Sur le vif
Le Premier ministre libanais Fouad Siniora, a réitéré lundi son appel à un cessez-le-feu rapide avec Israël et réclamé le départ immédiat des forces israéliennes du sud de son pays.
Il a évoqué les souffrances endurées par le peuple libanais en 27 jours de conflit, il a déclaré qu'il restait attaché au plan en sept points qui porte son nom et a été entériné par son gouvernement.
"Il nous faut un cessez-le-feu rapide et décisif", a-t-il dit devant les ministres des Affaires étrangères des pays membres de la Ligue arabe réunis à Beyrouth en session extraordinaire.
"Il est impératif que l'ennemi israélien mette un terme à ses actes d'agression et se retire immédiatement (...), remette (les territoires qu'il occupe) à une force internationale, échange ses prisonniers et signale les champs de mines."
M. Siniora a exhorté les pays arabes à l'aider à mettre fin à une guerre qui, a-t-il dit, a fait un millier de morts et plus d'un million de déplacés depuis le 12 juillet.
"La confiance avec laquelle je m'adresse à vous est fondée sur le chagrin des veuves, des enfants disparus et les pleurs des personnes déplacées, sur toutes les leçons de cet échec qui ont fait reculer notre pays, le Liban, de plusieurs décennies", a-t-il dit.
Il a évoqué les souffrances endurées par le peuple libanais en 27 jours de conflit, il a déclaré qu'il restait attaché au plan en sept points qui porte son nom et a été entériné par son gouvernement.
"Il nous faut un cessez-le-feu rapide et décisif", a-t-il dit devant les ministres des Affaires étrangères des pays membres de la Ligue arabe réunis à Beyrouth en session extraordinaire.
"Il est impératif que l'ennemi israélien mette un terme à ses actes d'agression et se retire immédiatement (...), remette (les territoires qu'il occupe) à une force internationale, échange ses prisonniers et signale les champs de mines."
M. Siniora a exhorté les pays arabes à l'aider à mettre fin à une guerre qui, a-t-il dit, a fait un millier de morts et plus d'un million de déplacés depuis le 12 juillet.
"La confiance avec laquelle je m'adresse à vous est fondée sur le chagrin des veuves, des enfants disparus et les pleurs des personnes déplacées, sur toutes les leçons de cet échec qui ont fait reculer notre pays, le Liban, de plusieurs décennies", a-t-il dit.
Qui sommes-nous ?
