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QUI SUIS-JE ?
Albert Ali Lefranchouillard

Nom : Chouilla-Lefran

Prénoms : Albert-Ali

Surnom : Lefranchouillard


Dernier lieu de résidence connu : Le genou droit d’Abdelaali.

Origine : Je suis un du-genou, en françarabe, on dit
un dijnou, un djinn quoi !

Définition : Etre immatériel et invisible, doué
de raison et doté du libre arbitre.

Signes particuliers : tendance à la schizophrénie,
et parfois un peu taquin, voire légèrement ouf.


Mon père, monsieur Mouloud Chouilla, m’a appelé Ali en
souvenir de son frère, un soldat inconnu, habillé d’un burnous
et mort à Verdun, donc Ali Chouilla.

Ma mère, je ne la connais pas. Je suis né sous X. Ils m’ont
choisi madame Lefran qui m’aurait sûrement appelé : Albert,
Albert Lefran donc, un nom bien de chez nous.

A la mairie, ils m’ont francisé en Albert-Ali Lefran-Chouillard.

Je suis né de l’esprit tordu du gars que je possède. Je
suis donc une fiction inaccessible mais présente.

J’existe bien que je soit un être immatériel, une sentinelle.
Je veille et je vous observe, vous et votre monde d’humains fragiles,
en train de sombrer dans la perdition.

Je suis un témoin de l’Histoire, je suis là depuis des siècles
à vous regarder lutter pour vos causes mesquines et ridicules.

Je n’ai pas de domicile. En fait, je vis dans le genou d’un gars
- dont tu as sûrement lu le bouquin - je suis donc un « du-genou
».

En langage françarabe un « dij-nou », un djinn quoi.

Si tu aimes les contes, je suis comme le génie de la lampe : j’interviens
dans les moments critiques.

Comme tu le sais dans notre monde des esprits, nous pouvons voyager dans le
temps, alors je t’emmène avec moi sur mon tapis volant, pour une
rétrospective pleine de couleurs, de bruits et de larmes.

Je t’emmène découvrir les coulisses du spectacle qui s’offre
tous les jours à tes yeux sur le petit écran du meuble de ton
salon.

Bienvenu dans mes chroniques !

À chaque retour de mes voyages j’essaierai de t’apporter
des nouvelles fraîches et des analyses percutantes, histoire de te réveiller
et te sortir de ton brouillard de con-somme-amateur !


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Partie 1/3 : D’abord, mettons nous d’accord

Petite lettre écrite aux nationaux gaulois à la droite de la droite


La Chechilla française
La Chechilla française
Quelles nouvelles du front ?
Pas le parti politique, mais le front de résistance devant les nouvelles menaces, que sont, uniformisation culturelle et libéralisme sauvage.
Chacun le sait, au sein de la droite nationale, il y a un clivage profond quant à la définition de la véritable menace.
Est-ce le mondialisme et ses conséquences ou la démographie musulmane sur le sol européen ? Dans la famille nationale, la tentation de désigner l’ennemi intérieur reste la plus facile.

En tant que muslim franchouillard - donc pour certains l’ennemi intérieur potentiel - je me dois de vous délivrer quelques réflexions qui me semblent déterminantes pour comprendre l’avenir commun qui se dessine pour nos enfants.
Pour commencer, il faut nous entendre sur un certain nombre de considérations, sans lesquelles le débat devient impossible.
Je vous propose d’admettre avec moi un premier postulat de base, celui d’une tradition assimilationniste volontairement sabotée par nos élites dirigeantes et non pas du fait des immigrés eux-mêmes.
C’est ce sabotage qui est à l’origine du cycle de crises qui se perpétuent depuis l’année charnière – 1974 – celle du regroupement familial.
On est passé au début du XXème de 10 000 immigrés extra européens environ - disons le clairement majoritairement muslims - à un siècle plus tard, 5 à 10 millions d’habitants de culture ou de religion musulmane, sédentarisés sur le sol national, jusqu'à la quatrième génération née sur le sol français pour certains.
Je ne vais pas revenir sur l’histoire de l’immigration d’après guerre puis post-coloniale, voulue en résumé par le patronat, la droite au pouvoir et les anciens de l’Algérie française tout en étant soutenus ensuite par la gauche et les intellectuels communautaires, chaque bord pour des raisons stratégiques qui lui sont propres.

On sait tous que le patronat - dès les années 50 – souhaitait cette immigration pour des raisons économiques, afin de tirer les salaires à la baise et reconstruire la France à moindre frais.
Les élites de droite pour des raisons idéologiques – noyer les forces ouvrières du PCF dans un raz-de-marée d’ouvriers indigènes, analphabètes, soumis et corvéables, afin de transformer le paysage ouvrier français et anéantir les capacités de mobilisation révolutionnaire du PCF.
Quant aux gauchistes - dès les années 70 – ils voyaient dans le regroupement familial, l’avènement d’un nouveau prolétariat, plus à même de militer que le gaulois, qui dans la vision des trotskards avait abandonné la révolution, depuis mai 68.
Enfin dans une dernière phase - dès les années 80 – pour les intellectuels communautaires, la priorité sera pendant 20 ans la promotion du multiculturalisme, en créant un tissu d’associations spécialisées dans la récup du chimérique vote immigré, c’était pour eux, la solution afin de se protéger du bloc majoritaire gaulois, qui avait pour eux porté Pétain au pouvoir 40 ans plus tôt.

Le résultat ? Edifiant !
Un PCF premier parti de France à la Libération qui finit à 3 % un demi siècle plus tard, obligé de louer son siège social pour des défilés de mode, symbole de l’ennemi capitaliste d’hier, des salaires qui ont si peu progressé, une communautarisation accélérée de la société française et un paysage sociodémographique définitivement métamorphosé en un demi siècle.

La question qui se pose alors, est : en quoi suis-je responsable de cela, moi le chti’mi de la troisième génération muslim ?
Je comprends parfaitement, que pour un militant national, la vue d’une gare du Nord rassemblant à une rue de Bombay, ou une station de métro parisien, telle une place de bus à Bamako, soit insupportable.

Mais encore une fois, en quoi suis-je responsable ?

Si mon grand père - arrivé en mars 1946 - et mon père - débarqué en juillet 1968 - avaient eu la permission d’être syndiqués, l’obligation d’être éduqués pour maitriser la langue de Molière.
S’ils avaient eu accès aux espaces de lien social que sont le bistro, la section locale du PCF ou le club de pétanque du coin, alors sûrement ma mère s’appellerait Chantal et non Fatima.
Ou, si comme ils l’avaient presque tous voulu en 1973 - après le choc pétrolier - ils étaient rentrés en masse, avec leur pactole en poche et leurs décennies d’expériences professionnelles sur leur CV, qui faisaient d’eux les futurs chefs d’ateliers et contremaîtres des usines naissantes d’Afrique.
Alors dans les deux cas, nous aurions évidement réglé une grande partie du problème.
Autrement dit, il aurait été beaucoup plus simple pour moi de gérer mes contradictions identitaires si j’étais complètement assimilé comme, un Eric Zemmour journaliste, un Emmanuel Vals politique ou un Max Gallo historien.
Pour ne citer que quelques exemples de la diversité professionnelle, issue de la tradition assimilationniste à la française !
Ou bien alors, si j’étais né en 1974, au bled dans une maison toute neuve avec électricité et eau courante, construite avec les smics accumulés par mes pères, je m’en porterais mieux et surtout la France s’en porterait d’un meilleur état.

Mais il est trop tard pour se plaindre, face à cette métamorphose unique dans l’histoire de notre pays, et devant la mondialisation qui avance et ravage les terroirs, les traditions, les nations comme un rouleau compresseur, quelles solutions nous restent ils ?

Il n’y en a visiblement que deux et chacune comporte un prix à payer !
Soit l’épuration, pour liquider l’ennemi intérieur, dans ce cas comment fait-on pour virer ou éliminer 5 à 10 millions de personnes ?
Les coûts politiques, économiques et humains d’une telle opération seraient sûrement encore plus dévastateurs que la mondialisation sournoise en cours.
Surtout que ce sont ces « éléments exogènes » qui ont le moins à perdre dans une solution à sang chaud.
Le second dénouement comporte aussi un prix à payer, c’est celui d’une paix des braves, assortie d’une coopération entre franchouillards musulmans et militants nationaux de souche de gauche comme de droite si tant est que cette division est encore opératoire.
Le prix à payer dans ce cas est d’accepter la part musulmane de notre vielle France, de tradition gréco-romaine et de souche judéo-chrétienne comme disait le Général, qui avait déjà senti dès 1945 le risque d’une immigration post-coloniale.

