Sur le vif
A 14 ans, avec quatre ans d'avance, Lee Dinetan est le plus jeune candidat au baccalauréat cette année en France.
Au lycée du Parc Impérial de Nice où il achève sa terminale S, ses camarades de classe ont tous au minimum une tête de plus que lui, de grosses voix et des boutons sur le nez.
Lee n'a que du duvet à la place de la moustache, une voix qui n'a pas mué, mais il a une tête bien faite et bien pleine.
"Avec des notes autour de 20 en maths et dans les matières scientifiques, autour de 14 en philo, pour Lee cette année ce sera la mention 'très bien' et rien d'autre", pronostique Nicolas Cérami, son proviseur.
"Pour nous, pour le lycée comme pour sa classe et ses professeurs, avoir une élève comme lui, c'est extrêmement gratifiant. Il tire ses copains vers le haut, il les aide à réviser, il est vif, facile à vivre et sympathique".
Le proviseur assure que Lee est "un vrai surdoué" car "quatre ans, c'est beaucoup". Il avoue qu'en mathématiques Lee est parfois plus rapide que son professeur.
Sa mère, Olga, raconte que son fils a abandonné ses jouets dès l'âge de neuf mois, et qu'à deux ans il savait lire et écrire. "Ce n'est pas toujours de tout repos. Il a toujours besoin de tout expliquer, de tout mettre en équation, et moi ça me fatigue parfois. J'ai du mal à suivre", confie-t-elle.
Lee se destine à l'enseignement et se détend en faisant des maths. D'une voix posée, il dit qu'être étiqueté "enfant intellectuellement précoce" ne le dérange pas. Ce qui l'agace plus c'est sa notoriété et les journalistes qui n'arrêtent pas d'appeler chez lui pour interviewer le "phénomène".
"Je suis obligé de beaucoup me répéter pour répondre aux mêmes questions et je commence a être un peu débordé", dit-il en souriant.
Les premières épreuves du baccalauréat pour Lee Dinetan auront lieu le 12 juin, avec la philo en hors-d'oeuvre.
Au lycée du Parc Impérial de Nice où il achève sa terminale S, ses camarades de classe ont tous au minimum une tête de plus que lui, de grosses voix et des boutons sur le nez.
Lee n'a que du duvet à la place de la moustache, une voix qui n'a pas mué, mais il a une tête bien faite et bien pleine.
"Avec des notes autour de 20 en maths et dans les matières scientifiques, autour de 14 en philo, pour Lee cette année ce sera la mention 'très bien' et rien d'autre", pronostique Nicolas Cérami, son proviseur.
"Pour nous, pour le lycée comme pour sa classe et ses professeurs, avoir une élève comme lui, c'est extrêmement gratifiant. Il tire ses copains vers le haut, il les aide à réviser, il est vif, facile à vivre et sympathique".
Le proviseur assure que Lee est "un vrai surdoué" car "quatre ans, c'est beaucoup". Il avoue qu'en mathématiques Lee est parfois plus rapide que son professeur.
Sa mère, Olga, raconte que son fils a abandonné ses jouets dès l'âge de neuf mois, et qu'à deux ans il savait lire et écrire. "Ce n'est pas toujours de tout repos. Il a toujours besoin de tout expliquer, de tout mettre en équation, et moi ça me fatigue parfois. J'ai du mal à suivre", confie-t-elle.
Lee se destine à l'enseignement et se détend en faisant des maths. D'une voix posée, il dit qu'être étiqueté "enfant intellectuellement précoce" ne le dérange pas. Ce qui l'agace plus c'est sa notoriété et les journalistes qui n'arrêtent pas d'appeler chez lui pour interviewer le "phénomène".
"Je suis obligé de beaucoup me répéter pour répondre aux mêmes questions et je commence a être un peu débordé", dit-il en souriant.
Les premières épreuves du baccalauréat pour Lee Dinetan auront lieu le 12 juin, avec la philo en hors-d'oeuvre.
Qui sommes-nous ?
