Sur le vif
Le Réseau éducation sans frontières (RESF), soutenu par plusieurs dizaines d'associations, de syndicats et de partis de gauche, appelle à une manifestation nationale samedi à Paris pour exiger la régularisation des familles sans-papiers ayant des enfants scolarisés en France et déboutées de la circulaire Sarkozy.
Les organisateurs appellent également, à l'occasion de ce défilé, à soutenir les expulsés de Cachan (Val-de-Marne) et les sans-papiers en général.
"Des papiers, un logement, une école pour tous. Halte à la répression policière!", sera le mot d'ordre de ce défilé qui quittera la place Denfert-Rochereau vers 14h30 en direction de l'hôtel Matignon.
Mardi dernier, L'Armée du salut, Emmaüs France, Médecins du Monde et la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale (FNARS) ont demandé à l'Etat de nommer un médiateur pour trouver une solution à la situation des familles de Cachan (Val-de-Marne) installées depuis le 18 août dans un gymnase dans des conditions sanitaires préoccupantes, après l'évacuation de l'ancienne cité universitaire.
Six occupants du gymnase sont en grève de la faim depuis le 21 août. Dans un communiqué diffusé vendredi, les six grévistes affirment vouloir "vivre avec dignité ou mourir en paix" et expliquent qu'il s'agit de leur "seul choix face à la brutalité de ce gouvernement".
Les organisateurs appellent également, à l'occasion de ce défilé, à soutenir les expulsés de Cachan (Val-de-Marne) et les sans-papiers en général.
"Des papiers, un logement, une école pour tous. Halte à la répression policière!", sera le mot d'ordre de ce défilé qui quittera la place Denfert-Rochereau vers 14h30 en direction de l'hôtel Matignon.
Mardi dernier, L'Armée du salut, Emmaüs France, Médecins du Monde et la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale (FNARS) ont demandé à l'Etat de nommer un médiateur pour trouver une solution à la situation des familles de Cachan (Val-de-Marne) installées depuis le 18 août dans un gymnase dans des conditions sanitaires préoccupantes, après l'évacuation de l'ancienne cité universitaire.
Six occupants du gymnase sont en grève de la faim depuis le 21 août. Dans un communiqué diffusé vendredi, les six grévistes affirment vouloir "vivre avec dignité ou mourir en paix" et expliquent qu'il s'agit de leur "seul choix face à la brutalité de ce gouvernement".
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