de la valeur liberté qu'elle est une colombe, lucifer, eux memes etc.
Les valeurs peuvent etre une expression donc, etre incarnées par une forme, une entité. On les dira alors réelles (les représentations) on peut les lire, les toucher etc.
Cependant la liberté (ou autres valeurs) meme si elles peuvent etre représentées elles ne peuvent etre. Je ne suis pas liberté. Personne ne peut etre la liberté.
Pour en faire un droit, il faut que je juge de toutes les représentations que tout le monde peut en faire, lesquelles d'entres elles sont la liberté et lesquelles ne le sont pas.
La liberté, l'expression et le droit donc.
La liberté d'expression est un droit, c'est le sujet.
On jugera de mon dessin de colombe par exemple. De l'expression donc.
La liberté est une colombe. Oui, non, je ne sais pas.
A Lucifer maintenant.
Si la liberté est une colombe...  

26.Posté par Mythopasmytho le 07/10/2019 20:40 | Alerter
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La représentation n'est pas la pensée c'est le langage qui est lui meme la pensée. Pour savoir ce qu'est un arbre il faut obligatoirement en avoir déjà vu un. Ou qu'il nous soit décrie afin que l'on tache de s'en faire une représentation. Le langage est lui meme la pensée. Elle passe par le langage (une fonction) qui ne sert pas à dire ce que l'on pense mais qui l'on est (l'homme en général). Dont les hommes.

25.Posté par Mythopasmytho le 07/10/2019 20:22 | Alerter
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Liberté, expression et droit ne sont pas une meme notion.
La liberté est une valeur, l'expression un moyen, le droit, le communément admis
La liberté d'expression est un droit n'est pas exact. Autrement ça voudrait dire que l'on pourrait tout dire et donc du droit qu'il n'aurait pas lieu d'etre.
La liberté (d'expressions ou autres libertés) existent dans le droit mais les valeurs ne sont pas des droits.
La devise de la république le dit d'ailleurs. Liberté égalité fraternité.
La valeur liberté implique égalité et solidarité.
L'expression en fait parti. Elle est une liberté dans le respect des autres valeurs. Egalité et solidarité.
Par extension le droit est garant des dites valeurs.

24.Posté par Mythopasmytho le 07/10/2019 20:06 | Alerter
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La pensée est une représentation, le langage est la réflexion de la représentation
La représentation n'est pas la pensée c'est le langage qui est lui meme la pensée.
Histoires, livres et un livre, contenant, contenu ou l'ensemble ne signifient pas la meme chose. Eux memes contiennent des mots, qui eux memes contiennent un sens, qui eux memes se rapportent à des représentations etc.

23.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 05/10/2019 20:49 | Alerter
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"Lorsque l'on dit quelque chose on ne dit pas ce que l'on pense on dit qui l'on est. "
Je suis en désaccord: même si on peut se mettre en colère et dire des choses qu'on ne devrait pas dire, révélant donc ce qu'on est, il est possible, à certains moments de dire ce que l'on pense.
Le nier est une pensée erronée ou extrémiste. C'est ce que je pense.

22.Posté par Mythopasmytho le 05/10/2019 18:23 | Alerter
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François. Si demain quelqu'un imite Zemmour et qu'il diseZemmour a dit que. Ca, ceci ou le reste.
Un de nos descendants qui dise, Untel a dit que donc.
Une idée, un concept. Un jugement de valeur. Une opinion politique etc.
Qui l'a dit. Un profil. Un individu.
Qu'est-ce qu'il a dit. Une phrase.
Pourquoi. La raison.
Dire fait entrer plusieurs autres paramètres, qui le dit, qui il est (un vécu et donc un hasard)
Qu'est-ce qu'il dit. Idem. Ce qu'il est (un vécu) en rajoutant les notions de libre arbitre, réflexion, intellect, jugement... ce que l'on connait, ce que l'on a appris, la représentation, l'idée de que l'on se fait des choses.
Pourquoi. Par opposition à quelque chose.
Lorsque l'on dit quelque chose on ne dit pas ce que l'on pense on dit qui l'on est. Untel a dit que ne dit rien de fondamentalement vrai ou faux, juste ou inexact, sensé ou fou, il dit qui il est juste. Ses idées, ses gouts, ses opinions, ses analyses etc..

21.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 05/10/2019 18:18 | Alerter
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20.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 05/10/2019 18:17 | Alerter
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Il est pourtant très bien votre commentaire 10 !
Notamment le "Liberté, expression et droit ne sont pas une même notion."

C'est du douze dont je parlais...

19.Posté par Mythopasmytho le 05/10/2019 17:38 | Alerter
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Ha oui je n'avais pas fais attention à ça. Mon commentaire dix est bien entendu devenu le neuf. Lol.
La logique veut que le neuf soit devenu le huit. Le dix un huit donc. Lol.

