Sur le vif
Une marche silencieuse à la mémoire de Yamine Djerroud a rassemblé vendredi soir à Bobigny près de 800 personnes, selon la police.
La mère de Yamine était présente en tête du cortège, emmené par des jeunes portant une large banderole blanche "A la mémoire de Yamine Lucio".
"Lucio", le surnom donné à Yamine par ses camarades de football, était imprimé au dos de T-shirts portés par les voisins, amis de Yamine au club de judo de Bobigny, et ses camarades du lycée Paul-Robert des Lilas.
Sur le devant, était inscrit "Yamine, un mec bien mort pour rien" ou "A la mémoire de Yamine 22/08/1986 - 21/07/2006".
A 18h45, le cortège est parti avec émotion de la rue de Bresse, marquant un arrêt de plusieurs minutes devant la cave où le jeune homme de 19 ans est mort, à quelques dizaines de mètres de chez lui.
"Ils ont pris mon ange", a dit en pleurs sa mère, devant la foule rassemblée devant l'hôtel de ville. Certains proches et amis ont tenu à s'exprimer publiquement: "Yamine était la gentillesse, le respect porté à chacun", "Il est mort par abus de confiance", "nous sommes tristes et révoltés", "repose en paix", ont-ils dit au micro.
Plus tôt dans l'après-midi, Yamine a été inhumé dans le cimetière franco-musulman de Bobigny.
Son corps avait été découvert le visage tuméfié et déformé par les coups, un sac plastique roulé dans la gorge, par quatre de ses amis dans la nuit de vendredi à samedi dernier.
Selon l'hypothèse privilégiée par les enquêteurs de la Brigade criminelle, plusieurs jeunes, qu'il connaissait, auraient voulu lui faire payer des propos blessants colportés sur la petite amie de l'un d'entre eux.
Mardi soir, un jeune homme de 19 ans a été mis en examen pour "assassinat" et écroué. Un autre auteur présumé de l'agression est toujours en fuite.
La jeune fille au centre des rumeurs supposées est, elle, poursuivie pour "non-dénonciation de crime".
La mère de Yamine était présente en tête du cortège, emmené par des jeunes portant une large banderole blanche "A la mémoire de Yamine Lucio".
"Lucio", le surnom donné à Yamine par ses camarades de football, était imprimé au dos de T-shirts portés par les voisins, amis de Yamine au club de judo de Bobigny, et ses camarades du lycée Paul-Robert des Lilas.
Sur le devant, était inscrit "Yamine, un mec bien mort pour rien" ou "A la mémoire de Yamine 22/08/1986 - 21/07/2006".
A 18h45, le cortège est parti avec émotion de la rue de Bresse, marquant un arrêt de plusieurs minutes devant la cave où le jeune homme de 19 ans est mort, à quelques dizaines de mètres de chez lui.
"Ils ont pris mon ange", a dit en pleurs sa mère, devant la foule rassemblée devant l'hôtel de ville. Certains proches et amis ont tenu à s'exprimer publiquement: "Yamine était la gentillesse, le respect porté à chacun", "Il est mort par abus de confiance", "nous sommes tristes et révoltés", "repose en paix", ont-ils dit au micro.
Plus tôt dans l'après-midi, Yamine a été inhumé dans le cimetière franco-musulman de Bobigny.
Son corps avait été découvert le visage tuméfié et déformé par les coups, un sac plastique roulé dans la gorge, par quatre de ses amis dans la nuit de vendredi à samedi dernier.
Selon l'hypothèse privilégiée par les enquêteurs de la Brigade criminelle, plusieurs jeunes, qu'il connaissait, auraient voulu lui faire payer des propos blessants colportés sur la petite amie de l'un d'entre eux.
Mardi soir, un jeune homme de 19 ans a été mis en examen pour "assassinat" et écroué. Un autre auteur présumé de l'agression est toujours en fuite.
La jeune fille au centre des rumeurs supposées est, elle, poursuivie pour "non-dénonciation de crime".
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