Sur le vif
Dominique de Villepin a fait sa rentrée politique sur le thème de l'éducation et son rôle crucial dans la promotion de l'égalité des chances, en s'exprimant jeudi devant des responsables d'académie réunis à Paris pour préparer la rentrée scolaire.
Rappelant que "l'école, c'est le moyen privilégié de l'ascenceur social", le Premier ministre s'est dit déterminé à corriger l'impression, chez beaucoup de Français, "qu'il ne fonctionne plus".
Le chef du gouvernement a confirmé la création d'une allocation de rentrée de 300 euros pour les étudiants boursiers quittant le domicile parental. Cette mesure "concernera, pour commencer, 80.000 personnes qui touchent leur première allocation logement" et sera versée dès début novembre, a-t-il précisé.
Aux côtés de ses ministres Gilles de Robien (Education) et François Goulard (Enseignement supérieur), il a estimé que "ce point de départ" constituait un "effort très significatif de la part de l'Etat" en faveur des étudiants issus de milieux modestes "qui en ont le plus besoin".
Il a par ailleurs tenté de rassurer le corps enseignant en s'engageant à mettre "les moyens nécessaires" et "tout faire pour que cette rentrée scolaire 2006 se passe bien", alors que le projet de budget 2007 prévoit le non-remplacement de 7.000 fonctionnaires dans l'Education nationale.
"Nous avons engagé depuis un an un effort sans précédent de maîtrise des finances publiques et de réduction de l'endettement", a-t-il rappelé, et "l'Education nationale doit y prendre toute sa part".
"Les efforts doivent être réalisés là où ils sont possibles, là où ils sont utiles", a-t-il expliqué. "Si l'évolution démographique nous permet de réduire les effectifs dans un établissement, nous le ferons. Si en revanche, il y a des besoins, s'il manque des professeurs dans telle ou telle école, dans tel ou tel collège ou lycée, nous mettrons les moyens nécessaires".
M. de Villepin a laissé entendre qu'il pourrait prochainement annoncer des nouvelles mesures pour lutter contre le chômage des jeunes, plusieurs mois après son échec sur le CPE.
Rappelant que "l'école, c'est le moyen privilégié de l'ascenceur social", le Premier ministre s'est dit déterminé à corriger l'impression, chez beaucoup de Français, "qu'il ne fonctionne plus".
Le chef du gouvernement a confirmé la création d'une allocation de rentrée de 300 euros pour les étudiants boursiers quittant le domicile parental. Cette mesure "concernera, pour commencer, 80.000 personnes qui touchent leur première allocation logement" et sera versée dès début novembre, a-t-il précisé.
Aux côtés de ses ministres Gilles de Robien (Education) et François Goulard (Enseignement supérieur), il a estimé que "ce point de départ" constituait un "effort très significatif de la part de l'Etat" en faveur des étudiants issus de milieux modestes "qui en ont le plus besoin".
Il a par ailleurs tenté de rassurer le corps enseignant en s'engageant à mettre "les moyens nécessaires" et "tout faire pour que cette rentrée scolaire 2006 se passe bien", alors que le projet de budget 2007 prévoit le non-remplacement de 7.000 fonctionnaires dans l'Education nationale.
"Nous avons engagé depuis un an un effort sans précédent de maîtrise des finances publiques et de réduction de l'endettement", a-t-il rappelé, et "l'Education nationale doit y prendre toute sa part".
"Les efforts doivent être réalisés là où ils sont possibles, là où ils sont utiles", a-t-il expliqué. "Si l'évolution démographique nous permet de réduire les effectifs dans un établissement, nous le ferons. Si en revanche, il y a des besoins, s'il manque des professeurs dans telle ou telle école, dans tel ou tel collège ou lycée, nous mettrons les moyens nécessaires".
M. de Villepin a laissé entendre qu'il pourrait prochainement annoncer des nouvelles mesures pour lutter contre le chômage des jeunes, plusieurs mois après son échec sur le CPE.
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