18.Posté par Mythopasmytho le 05/10/2019 17:34 | Alerter
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Lol mon commentaire dix, je me fais rire moi meme.
C'est très mal dit et pas que, beaucoup d'inexact.
Mais enfin j'ai compris ce que j'ai voulu dire, c'est tout ce qui m'importe.
Oui puisque l'on sait que tout le monde s'en fout, moi y compris. Lol.
Je ne comprends pas le principe qui consiste à citer les pensées des autres.
Il n'y a que deux possibilités. Soit on est le premier à penser quelque chose, soit d'autres l'ont pensé avant nous.
Citer quelqu'un d'autre revient à dire, ce n'est pas moi qui ait pensé cela mais rien de plus.
Untel à pensé que….
Tous autant que nous sommes pensons.
La question qui se pose est donc, pourquoi ceux qui citent la pensé des autres choisissent t'ils de citer untel plutôt qu'un autre.
Un c'est quelqu'un sauf tout le monde.
Tout le monde c'est tous les autres sauf moi.
Un n'est pas plus légitime que tout le monde. Tout le monde n'est pas plus légitime qu'un.
Dans une conversation, personne n'aurait l'idée de répondre la meme phrase que celle qui a été prononcé par l'autre. On le fait parfois pour s'amuser, pour embeter mais ça n'a pas de sens.
Ce qui a du sens c'est de répondre, de critiquer, en validant éventuellement mais on le fait en argumentant, je suis d'accord (ou le contraire) avec ce que tu dis et l'autre à son tour reprend la parole et fait de meme.
L'intérêt du jeu c'est de pouvoir répondre. Pour les personnes citées qui ne peuvent pas le faire, leurs pensées dans un passé est transposée comme s'il y avait continuité de sa pensée au...  

17.Posté par francois.carmignola@gmx.com le 05/10/2019 17:17 | Alerter
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"Mais enfin François on sait des mots musulmans et islam qu'ils sont des termes interchangeables. Pour pouvoir dire mon racisme je ne dirais pas les musulmans sont des nazis autrement je tombe sous la coup de la loi, pour pouvoir le dire, je dirais donc de l'islam qu'il est un nazisme."

Désolé... "musulmans" désigne des personnes et "islam" une religion, voire pour certains une idéologie, voir pour certains (comme les auteurs des années 30 cités par Zemmour) une idéologie comparable au nazisme.
Relisez le discours...

Quand à affirmer qu'on a une stratégie rhétorique, inversant les deux significations, c'est, pardonnez moi de l'insinuer, une manière connue de rendre impossible toute critique de l'islam. Imaginez par hasard que l'islam soit effectivement une idéologie totalitaire avec un projet de domination: on ne pourrait plus le dire ? On ne pourrait pas s'en défendre ?

Je pense personnellement que Zemmour exagère un peu, et que ce n'est que partiellement que l'islam actuel est un système autoritaire et conquérant, sous sa forme fasciste (de fait proto nazie) telle que manifestée par les frères musulmans ou les diverses sectes islamistes.

16.Posté par Mythopasmytho le 05/10/2019 16:05 | Alerter
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Je vous reproche de n'avoir rien dit.
Réponse: Vous me reprochez ce que je n'ai pas dit.
Oui. Les sentiments sont un délit. La haine est un délit.
Mais vous me reprochez un sentiment, un non choix.
Non. Je vous reproche votre non expression de la haine.
Mais vous meme le dites, je n'ai rien dit.
Justement il fallait la dire.
Mais quoi donc.
La haine pardi. Ne pas user de sa liberté d'expression est un délit.

15.Posté par Mythopasmytho le 05/10/2019 15:29 | Alerter
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J'ai vu passer chez je ne sais plus quel politique.
La liberté d'expression est un droit, la haine des personnes un délit.
L'expression un droit. Un sentiment (la haine) un délit.
La haine des personnes n'a jamais été un délit.
La haine est un sentiment.
C'est l'expression de la haine qui est un délit.
L'expression peut ne pas etre une liberté. La phrase la liberté d'expression est un droit est donc inexacte.

14.Posté par Mythopasmytho le 05/10/2019 13:53 | Alerter
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La liberté d'expression s'incarne. C'est dire, écrire, parler, mimer…
La liberté (d'expression) est en vérité une personne.
Une personne qui s'exprime.
La liberté n'est pas une personne.
On ne peut ni l'incarner, ni l'entendre ni la voir…
L'expression c'est la communication (un sens) Elle est une personne.
Le droit (pouvoir disposer) un acquis.
La liberté (une valeur) d'expression (un sens) est un droit (un acquis).

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