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Sur le vif

Syrie : avec la loi César, Washington veut mettre la pression sur le régime de Bachar Al-Assad

Rédigé par Lina Farelli | Mercredi 17 Juin 2020 à 11:45

           


Le régime syrien de Bachar Al-Assad est visé par de nouvelles sanctions américaines avec la loi César, entrée en vigueur mercredi 17 juin. © Kremlin
Le régime syrien de Bachar Al-Assad est visé par de nouvelles sanctions américaines avec la loi César, entrée en vigueur mercredi 17 juin. © Kremlin
Le régime syrien de Bachar Al-Assad est visé par de nouvelles sanctions américaines. La loi César (Caesar Syria Civilian Protection Act of 2019), votée par le Congrès américain et promulguée en décembre 2019 par Donald Trump, est entrée en vigueur mercredi 17 juin.

Cette loi, du nom de code d’un photographe militaire syrien qui avait exfiltré en 2013 des dizaines de milliers de photos de Syriens torturés à mort pour prouver les crimes commis par le régime depuis mars 2011, cible aussi bien les personnes et les entreprises collaborant avec Bachar Al-Assad. Elle vise des individus et des entités aussi bien syriennes qu’étrangères, qui apportent « un soutien significatif au gouvernement syrien, financier, matériel ou technologique », notamment dans les secteurs des hydrocarbures, de l’aéronautique militaire, des finances et de la construction.

Lire aussi : Opération Cesar, un témoignage choc sur les crimes de guerre en Syrie

Les Etats-Unis entendent ainsi faire pression sur le régime de Bachar Al-Assad pour la mise en oeuvre d'une résolution politique du conflit en Syrie, plongée dans un marasme économique. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), la guerre a fait plus de 384 000 morts depuis 2011.

Lire aussi :
Syrie : face au drame humanitaire à Idlib, l'appel de 14 ministres d'Etats européens à la fin de l'offensive




Réagissez ! A vous la parole.

1.Posté par Premier Janvier le 17/06/2020 18:06 | Alerter
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Beurk l'horreur.
Ne dîtes Washington mais l'hégémonie américaine, le régime étasunien. Tandis qu'il tue à tire larigot il prend la posture de montrer du doigt le reste du monde.
Et le plus fort c'est qu'il en est la plupart du temps l'instigateur.
Je sais pourtant bien de Assad qu'il n'est pas un dirigeant élu, qu'il incarne une domination chiite, qu'il est un sectaire, qu'il n'est ni légitime, ni démocrate.
Mais Washington est son avatar.
Il se fout éperdument des syriens. Seul l'hégémonie le guide. D'ou l'introduction. Beurk. L'horreur.
Assad est lui au moins un syrien. Un sectaire mais un syrien.
Celui dont il est question (les us) veut la Syrie mais se fiche éperdument des syriens. La peste ou le choléra quoi.

2.Posté par Premier Janvier le 17/06/2020 18:22 | Alerter
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N'est-ce pas ce pays (les us) qui a décrété un muslim ban. Quelle bande de cinglé. L'hégémonie (l'autorité) est une folie comme les autres. Pays de cinglés.

3.Posté par Premier Janvier le 18/06/2020 19:11 | Alerter
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Lorsque l'on a un Guantanamo on fait profil bas, on ferme sa gueule.
Eux mêmes (les us) font plus que torturer. Ils liquident à tour de bras des syriens, des irakiens, des afghans. Depuis tout le temps ils ne font que cela. Des guerres à tire larigot et leurs cortèges de victimes.
Après je suis nul en politique. Mais bon. Merde alors. De qui on se moque.

4.Posté par Premier Janvier le 18/06/2020 19:46 | Alerter
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Je suis entrain de me dire que peut être j'ai choqué.
Mais il ne peut pourtant pas y avoir de torture supérieure à une autre torture.
Ou de massacre supérieur à un autre massacre.
Ce n'est pas d'eux dont il peut être question dans cette affaire donc.
Voilà. C'est à peut près ce que j'ai voulu dire.
De la politique qu'elle fait de nous des obnubilés, des embrouillés, des obsédés.
De la politique qu'elle fait de nous des mabouls. Des tarés quoi.


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