Ce n’est pas réjouissant et même frustrant, voire « névrotique », comme dirait Zemmour parlant des banlieusards, j’en conviens mais encore une fois c’est un prix à payer nécessaire.
Je sais qu’en ce qui concerne les Identitaires c’est insurmontable, mais il faudra en passer par là.
Dans cette optique si le camp national fait le choix de payer ce prix, c’est à dire celui de m’accepter comme un cht’imi … mais muslim, donc de renoncer à une lecture nationale biologique.
Si l’on accepte l’idée qu’on ne peut plus - à 35 ans avec mes 3 enfants - m’assimiler comme au temps de Zemmour et donc faire avec ce que je suis.
C’est à dire le produit de mon histoire et celles de mes pères, une histoire dont nous étions les acteurs passifs, comme des marionnettes entre les mains des élites machiavéliques précédemment citées, autrement dit pas de plans d’invasion dans la valise en carton de Ahmed le roi du balai !
Nous étions jusqu’à il y a peu, jusqu’à l’appel du muezzin, une simple variable d’ajustement, pour nos décideurs, mais les temps ont changé, désormais on est pleinement franchouillards et gueulards
Si l’on accepte l’idée absurde et même inattendue, que les muslims sont potentiellementles patriotes de demain - comme souvent les vrais franchouillards gueulards - alors ensemble nous pouvons promouvoir, l’idée d’une nation française revigorée par des centaines de milliers de jeunes musulmans de tous les terroirs de France et de Navarre.
A condition de mettre entre parenthèse des questions émotionnelles comme la colonisation ou le racisme et de se consacrer à une découverte mutuelle et une solidarité militante pour sauver la France.
Des muslims français, prêt à résister au front anti-libéral, prêt à se désolidariser des flux migratoires, prêts à faire du drapeau tricolore le leur.
Prêts à choisir le béret plutôt que la casquette pour habiller leurs scouts.
Des français de confession musulmane qui ont renoué avec l’esprit chevaleresque et viril de leurs ancêtres sarrasins, ceux là même qui avaient déjà forcé le respect d’un Richard Cœur de Lion ou d’un François 1er, d’un Napoléon ou d’un maréchal Bugeaud.

Pour comprendre cette mutation profonde, des french-muslims, il faut saisir que la seule voie pour échapper à la sous culture de banlieue, qui nous fut imposée pendant les 35 ans dernières années, par les gauchistes dans nos MJC et nos écoles, a été de renouer avec la foi de nos pères.
Sinon comment échapper à ce tsunami pseudo culturel, fait - encore de nos jours - de rap nihiliste, d’esthétique de la violence, de goût de la luxure, de la débauche comme modèle de consommation et de l’immoralité comme mode de vie ?
Nos sœurs et nos filles, ne pouvaient que renouer avec le foulard de Marie mère de Jesus, pour éviter le string de Britney.
C’est par la foi de Saladin et de l’émir Abdelkader, que nous avons renoué - tardivement pour beaucoup d’entre nous - avec le goût de la langue de Molière, la culture livresque et le sens critique.
C’est par la sagesse du Coran, que nous avons admis définitivement notre destin français, sans ambiguïté ni doute, en surpassant nos rancoeurs et les haines accumulées contre le flic qui nous giflait à chaque contrôle.
C’est par le livre saint des sarrasins, que nous avons pour toujours décidé, que notre patrie, notre pays, notre avenir, avait un nom : France, malgré le poids insupportable des récits au couleur de sang et de la mémoire de l’exil de nos pères.
Récits douloureux et nostalgiques sur l’Algérie jusqu’en 1962 et plus tard sur les conditions de relégation sociale en Métropole, dans lesquels ils furent enfermés jusqu’à leur retraite à 65 ans.
Parce que simplement, le livre saint des sarrasins, nous a apprit que notre tradition chevaleresque n’est pas de pleurnicher, si nos pères ont été vaincus par le passé - déjà en 1492 - c’est d’abord du à leurs propres tares et leurs propres faiblesses.
Aujourd’hui la priorité est de redécouvrir des personnages communs, comme notre mère Marie et son fils Jésus, c’est de prôner le rapprochement coranique des peuples et des nations : « oh vous les gens, nous vous avons crée d’un mâle et d’une femelle puis nous vous avons érigé en peuples et en Nations afin que vous vous entre connaissiez », nous dit le Livre, Sourate 49 verset 13.

Nos sœurs et nos filles, ne pouvaient ainsi que renouer avec le foulard de Marie mère de Jésus, pour éviter le string de Britney.
Je sais, c’est insurmontable pour un laïcard de gauche, ou un assimilationniste de droite d’entendre dire que le Coran fait mieux que l’école de la République, mais c’est la triste vérité et il est trop tard pour que ça change.

Il faut aussi saisir l’immense bond conceptuel en avant que nous avons réalisé au sein de notre communauté spirituelle, qui est loin d’être communautariste.
Il faut comprendre qu’il y à peine une génération, nous en étions encore à débattre du sexe des anges dans les premières, mosquée-caves de France !
Le sexe des anges étant pour nous à cette époque, un vieux débat théologique hérité de l’ère coloniale, faut-il prendre la nationalité française ?
Est-ce que c’est Hallal, monsieur l’imam ?
Voila la question centrale qui squattait les débats du début des années 80.

Une génération plus tard, nous avons fait un formidable bond conceptuel, nous avons avec les moyens du bord, théorisé une pratique cohérente d’un islam occidental et même plus encore un islam franchouillard, qui se distingue lui-même dans l’espace européen d’un islam à l’anglaise par exemple.
Tout cela sous le feu et la pression des médias, qui associent sans cesse depuis 1979, islam à terrorisme, en supportant pacifiquement, la première et deuxième guerre du golfe, les discours islamophobes des élites depuis le 11 septembre 2001, mais aussi depuis 25 ans les abus de droit de préemption des mairies contre la construction de lieux de culte dignes.
Avec globalement une élite musulmane intellectuelle et économique quasi inexistante il y à encore 10 ans !
En à peine une génération, des centaines de milliers de ceux qui me ressemblent, non pas les petits Ziva, CPF, ou d’jeunes, brûleurs de bus, élevés dans nos écoles ghettos et dans nos MJC, à haïr l’institution, les enfants de la Raie publique.
Non, je parle, plutôt des enfants des lumières de nos mosquées, des cadres supérieurs, profs, entrepreneurs, artisans, mais aussi chômeurs et rmistes, tous sortis de nos mosquées, de l’école des sarrasins, qui en silence font leur longue mutation et qui dans 10, 20 ou 30 générations auront nécessairement des descendants au yeux bleus.
Des rejetons qui majoritairement se prénommeront, Jean, Noé, Marie, Paul, Zacharie, Jésus et bien sur vestige d’une époque révolue encore quelques Mohammed et Fatima !
Cela nous sommes capable de l’admettre et même plus encore d’en faire notre crédo.
Tout cela je vous le démontrerais dans mon prochain article.

Chers amis et peut être pour certain ennemis, je vous dis Salam !

Albert-Ali
Président du club Musulmans du terroir


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Albert Ali Lefranchouillard
Rédigé par Albert Ali Lefranchouillard le Lundi 10 Mars à 19:13
L'invasion par la mer, le danger du siècle.
L'invasion par la mer, le danger du siècle.
Enfin de retour avec toi cher lecteur, après une absence prolongée mais grâce à Dieu sans conséquences graves.
J’aurais aimé te dire que je me méfie des simplismes, je me méfie des vérités toutes faites.
La dernière vérité qui nous a été violemment assenée, par la grande pièce de théâtre politico médiatique fut sans surprise : St Nicolas devait gagner les élections, on nous l’a répété et la vérité fut !
Aujourd’hui, le bougre est aux manettes par la toute puissance du marketing politique, qui nous a fait acheter le meilleur produit en tête de gondole électorale.
Pendant que l’on se gausse tous, de ses gesticulations ici ou là, de ses mariages polygames, il termine son épuration, loin des caméras dans les couloirs de la haute administration, peu à peu il liquide les derniers bastions gaullistes, il bushise notre pays pour finaliser la rupture avec l’ère gaullienne.
Les atlantistes sont tous puissants et jamais plus, les avions français sur ordre de Chirac, n’iront protéger le ciel libanais pour que Nassrallah Jean Moulin puisse faire son discours sans risque, derrière son mur de verre blindé.
La page est tournée la terreur arrive, nous sommes sous surveillance et je commence à perdre mes amis, même au bar.

