Sur le vif
C'est aujourd'hui que les six puissances en charge du dossier nucléaire iranien se réunissent à Paris pour tenter de parvenir à un accord sur la nature et l'ampleur des sanctions à imposer à Téhéran, qui refuse toujours de suspendre son programme d'enrichissement d'uranium.
La réunion, qui intervient après plusieurs rencontres infructueuses, doit se tenir au ministère des Affaires étrangères au niveau des directeurs politiques, en présence d'un représentant du diplomate en chef de l'Union européenne, Javier Solana.
Le ministre français des Affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, a estimé lundi que les six grandes puissances (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Allemagne, Royaume-Uni) étaient désormais prêtes à "trouver un accord", après un entretien à Bruxelles avec son homologue russe Sergueï Lavrov.
Les Etats-Unis et, dans une moindre mesure, la France, ont montré des signes d'impatience ces derniers jours face aux réticences de la Russie et de la Chine, qui empêchent le Conseil de sécurité de passer au vote des sanctions.
"L'idée, c'est qu'on arrive maintenant assez vite à une résolution, pour préserver la crédibilité du Conseil de sécurité" face à l'Iran, a déclaré lundi un diplomate français proche du dossier.
Jeudi dernier, la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice avait annoncé que les Etats-Unis pourraient tenter d'imposer un vote sur le projet de résolution en dépit des objections de la Russie.
La réunion, qui intervient après plusieurs rencontres infructueuses, doit se tenir au ministère des Affaires étrangères au niveau des directeurs politiques, en présence d'un représentant du diplomate en chef de l'Union européenne, Javier Solana.
Le ministre français des Affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, a estimé lundi que les six grandes puissances (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Allemagne, Royaume-Uni) étaient désormais prêtes à "trouver un accord", après un entretien à Bruxelles avec son homologue russe Sergueï Lavrov.
Les Etats-Unis et, dans une moindre mesure, la France, ont montré des signes d'impatience ces derniers jours face aux réticences de la Russie et de la Chine, qui empêchent le Conseil de sécurité de passer au vote des sanctions.
"L'idée, c'est qu'on arrive maintenant assez vite à une résolution, pour préserver la crédibilité du Conseil de sécurité" face à l'Iran, a déclaré lundi un diplomate français proche du dossier.
Jeudi dernier, la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice avait annoncé que les Etats-Unis pourraient tenter d'imposer un vote sur le projet de résolution en dépit des objections de la Russie.
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