Sur le vif
L'opéra berlinois Deutsche Oper annonce sa décision de reprogrammer l'opéra de Mozart "Idoménée, Roi de Crète".
"Les responsables chargés de décider de l'opportunité de monter 'Idoménée' de Mozart (...) ont prévu deux représentations pour cette année", a fait savoir le Deutsche Oper dans un communiqué.
Ce dernier précise que la police a révisé à la baisse son évaluation des risques que pourrait poser cet opéra, où les têtes coupées de Mahomet, de Jésus et de Bouddha sont présentées sur des chaises.
On ignore pour l'instant la date exacte de la première représentation, qui ne devrait pas être programmée avant décembre au plus tôt.
La décision initiale d'annuler l'opéra de Mozart, prise par la directrice du Deutsche Oper, Kirsten Harms, était intervenue en pleine controverse dans le monde arabo-musulman à propos d'une conférence du pape allemand Benoît XVI.
L'annulation d'"Idoménée" avait provoqué un tollé dans la classe politique et artistique allemande, qui estimait qu'il ne fallait pas céder aux craintes du terrorisme.
La chancelière Angela Merkel avait, à cette occasion, parlé d'erreur et dénoncé un acte d'autocensure.
"Les responsables chargés de décider de l'opportunité de monter 'Idoménée' de Mozart (...) ont prévu deux représentations pour cette année", a fait savoir le Deutsche Oper dans un communiqué.
Ce dernier précise que la police a révisé à la baisse son évaluation des risques que pourrait poser cet opéra, où les têtes coupées de Mahomet, de Jésus et de Bouddha sont présentées sur des chaises.
On ignore pour l'instant la date exacte de la première représentation, qui ne devrait pas être programmée avant décembre au plus tôt.
La décision initiale d'annuler l'opéra de Mozart, prise par la directrice du Deutsche Oper, Kirsten Harms, était intervenue en pleine controverse dans le monde arabo-musulman à propos d'une conférence du pape allemand Benoît XVI.
L'annulation d'"Idoménée" avait provoqué un tollé dans la classe politique et artistique allemande, qui estimait qu'il ne fallait pas céder aux craintes du terrorisme.
La chancelière Angela Merkel avait, à cette occasion, parlé d'erreur et dénoncé un acte d'autocensure.
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