Sur le vif
Malgré de nombreux messages de prévention en matière de nutrition et de santé, les Français continuent très majoritairement à associer leurs habitudes alimentaires à la notion de plaisir, selon un sondage paraissant jeudi dans le magazine "LSA". L'institut ACNielsen a effectué cette enquête en février 2006 auprès d'un panel de consommateurs composé de 14.000 foyers à l'heure où la France compte plus de 5,3 millions d'obèses et 14,4 millions de personnes en surpoids.
Les personnes interrogées ont affirmé manger surtout "pour se faire plaisir" (69,4%) et "partager un bon moment" (55%), loin devant "prendre soin de sa santé" (44,7%) et "apporter à son corps un bon équilibre nutritionnel" (42,2%). Le sondage permet de constater l'évolution des habitudes à table des Français. Une personne sur deux dit manger en quantité raisonnable et un tiers ne grignote pas entre les repas.
S'ils ne mangent pas toujours bien, les deux tiers des Français se disent relativement bien informés. Ainsi, 79,6% des personnes interrogées étaient au courant des campagnes du Programme national nutrition-santé. Le slogan "manger au moins cinq fruits par jour" était connu par 89,4% d'entre elles.
Le magazine classe les Français en cinq catégories. Ainsi 29% correspondent aux "bons vivants pressés". Ces jeunes actifs urbains avec enfants privilégient l'aspect convivial des repas, mais n'ont pas suffisamment de temps à consacrer à la nutrition. Les fruits et légumes brillent d'ailleurs par leur absence à table. Les "raisonnés", 20% de la population, privilégient l'équilibre. Ces seniors et retraités lisent d'ailleurs les étiquettes pour savoir ce que contiennent leurs achats.
Les "nutrivores", pour leur part, se disent bien informés. Cette tranche de 20% de la population plutôt bien nantie mange avant tout pour garder sa forme et sa santé. A l'opposé, les "fonctionnels" (17%) mangent parce qu'il le faut bien. Très peu informés, ces jeunes se soucient peu de ce qu'ils ingèrent. Enfin, les "adeptes des régimes" (14%) s'intéressent avant tout à l'apport en calories de leur alimentation. Très bien informées, ces personnes aux revenus élevés vivent en région parisienne et dans le Sud.
Le magazine note toutefois que les personnes interrogées ont tendance à idéaliser leur alimentation. Des notions comme "trop salé" ou "trop sucré" peuvent fausser les résultats.
Les personnes interrogées ont affirmé manger surtout "pour se faire plaisir" (69,4%) et "partager un bon moment" (55%), loin devant "prendre soin de sa santé" (44,7%) et "apporter à son corps un bon équilibre nutritionnel" (42,2%). Le sondage permet de constater l'évolution des habitudes à table des Français. Une personne sur deux dit manger en quantité raisonnable et un tiers ne grignote pas entre les repas.
S'ils ne mangent pas toujours bien, les deux tiers des Français se disent relativement bien informés. Ainsi, 79,6% des personnes interrogées étaient au courant des campagnes du Programme national nutrition-santé. Le slogan "manger au moins cinq fruits par jour" était connu par 89,4% d'entre elles.
Le magazine classe les Français en cinq catégories. Ainsi 29% correspondent aux "bons vivants pressés". Ces jeunes actifs urbains avec enfants privilégient l'aspect convivial des repas, mais n'ont pas suffisamment de temps à consacrer à la nutrition. Les fruits et légumes brillent d'ailleurs par leur absence à table. Les "raisonnés", 20% de la population, privilégient l'équilibre. Ces seniors et retraités lisent d'ailleurs les étiquettes pour savoir ce que contiennent leurs achats.
Les "nutrivores", pour leur part, se disent bien informés. Cette tranche de 20% de la population plutôt bien nantie mange avant tout pour garder sa forme et sa santé. A l'opposé, les "fonctionnels" (17%) mangent parce qu'il le faut bien. Très peu informés, ces jeunes se soucient peu de ce qu'ils ingèrent. Enfin, les "adeptes des régimes" (14%) s'intéressent avant tout à l'apport en calories de leur alimentation. Très bien informées, ces personnes aux revenus élevés vivent en région parisienne et dans le Sud.
Le magazine note toutefois que les personnes interrogées ont tendance à idéaliser leur alimentation. Des notions comme "trop salé" ou "trop sucré" peuvent fausser les résultats.
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