Sur le vif
Un étudiant de 20 ans est décédé après un malaise dans les locaux de l'université Marc Bloch de Strasbourg qu'il occupait dans le cadre du mouvement contre le contrat première embauche.
"Le corps ne présentait pas de trace de violence d'aucune sorte", a indiqué à Reuters le substitut du procureur de la République, Olivier Glady.
"Il y a toutes les chances pour que ce soit un malaise consécutif à une absorption alcoolique ou de stupéfiants. Ce sera à l'autopsie de le déterminer", a-t-il précisé.
L'hypothèse d'une surdose de drogue est privilégiée par les proches de la victime, Mathieu, en première année de sciences sociales.
"Des gens l'avaient vu arriver (mardi soir) dans un sale état. Il s'était mis dans un coin reculé. Il avait passé la nuit là", a déclaré Gaspard Glanz, responsable fédéral de l'Union nationale des lycéens (UNL).
"Il n'y a pas eu d'échauffourée. Il était allongé sur un matelas quand ses camarades ont remarqué qu'il n'allait pas bien et ont appelé les pompiers", a dit une porte-parole de l'université. Le jeune homme était décédé à l'arrivée des secours.
L'université Marc Bloch (sciences humaines) a été fermée jusqu'à jeudi soir. Elle était occupée par les étudiants en grève qui permettaient néanmoins aux cours de se dérouler dans le cadre d'un accord passé avec la présidence.
Les étudiants et les lycéens en lutte contre le CPE ont décidé de maintenir la manifestation prévue jeudi après-midi à Strasbourg, mais observeront une minute de silence à cette occasion, selon Gaspard Glanz.
"Le corps ne présentait pas de trace de violence d'aucune sorte", a indiqué à Reuters le substitut du procureur de la République, Olivier Glady.
"Il y a toutes les chances pour que ce soit un malaise consécutif à une absorption alcoolique ou de stupéfiants. Ce sera à l'autopsie de le déterminer", a-t-il précisé.
L'hypothèse d'une surdose de drogue est privilégiée par les proches de la victime, Mathieu, en première année de sciences sociales.
"Des gens l'avaient vu arriver (mardi soir) dans un sale état. Il s'était mis dans un coin reculé. Il avait passé la nuit là", a déclaré Gaspard Glanz, responsable fédéral de l'Union nationale des lycéens (UNL).
"Il n'y a pas eu d'échauffourée. Il était allongé sur un matelas quand ses camarades ont remarqué qu'il n'allait pas bien et ont appelé les pompiers", a dit une porte-parole de l'université. Le jeune homme était décédé à l'arrivée des secours.
L'université Marc Bloch (sciences humaines) a été fermée jusqu'à jeudi soir. Elle était occupée par les étudiants en grève qui permettaient néanmoins aux cours de se dérouler dans le cadre d'un accord passé avec la présidence.
Les étudiants et les lycéens en lutte contre le CPE ont décidé de maintenir la manifestation prévue jeudi après-midi à Strasbourg, mais observeront une minute de silence à cette occasion, selon Gaspard Glanz.
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