Sur le vif
Les fidèles de la mosquée de Villeneuve-d'Ascq sont sous le choc après avoir appris que plusieurs responsables du centre islamique ont été ouvertement accusés d'abus de confiance, de fraude et de tentative d'escroquerie ont été placés sous contrôle judiciaire.
« Profondément préoccupé(e) par une telle mesure », l'association gérant la mosquée, par la voix de son secrétaire général Mohammed El Mokhtari, a indiqué, vendredi 5 mai, prendre cette situation « très sérieusement ».
La CIV ne revient pas véritablement sur le fond de l'affaire, mais se déclare consciente que « cette situation peut affecter la réputation de notre association et mettre à mal toutes ces années de travail et d'investissement ». Elle indique sa pleine confiance dans la justice. « Nous collaborerons pleinement avec les autorités judiciaires. Nous sommes persuadés que toute la vérité sera faite, les soupçons levés et la bonne foi confirmée », lit-on dans le communiqué.
La CIV se dit tout aussi « convaincu(e) que la présomption d'innocence, principe garanti par la Constitution, doit être respectée pour tous, » que « déterminé(e) à poursuivre nos missions avec intégrité et transparence ».
Assurant n'avoir « jamais toléré aucun comportement contraire à ces valeurs », elle se dit prête à engager des poursuites judiciaires pour défendre l'association « contre toutes fausses informations ou propos diffamatoires ».
Lire aussi :
Villeneuve-d'Ascq : les dirigeants de la mosquée dans la tourmente judiciaire
« Profondément préoccupé(e) par une telle mesure », l'association gérant la mosquée, par la voix de son secrétaire général Mohammed El Mokhtari, a indiqué, vendredi 5 mai, prendre cette situation « très sérieusement ».
La CIV ne revient pas véritablement sur le fond de l'affaire, mais se déclare consciente que « cette situation peut affecter la réputation de notre association et mettre à mal toutes ces années de travail et d'investissement ». Elle indique sa pleine confiance dans la justice. « Nous collaborerons pleinement avec les autorités judiciaires. Nous sommes persuadés que toute la vérité sera faite, les soupçons levés et la bonne foi confirmée », lit-on dans le communiqué.
La CIV se dit tout aussi « convaincu(e) que la présomption d'innocence, principe garanti par la Constitution, doit être respectée pour tous, » que « déterminé(e) à poursuivre nos missions avec intégrité et transparence ».
Assurant n'avoir « jamais toléré aucun comportement contraire à ces valeurs », elle se dit prête à engager des poursuites judiciaires pour défendre l'association « contre toutes fausses informations ou propos diffamatoires ».
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