Ce bon vieux bar du PMU, chez Jean-Claude, on y a refait le monde pratiquement chaque soir. Aujourd’hui encore en sortant du bureau, je sais que je vais y trouver mes trois compères habituels.
Je vais donc rejoindre mes amis et noyer mon chagrin et mon amertume dans un perrier citron.
A peine ai-je poussé la porte, que Mouloud me fusille du regard, sa 1664 dégoupillée à la main.
Comme si je n’avais rien remarqué, je m’accoude au comptoir, mon perrier pétille déjà, et cligne des yeux avec sa rondelle citronnée qui lui pend au nez.
Bizarrement, lui aussi semble me lorgner, il reste debout tout seul, le barman me boude aussi visiblement, drôle d’ambiance ce soir.
C’est donc Christophe le plâtrier qui s’y frotte le premier :
- Tu as vraiment déconné Albert-Ali !
Tu te rends compte de ce que tu as fait, demander à voter Le Pen ?
Autant t’engager avec Ben Laden, ou ouvrir un comité Ni putes Ni soumises dans ta ville !
- Je reconnais bien là ton sens de la nuance Christophe, laisses les Ni-Ni elles ont déjà beaucoup à faire avec la mise à nu, de la tradition de traîtrise de leurs chefs collabeurs et l’explosion annoncée de leur mouvement à deux balles, dont le secretaire général va connaître sous peu la prison.
- Ah oui Momo Abdi la menace, a finit par tomber en cassation ?
- Oui, mais bien sur black-out total dans nos médias démocratiques, normal il bosse pour qui tu sais.

Non moi tu vois je n’ai pas l’impression d’avoir manqué à mon devoir. Je suis très cohérent avec moi même et la pertinence de mes idées spirituelles - puisque tu sais que je suis aussi plus esprit qu’humain - est confirmée par l’histoire des présidentielles.
- Mouais, ton délire habituel sur les génies, pour mieux te défiler, mais franchement qu’est ce qui t’as pris ?
- Qu’est ce que tu veux que je te dise, qu’est ce que j’ai fais de si grave ?
Tu sais très bien, que chez nous les mus la tradition politique c’est pas vraiment du niveau de chez les gaulois. Chez vous les De Souche, c’est une habitude de dîner en famille en commentant l’actualité politique du moment.
Nous on en est encore à dire « c’est halal de voter, alors votez pour qui vous voulez mais votez ….sauf pour les extrêmes bien sur » !
Tu vois un peu le niveau, 30 ans de retard et une réelle incapacité à se détacher de la terminologie dominante, incapables de créer un discours alternatif et des nouvelles catégories qui seraient bien plus opératoires, que celles de gauche versus droite et extrêmes contres républicains.

Il fallait donc mettre la barre plus haut et rester cohérent avec nos réalités.

La dame blanche en plein milieu du fond de commerce des roses.
La dame blanche en plein milieu du fond de commerce des roses.
T’imagine que 85 % des quartiers populaires - donc nécessairement une bonne partie des mus - ont voté pour la blanche Jeanne d’Arc du PS, avoue que c’est maso comme attitude, de vouloir remettre Ségo et ses bobos roses au pouvoir après tout ce qu’ils nous ont fait endurer ?
En y réfléchissant bien, je me suis dit qu’il fallait pour une fois, qu’un barbu donne un nom.
Personne ne donne jamais de nom chez nous, à part les mus gaucho et écolos, qui ont toujours appelé à voter vert ou pour le petit facteur planqué qui pédale pour le grand Capital.
Maintenant que Hulot les a tué, ils vont moins se la ramener, alors que nous restait-il comme alternative ?
- Mouais, c’est vrai que chez vous les bronzés on aime les coups, vous devez être un peu maso !
- Tu vois, Christophe, ma réflexion a commencé quand je me suis dit, que si l’on tient compte du fossé qu’il y a entre notre réalité pacifique de musulmans français et ce qu’on dit de nous à la télé, il y avait nécessairement arnaque depuis 30 ans à propos de ce qu’ils nous disent sur Jean Marie !
En matière de diabolisation médiatique on a un sacré background en tant que musulmans silencieux. Je t’assure que c’est un indice pertinent « la diabolisation ».
Le diabolisé du moment doit par postulat recueillir sinon notre sympathie au moins la distance nécessaire et la précaution utile pour éviter d’être lobotomisé par médias interposés.
Comme aujourd’hui pour le Darfour, ou pour le 11 septembre, le discours dominant est toujours suspect.
Nécessairement si ils le diabolisent autant c’est que chez lui aussi, il devait y avoir une sacrée marge de mensonges, entre la réalité de sa boutique familiale à la flamme tricolore et ce qu’on nous en disent les journaleux et faiseurs d’opinion, depuis 30 ans.
Alors j’ai relevé mes manches et je me suis au boulot, j’ai fait le mineur et suis parti au charbon, voir comment ça se passe chez le borgne.
Crois moi le voyage en vaut le détour !
J’en ai conclu après mon voyage, que c’est un homme assurément intrépide, et sans aucun doute l’un des seuls véritables hommes politiques de notre temps.

- Attend tu veux dire que t’es parti au FN ?
- Attend je ne me suis pas encarté, j’ai juste mis un bulletin dans l’urne au premier tour.
Non, j’ai seulement fais un peu de sociologie de terrain vois-tu, je suis parti investiguer en réel.
Je t’assure que c’est pas aussi méchant que ça, leur congrès BBR, c’est un peu comme le Bourget de l’UOIF, une diversité franchouillarde tout simplement fascinante.
- Bon ok, je vois bien ou tu veux en venir c’est vrai qu’ils l’ont trop diabolisé le Jean Marie, mais quand même, c’est un facho !
- Fasciste, fasciste, facho, nazi … une insulte tellement ringarde que ceux qui la prononcent prennent soudain un coup de vieux.
- Le pire c’est que chez les mus ils commencent à peine à l’utiliser, avec 30 ans de retard sur les Chiennes de garde françaises, qui en faisaient autant dans les années 70, pour faire taire les mâles gaulois, « fascistes » criaient-elles en cœur, à ceux qui essayaient d’échapper à leurs tentatives d’émasculation.
De plus, je ne suis pas quelqu’un qui hurle avec les loups, c’est très révélateur d’une inculture politique que de crier avec les loups « fasciste, fasciste » !
Tout le monde le sait, même Jospin l’a avoué l’année dernière à la radio, que pas un instant le FN représentait une « menace pour la République ».
Ecoute le donc le marin de l'Ile de Ré : " Pendant toutes les années du mittérandisme (...) tout anti fascisme n'était que du théatre ! "

[http://www.dailymotion.com/relevance/search/Jospin+le+pen/video/x3erk3_jospin-lantifascisme-netait-que-du]url:http://

- Crois-moi c’est dépassé le fascisme.
Les vrais fascistes aujourd’hui ce sont ceux qui souhaitent détruire les identités nationales, uniformiser les comportements dans un grand bouillon mondialisé, en écrasant de leurs bottes sanguinaires toute résistance.
Les mondialistes voila l’ennemi mon cher Christophe, voila le vrai facho.
Ses soldats se drapent dans l’uniforme de la liberté et des principes vertueux, mais il est taché du sang des innocents. Regarde les, partout ou leurs bottes se posent, ils ne font que tuer l’espoir.
Jean Marie, n’a jamais été une menace fasciste, ce n’est que le verbe, le verbe anti-mondialiste incarné dans une carcasse d’ex-officier d’un quintal.

Bouleverser l’ordre établi en le remettant au second tour, aurait été notre plus grande victoire politique en ce début de XXIème siècle.
Mais nous n’avons pas osé, les damnés et les exclus n’ont pas compris cette magie électorale capable de créer des séismes et d’enfanter l’histoire.
C’est trop tard, mais je conserve quand même l’espoir, quand j’allume la télé parabolique et que je vois ces enturbannés en armes, résister aux GI’s, bras armé du mondialisme.
Parce que finalement qui est au premières loges de la résistance mondiale à l’empire ?
- Les nôtres mon ami, ceux qui ressemblent à mes pères à turbans, qui vivent aujourd’hui sur les terres de mes ancêtres sarrasins.
T’imagine l’honneur, d’être à l’avant poste de la résistance à l’ordre mondialiste ?
C’est unique dans l’histoire de l’humanité.
Des va nus pieds à Bassora, des vieux paysans dans les montagnes afghanes sont à la pointe de l’opposition armée devant l’ogre militaire U.S. qui est lâché hors de sa cage par les néocons mondialistes.
Avec leur vieille kalach ils tienent tête sur le terrain militaire, au rouleau compresseur mondialisant et avec leurs djellabas et leurs turbans ils résistent au jean mondialisé et à la casquette NY.
- C’est pour cela que les maîtres à penser de Jean Marie - ceux dont on ne te parle jamais à la télé mais qui depuis 50 ans réfléchissent sur ces questions - sont parfaitement lucides et donc solidaires de ce front de résistance.
Jean-Marie à sa manière est au premier poste pour gêner ce nouveau fascisme destructeur des traditions et des altérités.
C’est un peu un moudjahid de la nation et de l’identité française.
Cinquante années de combat, c’est le dernier des dinosaures bleu blanc rouge, c’est pour ça que je le respecte tu vois.

