Sur le vif
Jean-Yves Le Bouillonnec, député-maire (PS) de Cachan, a indiqué mercredi qu'il était "raisonnable de considérer qu'on est dans la phase ultime" de l'évacuation du gymnase, où d'ex-squatteurs ont encore passé la nuit.
"Nous sommes en train d'achever la démarche d'évacuation", a déclaré M. Le Bouillonnec à son arrivée au gymnase Belle-Image. France Terre d'Asile fait "valider par les deux ministères" (de l'Intérieur et de la Cohésion sociale, ndlr) des demandes d'hébergement pour trouver une solution pour les personnes se trouvant encore dans le gymnase, a-t-il précisé.
Celles-ci - 22 célibataires et 12 couples avec quelques enfants selon lui - sont soit des personnes revenues des sites d'hébergement qui leur avaient été proposés, soit des occupants du gymnase ne figurant pas sur la liste validée par le protocole d'accord.
"Il est raisonnable de considérer qu'aujourd'hui on est dans la phase ultime" de l'évacuation, a dit M. Le Bouillonnec, qui n'était toutefois pas en mesure de préciser quand celle-ci interviendrait.
"Les gens (qui sont dans la salle) veulent partir", a assuré le maire, en ajoutant que "même si c'est difficile, nous aurons prouvé qu'on pouvait s'en sortir sans recours" aux forces de l'ordre. "La réponse politique, c'est celle qui repose sur le dialogue", a-t-il souligné.
"Nous sommes en train d'achever la démarche d'évacuation", a déclaré M. Le Bouillonnec à son arrivée au gymnase Belle-Image. France Terre d'Asile fait "valider par les deux ministères" (de l'Intérieur et de la Cohésion sociale, ndlr) des demandes d'hébergement pour trouver une solution pour les personnes se trouvant encore dans le gymnase, a-t-il précisé.
Celles-ci - 22 célibataires et 12 couples avec quelques enfants selon lui - sont soit des personnes revenues des sites d'hébergement qui leur avaient été proposés, soit des occupants du gymnase ne figurant pas sur la liste validée par le protocole d'accord.
"Il est raisonnable de considérer qu'aujourd'hui on est dans la phase ultime" de l'évacuation, a dit M. Le Bouillonnec, qui n'était toutefois pas en mesure de préciser quand celle-ci interviendrait.
"Les gens (qui sont dans la salle) veulent partir", a assuré le maire, en ajoutant que "même si c'est difficile, nous aurons prouvé qu'on pouvait s'en sortir sans recours" aux forces de l'ordre. "La réponse politique, c'est celle qui repose sur le dialogue", a-t-il souligné.
Qui sommes-nous ?
