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Sur le vif

Un nouveau président impliqué dans l'interreligieux pour la Ligue des oulémas du Sahel

Rédigé par Lina Farelli | Mardi 6 Juillet 2021 à 18:00

           


Un nouveau président impliqué dans l'interreligieux pour la Ligue des oulémas du Sahel
Abakar Walar Modou a été élu président de la Ligue des oulémas, prêcheurs et imams des pays du Sahel à l'issue d’une assemblée générale organisée lundi 5 juillet à Ouagadougou, au Burkina Faso.

Abakar Walar Modou est secrétaire général de l’Université du roi Faysal à N'Djamena, directeur des Affaires du Saint Coran du Haut conseil tchadien des Affaires islamiques et imam prédicateur de la Grande Mosquée de N’Djamena.

L’homme est aussi très impliqué dans le dialogue interreligieux au Tchad et en Afrique. Celui qui a été le président d'honneur de l'Association des jeunes pour le dialogue interreligieux est membre, entre autres, de Théologie en dialogue, un groupe de réflexion islamo-chrétien animé par le Service national des relations avec les musulmans, sous l’égide de l’Eglise catholique de France.

La Ligue des oulémas, prêcheurs et imams des pays du Sahel, qui regroupe des représentants musulmans d'Algérie, du Burkina Faso, de la Libye, de la Mauritanie, du Mali, du Niger, du Nigeria, du Mali et du Tchad, complétée par des représentants de trois pays observateurs, la Côte d'Ivoire, la Guinée et le Sénégal, a été fondée en 2013 à Alger afin d’apporter sa pierre à l’édifice de la lutte contre l'extrémisme religieux qui mine le Sahel.

Lire aussi :
Les leaders religieux du Sahel unis contre l'extrémisme des jeunes




Réagissez ! A vous la parole.

1.Posté par Premier Janvier le 08/07/2021 15:25 | Alerter
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Inter signifie espace, séparation.
Dialogue inter religieux.
Il y en effet séparation entre les religions, mais elles ont toutes le même socle.
Il y a dieu puis il y a ce qu'il y a dedans.
Ce qu'il y a dedans il n'y a que lui même qui puisse le révéler.
Les croyants disent je crois j'ai rencontré dieu.
Ils ne l'ont pas cherché, ils l'ont trouvé, il s'est révélé à eux.
Tandis qu'il a toujours été là un jour, il s'est trouvé qu'ils le rencontrent en le reconnaissant. C'est dieu lui même s'est révélé à eux, c'est lui qui a dit, c'est moi, je suis dieu.
Egalement il y a ce qu'il y a dedans. Mais cela n'arrive qu'après la rencontre.
Là ce n'est plus lui qui parle, la rencontre a déjà eu lieu et devient une narration, un récit.
Là ça ce m'est à être l'homme qui parle de celui qu'il a connu, rencontré. L'homme qui explique son vécu, qui est celui qu'il a rencontré, comment il s'est révélé, ou, quand, ce qu'il lui a paru être etc, son expérience.
C'est surement là je crois qu'intervient le mot inter, séparation.
Tandis que tous parlent de la même chose, dieu, chacun en fait son récit.
Ce qui n'a pas de rapport avec dieu lui même.
On lui prête d'ailleurs plusieurs noms, ce qui fait du coup que dans un même temps on se trouve dans l'obligation d'en dire et de reconnaître qu'il n'a pas de nom et ne pas en avoir.
Lorsque l'on dit inter, espace, séparation c'est donc en vérité de nous même que l'on parle et pas de lui. On se confond, se fusionne je crois avec dieu lui même.
On confond ...  

2.Posté par Premier Janvier le 08/07/2021 15:37 | Alerter
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Je crois que l'on confond qui il est (dieu) et ce que l'on en dit.
On confond l'idée que l'on se fait des choses et les choses elle même.
Voilà c'est ce que j'ai voulu dire.
Si l'on dit de dieu qu'il n'y a que lui même qui puisse dire qui il est et que dans un même temps on l'on en dise l'idée que l'on s'en fait lui appartient c'est parler de deux choses différentes. Lui et moi. La chose et l'idée.
Je prends dieu comme exemple parce que le thème est la religion. Mais pour n'importe quoi d'autres même chose. Un objet, un fait, une idée...
Après inter est peut être mis pour dire, on est bien d'accord, on parle de la même chose, ce ne sont que nous les hommes qui parlons, nous cherchons, supposons, tentons de nous expliquer, nous comprendre. Sans séparation.

3.Posté par Premier Janvier le 08/07/2021 20:12 | Alerter
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Mon dieu que je rédige mal. Il faut vraiment que j'arrête de boire. Lol.


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