- T’es vraiment barge, tu fais l’éloge d’un gars qui a torturé pendant la guerre d’Algérie ?
C’est inadmissible dégoûtant même.
Tu oublies toutes ses phrases antisémites et ses propos racistes, la politique anti-immigrés et sa haine qu’il vomissait à chaque interview !
- Arrêtes, c'est tout ce que tu as à mettre sur la table, fais pas ta vierge effarouchée, dès que l’on prononce son nom c’est toujours les mêmes vieilles rengaines usées.
D’abord, Mitterrand ministre républicain, a guillotiné bien plus d’algériens innocents, que le vieux paras n’a tué de moudjahiddines du FLN, c’est dire qu’on a élit un bourreau socialiste, président pour 14 ans !
Je ne le trouve pas plus antisémite que Céline ou Thierry Arducon.
Tu vois bien que ça ne tiens pas les reproches que l’on lui fait depuis 30 ans.
Ou bien on applique le même tarif pour tous, en ressortant les dossiers de collabos des vieux et les pratiques douteuses en Algérie des plus jeunes.

Bon c’est n’importe quoi mais où veux-tu en venir ?
Nulle part je cogite c’est tout.
Je me pose une question depuis 2005.
- Pourquoi 2005 ?
- Parce que c’est une année charnière, celle ou j’ai signé un pacte de non agression avec mon conçurent direct, un sionnard pur jus, qui manipule le discours républicain pour mieux taper sur les bronzés que nous sommes.
J’ai entamé un projet de trêve avec lui pour sauver nos mosquées et imaginer un nouveau contrat social pour notre République usée.
- Tu veux dire que tu as discuté avec un républicain sioniste ?
Et que tu t’es mis d’accord avec lui pour ne pas vous taper dessus ?
Tu te prends pour qui ?
Tu crois représenter les gens qui te ressemblent ?
- Non, tu n’as rien compris, je ne représente personne, c’est ça ma force de frappe.
J’apporte des réponses avant-gardistes, qui surprennent et je pose des questions qui dérangent.
C’est mon petit jeu favori, prendre chaque année, cinq ans d’avance sur mes contemporains.
- Presque pas prétentieux en plus !
- J’ai le droit, je fait de l’esprit c’est tout !

Alors aujourd’hui j’en arrive à soulever une question qui risque de faire du bruit.
- Ah oui ? Après votez le Pen qui s’est planté jusqu’à la ruine de son parti, tu vas nous raconter quoi ?
Les arabes dehors ?
- Comment as-tu deviné ?
Serais-tu toi aussi un peu génie de la lampe ?
- Bon laisses tomber tu pêtes les plombs, ça veux plus rien dire ton délire.

Et Christophe m’abandonne devant mon Perrier à peine entamé, légèrement tiède, bref imbuvable.



Stopper le tsunami migratoire, pour sauver nos mosquées.
Sauver nos minarets

- Pourtant je suis sérieux, ma trêve avec mon conçurent sionnard est bien réelle.
Si l’on arrête de cracher sur les faibles du moment, sur les héritiers de l’immigration que nous sommes, on pourrait envisager un avenir meilleur et arrêter de courir derrière l’actualité islamophobe du moment pour se consacrer à notre mission divine.
Celle pour laquelle le Très Haut nous a fait traverser la méditerranée
Mais je n’ai plus d’espoir qu’ils arrêtent, je suis convaincu qu’ils continueront d’activer les braises pour que plus de haine soit vomie sur nous afin qu’un jour ça éclate, qu’un Mohammed Maxime Brunerie, tire sur le président Sarkozy en 2012 et qu’on sonne le clairon de la curée.

Devant moi un article d’un blog venant d’un journaliste de Libération très sérieux imprimé sur une page blanche :
« Le 27 août dernier, dans son discours aux ambassadeurs. Il avait alors expliqué que le "premier défi, sans doute l'un des plus importants" auquel doit faire face la France est : "comment prévenir une confrontation entre l'Islam et l'Occident ?
Ce n'est pas la peine d'employer la langue de bois : cette confrontation est voulue par les groupes extrémistes tels qu'Al Qaeda qui rêvent d'instaurer, de l'Indonésie au Nigéria, un khalifat rejetant toute ouverture, toute modernité, toute idée même de diversité.
Si ces forces devaient atteindre leur sinistre objectif, nul doute que le XXIe siècle serait pire encore que le précédent, pourtant marqué par un affrontement sans merci entre les idéologies"
»

Un autre document posé sur le bar, caressé par un peu de mousse de 1664 encore fraîche …

« Nicolas Sarkozy, recevant le Premier ministre irlandais, Bertie Ahern, le 21 septembre, puis le Premier ministre suédois, Frederik Reinfeldt, le 3 octobre, se serait livré à une véritable diatribe antimusulmane devant ses invités, (…) Le chef de l'Etat s'est lancé dans un discours confus d'une vingtaine de minutes, ’’dans un langage très dur, très familier, choquant pour tout dire’’, contre le ‘’trop grand nombre de musulmans présents en Europe’’ et leurs difficultés d'intégration. ».

Je rentre chez moi.
Désabusé incapable de me faire comprendre, même par mes amis de comptoir, tout se mélange dans ma tête, mes idées sont pourtant claires, ordonnées, mon raisonnement est sans faille.
Mais je n’ai jamais le temps de finir, la passion vient sans prévenir, brouiller les pistes, casser l’ambiance, briser des amitiés. Mes amis me quittent les uns après les autres en me traitant de facho.
Mais si j’avais raison ?
Si l’immigration était encore plus dangereuse pour les miens, que St Nicolas lui-même ?
Assis, dans mon fauteuil préféré je ressors de vielle coupure de journaux, 25 ans d’âge, un millésime.

Lettre au recteur de la mosquée de Paris
Je vous le déclare nettement : oui, la vérité des faits me conduit à approuver, sans réserve, la riposte de mon ami Paul Mercieca. … Plus généralement, j’approuve son refus de laisser s’accroître dans sa commune le nombre, déjà élevé, de travailleurs immigrés … En raison de la présence en France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et de membres de leur familles, la poursuite de l’immigration pose aujourd’hui de graves problèmes. Il faut les regarder en face et prendre rapidement les mesures indispensables. … La cote d’alerte est atteinte. … C’est pourquoi nous disons : il faut arrêter l’immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage. … Je précise bien : il faut stopper l’immigration officielle et clandestine. … Il faut résoudre l’important problème posé dans la vie locale française par l’immigration. … Se trouvent entassés dans ce qu’il faut bien appeler des ghettos, des travailleurs et des familles aux traditions, aux langues, aux façons de vivre différentes. Cela crée des tensions, et parfois des heurts entre immigrés des divers pays. Cela rend difficile leurs relations avec les Français. … Quand la concentration devient très importante … la crise du logement s’aggrave ; les HLM font cruellement défaut et de nombreuses familles françaises ne peuvent y accéder. Les charges d’aide sociale nécessaires pour les familles immigrées plongées dans la misère deviennent insupportables pour les budgets des communes.
L’Humanité, 6 janvier 1981
Lettre de Georges Marchais au recteur de la Mosquée de Paris


Mon intuition était donc bonne, 26 ans avant moi le patron de cette gauche pro immigrés disait stop à l’immigration !.
Il nous faut encore deux à trois générations pour intégrer nos mosquées dans l’histoire et l’urbanité française afin de réussir à ré-enchanter l’Occident.
C’est notre destin, c’est la signification profonde de la venue de nos pères analphabètes sur ces terres d’Europe.
Le destin divin, a voulu faire de nous les ambassadeurs d’une civilisation millénaire.
Pour nous empêcher d’opérer notre mutation positive au cœur de la République, afin de définitivement arrimer notre bateau au bon port, ils manipulent l’immigration clandestine dans un double objectif.
Tirer les salaires à la baisse pour maintenir leurs profits et sans cesse nous amalgamer avec l’immigration incontrôlée.
Parce que finalement pour Francis le boulanger, quelle différence il y a entre Mme Fatoumata clandestine à Cachan habillée de son boubou et soutenue par les bobos gauchistes et le show biz bien pendant et Rachida ma cousine en foulard, futur prix Nobel de génie génétique ?
Fatoumata souhaite, comme des centaines de millions d’autres en Afrique et de par le monde, s’installer en Europe où il fait bon vivre d’une manière ou d’une autre, alors que Rachida est française depuis trois générations ?
Rachida et son frère barbu – spécialiste en fibre optique – qui s’absente tous les vendredi à 14 h pour la prière, sont l’avenir de la France dépeuplée, dévirilisée et aux PME délocalisées.
Ils sont l'avenir d'une nouvelle France, premiers défenseurs d'une idée de nation, dénaturée depuis mai 68, et que St Nicolas essaye de vendre aux francais volontairement maintenus par le système dans une inculture sur les questions d'Islam, en nous insultant d'égorgeur de moutons !

