Sur le vif
Dimanche, en marge de l'ouverture de la session d'automne du Parlement, le ministre algérien de l'Intérieur Nouredine Yazid Zerhouni a qualifié de "positifs, mais pas assez" les résultats de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale.
Le ministre algérien de l'Intérieur a révélé dans une autre déclaration que "sur une année, environ 500 terroristes ont été abattus ou capturés par les forces de sécurité", dans le cadre de la lutte antiterroriste "qui se poursuivra", même si "les portes de la réconciliation restent ouvertes pour ceux qui veulent se rendre".
En juillet, il avait indiqué que "250 à 300 terroristes" avaient déposé les armes, bénéficiant ainsi des dispositions de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale.
A la question de savoir si l'Etat algérien doit ou non proroger le délai d'application de la charte, qui a expiré le 31 août à minuit, M. Zerhouni s'est limité à dire que "jusqu'à l'heure actuelle, il n'y a pas eu de prorogation", convenant "qu'il ne serait pas logique de refuser la repentance d'un terroriste voulant se rendre même après la fin du délai".
Samedi, le chef du gouvernement Abdelaziz Belkhadem avait annoncé que la commission chargée du suivi de l'application de la charte, qui regroupe plusieurs ministère, se réunirait mercredi pour présenter son bilan.
Cette charte, adoptée en septembre 2005 par référendum, a permis également la libération de 2.200 personnes détenues dans des prisons pour des actes de terrorisme.
Le ministre algérien de l'Intérieur a révélé dans une autre déclaration que "sur une année, environ 500 terroristes ont été abattus ou capturés par les forces de sécurité", dans le cadre de la lutte antiterroriste "qui se poursuivra", même si "les portes de la réconciliation restent ouvertes pour ceux qui veulent se rendre".
En juillet, il avait indiqué que "250 à 300 terroristes" avaient déposé les armes, bénéficiant ainsi des dispositions de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale.
A la question de savoir si l'Etat algérien doit ou non proroger le délai d'application de la charte, qui a expiré le 31 août à minuit, M. Zerhouni s'est limité à dire que "jusqu'à l'heure actuelle, il n'y a pas eu de prorogation", convenant "qu'il ne serait pas logique de refuser la repentance d'un terroriste voulant se rendre même après la fin du délai".
Samedi, le chef du gouvernement Abdelaziz Belkhadem avait annoncé que la commission chargée du suivi de l'application de la charte, qui regroupe plusieurs ministère, se réunirait mercredi pour présenter son bilan.
Cette charte, adoptée en septembre 2005 par référendum, a permis également la libération de 2.200 personnes détenues dans des prisons pour des actes de terrorisme.
Qui sommes-nous ?
