Deux semaines après l'audience au tribunal correctionnel de Aîn Tedless, près de Mostaganem, le verdict est tombé. Mohamed Fali, président de la communauté ahmadie algérienne, est condamné à six mois de prison avec sursis pour « offense au Prophète et à l’islam » mercredi 13 septembre. Le parquet avait requis un an de prison ferme.
« Certes, mon client va retrouver sa liberté, mais je suis choqué qu’il ait été condamné dans une affaire où il n’y a pas de faits », a réagi son avocat Me Salah Dabouz.
Mohamed Fali est poursuivi dans six tribunaux différents pour les mêmes chefs d'accusation.
Plusieurs ONG dont Amnesty internationale et Human Wright Watch ont dénoncé la répression dont sont victimes les membres de la communauté ahmadie.
Lire aussi :
Algérie : Human Right Watch dénonce la répression contre les Ahmadis
Algérie : les Ahmadis victimes d'une campagne de répression, l'alerte d'Amnesty International
« Certes, mon client va retrouver sa liberté, mais je suis choqué qu’il ait été condamné dans une affaire où il n’y a pas de faits », a réagi son avocat Me Salah Dabouz.
Mohamed Fali est poursuivi dans six tribunaux différents pour les mêmes chefs d'accusation.
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