Alors que ceux qui nous ressemblent en apparence, à Cachan ou à Sangate sont une menace pour la paix sociale. Même si l’on peut se sentir solidaire par principe c’est une dangereuse attitude que la compassion non réfléchie.
Bien sur, me diras tu, il y a le pillage de l’Afrique, la francafrique, la colonisation version européenne du passé et la version US du présent, la néo-colonisation culturelle, économique et politique des pays du sud, la tradition racialiste d'une grande partie des élites blanches, tout cela je le sais, mais tout cela ne justifie en rien de soutenir l’invasion venue par la mer et de laisser croupir les 20-25 ans de banlieue, dans 45 % de chômage tout en continuant d’importer illégalement ou légalement un main d’œuvre servile et affamée.
Ce n'est pas le prix à payer pour la France, quant à son aventure coloniale ratée, les premiers qui payeront cette invasion ce seront les miens qui me ressemblent.
Ma soeur en foulard, qui devait faire des ménages dans un hotel Formule 1, pour payer ses études en biotechnologies, et sauver la France sur le marché mondial des biotechs face aux chinois, s'est
fait piquer le poste par une malienne sans vrais papiers, et en plus son directeur de thèse ne peut pas piffrer son foulard, une vraie double peine !

Aujourd’hui il veulent commencer l’acte II de cette sinistre manipulation après l’importation de 2 millions de nos pères pour les faire bosser pas cher et tuer le PCF, durant les trente glorieuses, aujourd’hui leur immigration choisie, c’est l’importation de cadres supérieurs du sud, pour tirer les salaires à la baisse de la main d’œuvre qu’ils ne peuvent délocaliser.

Mon frère, surdiplomé de banlieue qui aime la France de demain et qui a trimé 9 ans au dessus du bac, marié avec Christelle la convertie, a décroché malgré sa barbe fournie de salafi un entretien d'embauche - avec un cv comme le sien il aurait pu même faire l'entretien en djellaba - viens de se voir refusé le poste promi un camerounais payé 40 % moins cher vient de lui piquer la place.
"Ils vienent même manger le pain des français avec des attachés case maintenant" m'a-t'il dit désabusé en allant voter Le Pen.

L’ennemi, vois tu, c’est le mondialisme et avec lui le déluge arrive, sauf si l’on construit notre arche pour flotter le plus long temps possible et gagner du temps.

Du temps c’est ce qu’il nous faut, c’est ce que nous avons de plus précieux à conserver, pour faire passer la majorité des français du RMI (Résumé Médiocre sur l’Islam) à un vrai SMIC (Savoir Minimum Islamique Commun), afin de protéger nos mosquées et passer le relais aux générations suivantes.
Pour cela il faut aller voir du coté de St Cloud et avoir la garantie que parmis eux, ceux qui revaient de reconquista ont définitvement rennoncé au génocide comme solution politique et leur démontrer que les enfants de sarasins qu nous sommes, sont, face à l'immigration du futur et la mondilalisation destructrice le dernier rempart encore opérationnel et l'avenir d'une nation française avec désormais des citoyens debouts et droits comme leurs minarets.
Jusqu’au jour ou chaque franchouillard comprendra qu’ : « On attise la peur des Français devant ce qu’il est convenu d’appeler « l’islamisme » ou « l’intégrisme islamique ». Ceux qui attisent ou manipulent ces peurs, n’hésitant pas à dénaturer grossièrement le message de l’islam pour le faire mieux entrer dans leurs schémas, le font dans une optique très précise : celle de l’utopie mondialiste et de l’idéologie des droits de l’Homme qui présupposent la destruction des identités culturelles et le refus de la transcendance.
Leur rêve est celui d’un islam aseptisé et rendu inoffensif
».

Celui qui a dit ça mérite qu’on aille voir se qui se passe chez lui à St Cloud.

A suivre …
Salam

://

Albert Ali Lefranchouillard
Rédigé par Albert Ali Lefranchouillard le Mercredi 12 Décembre à 22:57
Jean Marie et Nicolas à l’Elysée, ou 2007 et la fin des clivages. (Partie 2)
Salam et bonjour à nouveau cher lecteur, bienvenue dans la deuxième partie de mes chroniques électorales.
Lors du précèdent épisode, tu auras redécouvert le passé peu gratifiant de ceux qui désormais pilotent l’avion bleu présidentiel.
Maintenant que notre ami Nicolas est aux commandes, la règle veut que l’on félicite le gagnant.
Je me dois donc - après t’avoir rappelé précédemment, qui est l’équipe d’anciens méchants qui l’entoure – de le féliciter.
M. le président je vous tire ma chéchia, vous avez très bien joué !

- La démonstration que le marketing peut tout vendre, surtout au « veaux ».

Il fut un temps, ou passionné de marketing, j’écoutais mon cheikh d’école de commerce expliquer doctement que le marketing n’était pas une science, mais qu’il permettait de concevoir presque tout comme un produit, y compris l’homme politique.
St Nicolas nous aura démontré définitivement, que le marketing et les études sont les grands gagnants de ces élections, surtout quand on a à faire, à des con-somme-amateurs.
Tous ceux qui ont tant maudit les sondages en 2002, mais aussi à la veille des élections en 2007, avaient une critique de retard.
Ce n’est pas le sondage qu’il faut blâmer.
Un sondage ou une étude d’opinion, c’est la photographie d’un avis majoritaire et représentatif à un instant donné.
Si je veux vendre du chocolat, je peux savoir quasiment avec certitude, sur la base d’un échantillon dit « représentatif », ce qu’une majorité de consommateurs peut penser du goût, du packaging et donc décider en fonction des ces éléments d’étude, les choix stratégiques qui s’imposent.
Dans l’immense majorité des cas, ça marche et depuis plus de 50 ans on a gagné des milliards de cette façon.
Pour les élections, c’est un peu plus compliqué puisque l’on manie des idées et des êtres humains, qui peuvent changer d'avis entre le moment du sondage et le 21 avril.
Mais surtout qui ne donneront pas toujours leur avis assumé - quand il s'agit de choix politique - aussi facilement que pour le chocolat, mais les résultats sont vrais à un instant donné.
Ceux qui ont fustigé les études et les sondages n’y ont rien compris, ce n’est pas parce que tu n’a jamais été sondé que les français ne pensent pas majoritairement comme le sondage le dit au moment ou il est publié..
« Le mouton dans la baignoire », c’est certes vilain, mais les études immédiatement réalisées après la petite phrase, prouvent que la majorité des français – même si tu penses le contraire et que jamais tu n’as été consulté - n’ont rien trouvé à y redire, alors il répétera la phrase encore trois ou quatre fois dans ses meetings de province.
Commentaire de l’un de ses proches : « on perd quelques voix chez les arabes, mais on en gagne tant chez les électeurs du FN ! ».
Vive les études et les sondages d’opinion, ça permet au moins de savoir – depuis la dernière étude de la CCNDH - que 30 % des français se déclarent racistes aujourd’hui.

La machine de guerre marketing mise en place par St Nicolas fut impressionnante.
Plan de com web, par l’achat mots clefs via le système Adwords - tapes donc « délinquance » et Sarko apparaît en tête de liste des sites à visiter - groupe d’études qualitatives, think tanks, mailing et analyse d’impact des discours, etc.
Ce sont plusieurs sondages et études qui arrivaient tous les jours sur son bureau.
Au final, c’est l’abus de ces outils qui peuvent précipiter sa chute, mais pour la conquête du pouvoir, ce sont des méthodes qui ont déjà fait leur preuve au pays de l’oncle Sam, alors Sarko « l’américain », les a appliqué pour la première fois en France à une échelle aussi massive.
Félicitation M. le président pour votre esprit avant-gardiste, la démocratie se joue désormais grâce à vous, par la pub, et l’enveloppe dans l’urne devient un acte de consommation courante comme la lettre T que l’on renvoie pour bénéficier d’une offre de la Redoute.
Petit retour en arrière sur mes projections antérieures.
Page 9 de Marianne m’a tuer : « La propagande, telle qu’elle est pratiquée par les politiciens et gouvernements modernes, a emprunté les procédés de la publicité commerciale. Elle est un moyen de gouvernement adopté par tous les états avancés, et sert tout spécialement à créer l’opinion dans les démocraties … ». Bertrand Russel 1922
La télé n’existait pas encore dans les foyers, quand ce visionnaire formulait cette analyse !
Une citation qui méritait vraiment sa place en introduction de Marianne m’a tuer.

