Sur le vif
Des responsables européens ont annoncé mardi à Bruxelles que l'Union européenne allait proposer un cessez-le-feu au Liban suivi du déploiement d'une force multinationale dont l'objectif sera de contribuer au désarmement du Hezbollah.
Javier Solana, Haut représentant de l'Union européenne pour la politique étrangère et de sécurité commune, va proposer lors de la conférence internationale sur le Proche-Orient qui se tiendra mercredi à Rome la mise en place d'une force de réaction rapide, ont expliqué à l'Associated Press ces responsables.
Cette force multinationale serait composée de militaires français, allemands et espagnols, avec l'appoint de soldats en provenance de Turquie, des Pays-Bas, du Canada et de pays arabes comme l'Egypte et l'Arabie saoudite, ont-ils ajouté.
Javier Solana n'a pas commenté ces informations. Il a déclaré avant de partir pour Rome qu'une force multinationale devra bénéficier du plus grand soutien possible de l'opinion au Proche-Orient, tout en disposant d'un clair mandat des Nations unies autorisant si nécessaire le recours à la force.
"Nous devons faire très attention à la perception des gens. Nous devons leur donner le sentiment que nous sommes de leur côté et venons en aide au gouvernement libanais", a-t-il dit.
Javier Solana, Haut représentant de l'Union européenne pour la politique étrangère et de sécurité commune, va proposer lors de la conférence internationale sur le Proche-Orient qui se tiendra mercredi à Rome la mise en place d'une force de réaction rapide, ont expliqué à l'Associated Press ces responsables.
Cette force multinationale serait composée de militaires français, allemands et espagnols, avec l'appoint de soldats en provenance de Turquie, des Pays-Bas, du Canada et de pays arabes comme l'Egypte et l'Arabie saoudite, ont-ils ajouté.
Javier Solana n'a pas commenté ces informations. Il a déclaré avant de partir pour Rome qu'une force multinationale devra bénéficier du plus grand soutien possible de l'opinion au Proche-Orient, tout en disposant d'un clair mandat des Nations unies autorisant si nécessaire le recours à la force.
"Nous devons faire très attention à la perception des gens. Nous devons leur donner le sentiment que nous sommes de leur côté et venons en aide au gouvernement libanais", a-t-il dit.
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