Sur le vif
Le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy, également président du Conseil général des Hauts-de-Seine, a accueilli samedi soir à l'aéroport de Roissy soixante enfants libanais invités à passer un mois de vacances en France par le département.
Le ministre a salué chaque enfant à sa descente de l'avion en provenance de Larnaca (Chypre), sur le tarmac attenant au pavillon de réception de l'aéroport.
Les enfants sont ensuite montés dans des bus qui les attendaient pour les amener à l'Ecole centrale de Chatenay-Malabry où ils prendront leurs quartiers.
"Nous avons décidé d'organiser cette opération à caractère humanitaire pour offrir des vacances à des enfants qui ont souffert dans leur pays, dans la tradition d'accueil de la France", a expliqué le ministre à la presse, venue nombreuse à l'aéroport.
Interrogé par des médias arabophones sur sa position diplomatique, M. Sarkozy a affirmé que "la France veut la paix, la liberté pour le Liban".
"Il n'y a pas de solution militaire au conflit. Il faut dialoguer, discuter, et que les puissances qui sont autour dans la région cessent de se servir du Liban (...) Je réitère mon appel à un cessez-le-feu et à la raison. Le Liban est une victime comme Israël", a-t-il poursuivi.
"Les enfants sont des jeunes de 12 à 16 ans, qui ont pour la plupart dû quitter leur maison à cause des bombardements. Nous les avons choisis avec l'aide des ONG sur place", a expliqué à la presse le président de l'association, Roland Asmar.
L'opération, décidée la semaine dernière par le Conseil général des Hauts-de-Seine, a été organisée dans l'urgence en coopération avec l'Association médicale franco-libanaise.
Le ministre a salué chaque enfant à sa descente de l'avion en provenance de Larnaca (Chypre), sur le tarmac attenant au pavillon de réception de l'aéroport.
Les enfants sont ensuite montés dans des bus qui les attendaient pour les amener à l'Ecole centrale de Chatenay-Malabry où ils prendront leurs quartiers.
"Nous avons décidé d'organiser cette opération à caractère humanitaire pour offrir des vacances à des enfants qui ont souffert dans leur pays, dans la tradition d'accueil de la France", a expliqué le ministre à la presse, venue nombreuse à l'aéroport.
Interrogé par des médias arabophones sur sa position diplomatique, M. Sarkozy a affirmé que "la France veut la paix, la liberté pour le Liban".
"Il n'y a pas de solution militaire au conflit. Il faut dialoguer, discuter, et que les puissances qui sont autour dans la région cessent de se servir du Liban (...) Je réitère mon appel à un cessez-le-feu et à la raison. Le Liban est une victime comme Israël", a-t-il poursuivi.
"Les enfants sont des jeunes de 12 à 16 ans, qui ont pour la plupart dû quitter leur maison à cause des bombardements. Nous les avons choisis avec l'aide des ONG sur place", a expliqué à la presse le président de l'association, Roland Asmar.
L'opération, décidée la semaine dernière par le Conseil général des Hauts-de-Seine, a été organisée dans l'urgence en coopération avec l'Association médicale franco-libanaise.
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