- L’effet Rachida ou « La France c’est comme une mobylette, ça marche au mélange ».


Voila un slogan qui doit te rappeler des souvenirs si tu as plus de 40 ans, c’était celui de SOS Racisme quand les roses du PS l’ont crée pour récupérer la marche pour l’égalité il y a si longtemps qu’on l’a oublié.
L’autre réussite de St Nicolas, a donc été de faire – par pragmatisme - ce que les roses du PS, dans leur hypocrisie profondément paternaliste, n’ont jamais fait – par humanisme officiel - ils méritent donc la razzia sur leur parti déliquescent, que l’empereur du marketing leur a fait subir.
Les héritiers du seul polygame officiel de la Vème République - les enfants de Mitterrand – ont perpétué depuis 25 ans, la traîtrise et la lâcheté qui les caractérisent, ils sont donc bien récompensé par la trahison de quelques figures emblématiques, le Docteur humanitaire et la fadela des banlieues d’Auvergne étant les meilleurs exemples de la culture mensongère et le syndrome de Judas, qui règne dans le parti.

On a toujours maintenu dans nos rédactions nationales, que les droitards, ont une longue tradition de haine de l’immigré et les gochos nous disait-on sont plutôt humanistes et accueillants.
En résumé les arabes ne pouvaient qu’être de gooche, traduisez, ne pouvaient que voter PS !
Ils furent les premiers à avoir intégré des bronzés en masse, dans leurs sections du parti, 25 ans avant St Nicolas, les beurs faisaient déjà leur apparition au PS.
Quel avenir le PS leur a proposé ?
Devenir des collabeurs actifs ou simples colleurs d’affiches, voila la réalité et même le bounthy a compris aux dernières élections et avec amertume, qu’il était une caution ethnique éternelle !
Les plus lucides comme Serge Malik ou Toumi Djadja, ont dénoncé depuis longtemps ce grand mensonge appelé SOS.
Alors que notre nouveau président, empereur des médias a nommé en la personne de Rachida Dati le quatrième personnage le plus important du pays !
Voila un geste incontestable d’ouverture, quelque soit les critiques que l’on peut faire la concernant - ses liens avec la monarchie marocaine et ce que recèle de dossiers puants cette alliance - toujours est il que le patron de la justice en France s’appelle : Rachida !
L’effet Rachida, c’est la possibilité offerte demain à Rachid l’avocat barbu d’être aussi ministre de la justice des français, tout en permettant à la loi française de s’adapter aux règles successorales et maritales des sarrasins, sans que mère Laïcité ne se sente offusquée !.
Cette avancée dans l’histoire n’a pas de prix, pour cela quelque soit la ruse de Sa rko, même si l’Assemblé reste désespérément blanche, l’histoire retiendra que les deux ministres d’origine sarrasine de la Vème République – Rachida et Azouz – ont été nommés par la droite et le PS ne pourra jamais prétendre à l’originalité en la matière !
Les roses du PS, ont été dégagés de l’histoire par l’empereur du marketing électoral et c’est un réel plaisir que de constater cette contradiction profonde de notre vie politique.

Félicitation monsieur le président, pour avoir pillé le PS, félicitation pour avoir été précurseur en matière de visibilité ministérielle exotique et enfin bravo pour l’anesthésie générale des esprits, lepénisés en masse par votre marketing électoral si efficace.
Pauvre Jean Marie sortant de l’Elysée, vaincu et ayant abandonné ses forces électorales au nouvel empereur, il restera le grand gagnant de ces élections, ses idées auront eu raison même du PS qui les adopta en grande pompe marseillaise.

Dans la prochaine livraison de mes chroniques, je terminerai en t’expliquant pourquoi la faim des collabeurs a signé leur fin définitive et enfin je te donnerai quelques dossiers à surveiller de près durant le règne quinquennal de notre patron des minorités, St Nicolas empereur des médias et président par sondages.

Vos réactions sur :

albertali.lefranchouillard@yahoo.fr

Albert Ali Lefranchouillard
Rédigé par Albert Ali Lefranchouillard le Samedi 30 Juin à 12:57
St Nicolas Bonaparte face à Jean Marie le corsaire.
St Nicolas Bonaparte face à Jean Marie le corsaire.
Salam, Shalom et bonjour à tous, frères humains du cyber monde.

Je reviens vers toi cher lecteur, après cette absence momentanée, qui m’a emmenée très loin, à plus de 5000 km de la capitale de Marianne.
La promotion de mon dernier pamphlet : « Marianne m’a tuer » et mes voyages m’ont permis de me couper un peu du brouhaha médiatique qui a couvert notre élection présidentielle tant plébiscitée par nos concitoyens.
L’accalmie post-électorale étant de courte durée – nous revoilà repartis pour un tour dès le 10 juin – je me dois de te présenter donc, mon bilan présidentiel et te proposer aussi quelques anticipations.
Nous essayerons alors ensemble, d’entrevoir le futur qui nous attend, après l’élection tant espérée – par ceux qui décident pour la multitude - de St Nicolas à la tête du pays.

- Charles de Gaulle avait raison « les français sont des veaux ».

D’abord commençons par les vaincus.
Mon candidat, Jean Marie - le tortionnaire de mon grand père – aura été complètement laminé par St Nicolas patron des minorités.
Le gros para, s’est complètement vautré et j’ai perdu toute ma mise électorale, totalement ruiné suite au coup de poker que je comptais jouer.
Pourtant mon hypothèse de travail tenait la route.
Mettre Jean Marie au second tour, à l’aide des voix des sans voix, permettre à notre supposé ennemi – médiatique ? – de réinterpréter en épisode 2, un nouveau 21 avril, c’était un sacré coup historique à jouer, un tsunami médiatique encore plus fort que 2002.
Une occasion unique dans notre histoire, avant de devenir compléments français, citoyens et d’être comme tout le monde.
Jusqu’en 2007, l’on pouvait encore rester hors du jeu officiel et jouer les trublions, désormais notre intégration économico-politique étant en cours, grâce à l’effet Rachida – démonstration au prochain article - nous ne serons plus les Autres.

St Nicolas face à Jean Marie au second tour, c’était à la fois une punition encore plus sévère pour les socialos, et une obligation morale pour St Nicolas de jouer les républicains accueillants et anti-extrêmes pour contraster avec le méchant « facho ».
Et bien sur une légitimité contestable, parce qu’être élu à 82% face à Jean Marie porte toujours malheur.
Malheureusement, le général De Gaulle avait raison, « les français sont des veaux ».
Il a fallut juste quelques phrases assassines, teintées comme il faut d’islamophobie et de racialisme pseudo scientifique, avec un soupçon de racisme populaire - comme 30 % des français avouent en avoir -, et le petit empereur réussi son coup
Faisant subir, à mon candidat un véritable hold-up sur son électorat, il lui a honteusement piqué plus d’un million de voix, dûment volées avec les slogans du FN d’il y a 15 ans.
Les français ont plongé tête baissée, pour une fois la honte du vote FN, ne les accompagnera pas dans l’isoloir, tel un boulet, mettre St Nicolas dans l’urne était tellement salvateur pour tous ceux qui se cachaient honteusement de voter FN.
Ce million de voix supplémentaires furent des voix décomplexées, pour une droite décomplexée.
Les commentateurs à la courte vue, s’écrièrent tous, « houra le facho ne passera pas ! », douce illusion qui berce leur enthousiasme, ne voient ils pas que Jean Marie hors course, c’est encore plus grave que de le voir au second tour, complément débordé par 82 % de voix apeurées ?
Croire que le para pouvait gagner les élections présidentielles, c’est l’illusion infantile entretenue par les gardiens du système qui apprécient que le grand public ait cette frousse !
Tout le monde sait très bien que jamais mon champion ne pourra accéder au pouvoir.
Le système ne l’a-t-il pas d’ailleurs engendré pour cela ?
L’avènement de St Nicolas est donc devenu réalité et comme je le pronostiquais bien avant les élections aux chapitres 8 et 9 de Marianne m’a tuer, il est devenu notre empereur qui a réussi son coup d’état et nous assistons à la naissance d’une nouvelle France.

Mon Jean Marie, seul candidat anti-système étant hors course ….
St Nicolas ayant démontré qu’en démocratie moderne, les élections se jouent d’abord dans les réseaux où la collusion médiatico-mondaine permet toutes les alliances, puis dans les medias et enfin dans les urnes, qui ne sont plus que le dernier artifice sensé maintenir l’idéal démocratique pour l’opinion publique…
Les socialos étant une fois de plus écartés du pouvoir, pour 5 ans …

Alors qu’est ce qui nous attend ?

