Sur le vif
Le président du Conseil italien sortant, Silvio Berlusconi, qui n'a toujours pas reconnu la victoire de Romano Prodi aux élections législatives des 9 et 10 avril, a quand même fait allusion vendredi au futur gouvernement dirigé par son rival, mais seulement pour dire qu'il était voué à l'échec. "Je pense qu'il s'agira d'une parenthèse, d'une interruption dans note chemin vers un avenir de développement, de progrès et de liberté", a déclaré le dirigeant conservateur devant ses partisans dans la ville de Trieste (nord-est de l'Italie).
Silvio Berlusconi, qui conteste les résultats, a ajouté qu'il n'avait pas appelé Romano Prodi et qu'il n'avait pas l'intention de le faire. Il a toutefois semblé reconnaître que ses jours en tant que président du Conseil étaient comptés, affirmant que ce serait au président italien de lui dire quand il devrait démissionner. Mais il a promis une rude bataille quand il serait dans l'opposition. "Je pense qu'en se servant de tous les moyens que les règlements parlementaires nous permettent d'utiliser, nous pourrons les rendre inoffensifs", a-t-il déclaré, faisant référence au futur gouvernement Prodi.
Dans d'autres commentaires publiés dans la presse vendredi, il a affirmé qu'il ferait appel, devant un tribunal administratif régional de Rome, de la décision de la Cour de cassation confirmant les résultats du scrutin et accordant la majorité à la Chambre des députés à la coalition de centre-gauche. Il a également demandé une nouvelle vérification d'une partie des bulletins de vote.
Silvio Berlusconi, qui conteste les résultats, a ajouté qu'il n'avait pas appelé Romano Prodi et qu'il n'avait pas l'intention de le faire. Il a toutefois semblé reconnaître que ses jours en tant que président du Conseil étaient comptés, affirmant que ce serait au président italien de lui dire quand il devrait démissionner. Mais il a promis une rude bataille quand il serait dans l'opposition. "Je pense qu'en se servant de tous les moyens que les règlements parlementaires nous permettent d'utiliser, nous pourrons les rendre inoffensifs", a-t-il déclaré, faisant référence au futur gouvernement Prodi.
Dans d'autres commentaires publiés dans la presse vendredi, il a affirmé qu'il ferait appel, devant un tribunal administratif régional de Rome, de la décision de la Cour de cassation confirmant les résultats du scrutin et accordant la majorité à la Chambre des députés à la coalition de centre-gauche. Il a également demandé une nouvelle vérification d'une partie des bulletins de vote.
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