- Intermède religieux

Avant d’aller plus loin une petite parenthèse s’impose.
Les nombreux messages que je reçois et les recommandations électorales répétées de nos responsables musulmans, m’interpellent régulièrement sur ce que nous comprenons de la politique et de notre place de citoyens musulmans dans un pays à la recherche de son identité.
Je constate donc avec regret que nous restons les loosers éternels du jeu politique, les recommandations des uns et les justifications pseudo théologiques des autres pour défendre un choix dans l’urne, sont toujours aussi désobligeantes.
Invoquer la religion pour justifier un choix électoral, on n’a pas vu plus absurde depuis l’invention du faux hadith, par les commerçants véreux aux premiers siècles de l’Islam afin de vendre leur camelote.
Alors dans la série des nouveaux théologiens tu as ceux qui pensent que l’Islam est intrinsèquement de gauche !
D’autres te diront qu’au nom des valeurs conservatrices de l’islam le choix de la droite est théologiquement le plus compatible avec les valeurs musulmanes et enfin certains te diront qu’il faut voter comme tu veux mais que l’éthique musulmane, t’interdit le vote pour les extrêmes !
Je ne vous comprendrais jamais vous les humains, vous êtes tellement divergents entre vous, incapables de vous mettre d’accord et parfois avec les mêmes arguments habiles à défendre des choix opposés !

Petits commentaires sur ces recommandations et justifications théologiques.
Tout d’abord si l’on regarde en détail le spectre politique français, on peut facilement démontrer qu’un musulman peut voter de l’extrême gauche à l’extrême droite, avec toutes les justifications religieuses que l’on veut inventer.
L’Islam n’est il pas révolutionnaire par essence ? Alors votons LCR !
L’Islam n’a-t-il pas porté un projet social concret et une utopie solidaire depuis son apparition ? Alors votons Ségo !
La famille, le patriarcat et le travail ne sont il pas des valeurs profondément ancrés dans les textes ? Alors votons Sarko !
La nation et l’amour de la patrie ne font-il pas partie de la foi ? Alors votons Jean Marie, enfin moi c’est déjà fait !

Tu vois il ne s’agit pas d’une question de théologie !
Le vote est un exercice profondément social.
Il est le résultat d’une socialisation, d’intérêts de classe et d’histoire personnelle.
Toutes les recommandations et pseudo consignes n’y changeront rien
Je connais une musulmane en foulard, militante qui croit en la révolution depuis qu’elle fut étudiante et qui vote depuis 10 ans LCR, parce qu’elle a été socialisée en politique à travers ce mouvement et ses amitiés ancrées dans ce parti sont bien plus fortes et intenses que toute idée de vote communautaire.
Ma cousine jeune et belle assistante de direction à Paris, beurette émancipée, a plein d’amis de "goche" et vote Sego, croyant à l’avènement de la République féminine qui libérera la femme.
Par ailleurs mon pote avocat est naturellement de droite comme son cousin médecin ils ont voté Sarko, enfin mon fournisseur fils de rapatrié d’Algérie et néanmoins bon croyant a naturellement milité au FN depuis ses 18 ans, puisque Jean Marie ne les a pas trahi lui au moins !
Comme tu le constates les choix politiques individuels se justifient tous, et je trouve très déplacé l’idée qui consisterait à produire un discours paternaliste qui donnerait aux musulmans la bonne voie à suivre, justifiée si nécessaire par des interprétation alambiquées des textes fondateurs de l’Islam.
Certains te diront oui mais pour les extrêmes c’est pas pareil !
Drôle d’argument à vrai dire.
Qu’est ce qu’un extrême aujourd’hui et pour quoi parle t’on « des extrêmes » au pluriels ?
Je ne pense pas qu‘il soit immoral de voter à l’extrême gauche puisque même au pays des barbus l’extrême gauche est présente et parfois associée et solidaire des islamistes légalistes, dans la contestation des Pinochet arabes !
Alors qu’ils sont idéologiquement les ennemis héréditaires des croyants, ils deviennent les premiers alliés des barbus en pays d'islam, ce sont vos contradictions historiques pauvres et frêles humains.
L'exception serait-elle mon champion du FN seulement ?

Le seul critère qui me semble pertinent, c’est la voie adoptée par les partis, est elle légaliste ou non ?
Toutes les formations légalistes ont droit à l’expression et méritent de participer à la compétition.
Oui mais ce sont des « fascistes » te diront tous les donneurs de leçons électorales.
En voila un réflexe pavlovien, dès que l’on parle de Jean Marie c’est le synonyme le plus fréquent, que l’on nous affiche « fasciste » aiment-ils dire tous en coeur.
Qu’est ce qu’être fasciste aujourd’hui et doit-on soi disant pour des questions morales, empêcher les méchants « fascistes » du parti à la flamme tricolore de s’exprimer ?
Petit retour aux sources pour t’éviter d’avoir comme l’a dit le grand Pasolini, « une lutte anti-fasciste de retard », les méchants ne sont pas toujours ceux que les lumières médiatiques éclairent.

- L’avènement de la république d’extrême droite décomplexée ?

Les coeurs se croyant désormais plus sereins puisque le méchant « facho » est hors course, je vais me permettre de briser cette accalmie et te montrer que les fachos ne sont pas là ou on le croit.
D’abord commençons par notre président.
Si l’on reproche à mon champion ses nostalgies algériennes ou ses petites phrases racialistes unanimement condamnées par notre bien pensante et immédiatement médiatisées sur la place publique, que dire de celui qui a désormais le bouton de la bombe sous la main, avec qui tout devient possible et qui déclarait encore hier :
« Il nous faut retrouver cette foi dans l'avenir, cette foi dans les capacités humaines et dans le génie français » tout en se referant à « la France des croisades et des cathédrales, la France des droits de l'homme et de la Révolution ».
Il dit aussi à Toulon :
« Le rêve européen a besoin du rêve méditerranée. Il s’est rétréci quand s’est brisé le rêve qui jeta jadis les chevaliers de toute l’Europe sur les routes de l’Orient, le rêve qui attira vers le sud tant d’empereurs du Saint Empire et tant de rois de France, le rêve qui fut le rêve de Bonaparte en Egypte, de Napoléon III en Algérie, de Lyautey au Maroc. Ce rêve ne fut pas tant un rêve de conquête qu’un rêve de civilisation. »
Avec lui-même l’histoire apologétique des croisades est possible.
Quant à la génétique il faut avouer qu’il est plus fort que Le Pen.
Répondant à notre athée national et anti-barbus affirmé, Michel Onfray :
« Je ne suis pas d'accord avec vous. J'inclinerais, pour ma part, à penser qu'on naît pédophile, et c'est d'ailleurs un problème que nous ne sachions soigner cette pathologie. Il y a 1200 ou 1300 jeunes qui se suicident en France chaque année, ce n'est pas parce que leurs parents s'en sont mal occupés ! Mais parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable. Prenez les fumeurs : certains développent un cancer, d'autres non. Les premiers ont une faiblesse physiologique héréditaire. Les circonstances ne font pas tout, la part de l'inné est immense ».
Enfin après avoir piqué le slogan de mon candidat conçu en 1980 « la France tu l’aimes ou tu la quittes », il va bien plus loin en affirmant :
« Je souhaite qu’on ne puisse pas vivre en France sans respecter sa culture et ses valeurs. Je souhaite qu’on ne puisse pas s’installer durablement en France sans se donner la peine d’écrire et de parler le Français.
Et à ceux qui veulent soumettre leur femme, à ceux qui veulent pratiquer la polygamie, l’excision ou le mariage forcé, à ceux qui veulent imposer à leurs sœurs la loi des grands frères, à ceux qui ne veulent pas que leur femme s’habille comme elle le souhaite je dis qu’ils ne sont pas les bienvenus sur le territoire de la République française. »

Sans oublier le mouton dans la baignoire qui a donné naissance au livre du « Azouz de tous les français », que je te recommande particulièrement de lire afin de voir ce qu’est que la tradition raciste de nos élites décomplexées.

Voila pour les discours, une question s’impose, est ce un discours fasciste or not fasciste that is the question ?
Pour en rajouter un peu dans la balance, découvrons ensemble les méchants extrêmes qui entourent notre St Nicolas et demandons à nos nouveaux théologiens musulmans, si il est éthique de voter pour ces extrêmes là ?
1964 un extrême vrai de vrai - son père était dans la milice sous Vichy - Pierre Sidos fonde Occident un mouvement, extrême ? A toi de juger :
Que pensaient-ils, les « occidents » de la République et des élections démocratiques ?
« Ainsi, les nationalistes français constituent contre la république maçonnique et ploutocratique le Parti de la Nation française, le Parti de la seconde Révolution française, qui abolira les effets néfastes de la première »
Ils pensaient que « le mythe de l'élection », doit être remplacé par la « sélection des meilleurs éléments de la communauté populaire, en vue de constituer une nouvelle élite, fondée sur le mérite et les talents », eugénisme, eugénisme St Nicolas tu as de drôles de copains !
Et l’égalité entre les hommes ?
« Ce que nous refusons comme irréel, c'est la vision égalitaire qui prétend faire de l'humanité un ensemble de petits cubes égaux entre eux. De toute évidence, les hommes sont inégaux… »
Enfin parlons de fascisme puisque qu’on nous balance souvent cette insulte éculée et dépassée depuis mai 68, que pensent nos Occidents du fascisme ?
« Dans toutes les démocraties, la jeunesse s'ennuie, et dans toutes les démocraties, il y a des « blousons noirs ». Alors que dans les pays qualifiés de « fascistes », il n'y en a jamais eu. Cela tient au fait que tout fascisme est l'expression d'un nationalisme, qui seul peut cristalliser la volonté de la jeunesse en un immense élan révolutionnaire ; le nationalisme, c'est la jeunesse au pouvoir. »
Alors ça va secoué par ces méchants discours extrêmes ?
C’est islamiquement condamnable non ?
Qui partageait ces idées extrêmes et les défendait dans leur revue (Occident université) ?
Le dernier vestige de l’extrême à la française, mon candidat Jean Marie affaissé comme une falaise face à l’érosion des vagues électorales ?
Ou alors, ceux qui sont actuellement à la tête des institutions et tiennent tous les leviers du pouvoir entre leurs mains ?
Ceux sont eux qui rédigeaient il y a 30 ans à peine ce genre de propos !
Les voila une liste non exhaustive !
Ces jeunes étudiants qui ont rejoint le fondateur d’Occident s’appellent :
Patrick Devedjian (actuellement secrétaire général délégué de l'UMP et conseiller politique de St Nicolas), Gérard Longuet (futur ministre de l'Industrie et ancien président du Conseil régional de Lorraine), Alain Madelin (président de Démocratie libérale, puis député UMP)
Pierre-Philippe Pasqua (fils de Charles Pasqua); Patrice Gélinet (futur directeur de France Culture); Jean-Jacques Guillet (futur député des Hauts-de-Seine); Claude Goasguen (futur député de Paris et l'un des porte-parole de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy) ; et bien d’autres encore.
Alors tu ne cries plus « fasciste » comme un mouton ?
T’imagines des gars comme ça, qui aujourd’hui sont aux commandes de l’Etat et vont concentrer tous les pouvoirs politico-médiatiques ?
D’ailleurs le mode de gouvernance extrême a déjà commencé !
Combien de livres impossible à publier ?
Combien d’articles de presse censurés ou de journaleux virés ?
Même les vidéos sur Dailymotion sont supprimées !
Big Brother à l’américaine est déjà là.
Quand j’entends nos consciences musulmanes s’offusquer d’un Jean Marie qui n’accédera jamais au pouvoir, j’en rie jaune, il n’est pas passé au second tour mais ce sont ces idées recyclées qui ont fait un carton, alors va t’on assister à la république d’extrême droite décomplexée ?
Mon candidat s’est tellement ringardisé dans son électorat traditionnel, en écoutant sa fille, Martinez et Soral pour venir crier dans une cité de banlieue « vous êtes des cé-fran » qu’il mérite ma compassion !
Il était bien plus efficace, quand plus jeune, il abordait le bateau de l’UMPS comme un corsaire avec son bandeau sur l’un des deux yeux !

La question fasciste étant réglée, tu sais désormais que tu te dois de militer et de voter de l’extrême gauche à l’extrême droite, parce que tu es un franchouillard et que c’est d’abord ta condition socio-économique, ta culture et ton éducation qui détermineront tes choix, que tu te dois d’assumer, puisque le vote communautaire n’existe pas.
Sauf si l’on assiste un jour, à l’avènement d’une puissante confrérie soufie ou le shaykh pourra dire qu’il a rêvé du candidat idéal ou à l’implantation officielle des vrais Frères Musulmans© en France avec 100 militants engagés dans chaque département français, capables d’encadrer au moins 100 voix disciplinées chacun, dans les deux cas se seront plus d’un million de voix qui pourront répondre comme un seul homme aux « consignes » électorales, comme le font si bien nos chasseurs et pécheurs du CPNT.
Mais puisque nous sommes dans une République une et indivisible, que les lobbys sont interdits et que nous sommes contre le communautarisme, cela n’est qu’une hypothèse de travail de plus.
En êtes vous sur ?

Comme je te l’expliquais au précédent article avant les élections, nous sommes devenus français trop vite on est tellement bien intégré qu’on vote comme des franchouillards.
Ainsi une fois de plus les musulmans auront été majoritairement Ségo, malgré les « consignes » des uns ou des autres, parce que vous êtes un peu maso sur les bords vous aimez prendre des coups, pauvres humains de gauche !
Quant à moi je ne suis ni de droite ni de gauche, ni d’orient ni d’occident, « la charquia, la gharbia », je vote donc utile et pragmatique, de toute façon je suis anti-républicain depuis des années, monarchiste califal convaincu, donc je ne compte pas !

On ne va pas dire que du mal de tout le monde, il faut aussi que je félicite notre président.
Au prochain numéro tu découvriras avec moi, comment l’avènement du sarkosisme est une chance pour nous les Autres, tu sauras enfin que le temps des ma’thourates s’impose et qu’enfin la VIème République c’est pour bientôt !
Sarko roule pour nous malgré toutes ses méchancetés.

Vos réactions sur :

albertali.lefranchouillard@yahoo.fr

Albert Ali Lefranchouillard
Rédigé par Albert Ali Lefranchouillard le Jeudi 31 Mai à 23:15
La politique un jeu de quilles !
La politique un jeu de quilles !
22 avril le jour J, mon pronostic : Jean Marie 1er de la classe … si on l’aide un peu !

Salam à tous,
Me revoilà parmi vous après mon excursion au Bourget de ce week-end, pour y présenter mon dernier pamphlet : Marianne m’a tuer.

Plus que les livres, la politique intéresse davantage de monde, en particulier ces élections 2007.
Un seul mot sur les lèvres, au Bourget comme à la télé, dans les mosquées comme dans les cafés, à la campagne comme dans les villes, dans la banlieue et dans les villes chics, sauf Neuilly, là bas ils savent déjà.
En une phrase : POUR QUI VOTER ?

-Des critères de sélection électoraux, inopérants.
Depuis la marche des « beurs », et la démonstration de l’existence d’un marché électoral dans les quartiers populaires issus de l’immigration post-coloniale, depuis que les candidats à toutes élections vont à la mosquée, ceux qui prétendent porter notre voix, qu’ils soient laïques ou religieux, ne cessent de nous dire : votez !
Pourtant personne, parmi ces portes voix, n’a osé faire jusqu’à présent un choix clair, ou donner une consigne précise.
Ils se contentent tous de te dire, « votes ! », pour eux c’est le plus important, apprendre à jouer la démocratie c’est déjà un bon début.
Jusqu’au Bourget de ce week-end, ils se limitent à te donner, quelques critères, très sélectifs, pas toujours pertinents, mais constamment inopérants dès que tu les testes sur un candidat, puisqu’au final tu ne peux que les éliminer tous de l’équation, dès que tu appliques le moindre critère.
Par exemple prenons le critère de l’islamophobie des candidats
Sarko : 2/20 pour le mouton égorgé;
Bayrou : 3/20
[ qu’on a étrangement oublié de passer à la grille des critères, ce week-end ], 3/20, pour la circulaire anti-voile, le soutien à Charlie Hebdo, et la violation flagrante du principe de la séparation des pouvoirs en s’affichant dans un tribunal;
Marie Ségo : 5/20 pour le voile violé, ce qui est quand même moins grave que la circulaire Bayrou, l’acte étant - en matière de justice - toujours plus condamnable, que les propos.

Alors cher lecteur, après avoir essayer toutes les équations possibles, appliquer toutes les grilles de critères imaginables, cherché en vain le moins pire de tous, tu dois sûrement être comme chacun d’entre nous, particulièrement amer, frustré et désorienté.
A chaque bulletin que tu as mis dans l’urne depuis ces 25 dernières années, tu sais au fond de toi à quel point celui qui prendra le poste, fera de ta voix une simple statistique.
Réduit à un chiffre tu n’es rien.
Toutes les questions qui te préoccupent, ton pain quotidien, l’école de tes enfants, tes rêves d’entreprenariat, ton envie viscérale de sortir du ghetto, ton besoin métaphysique de te recueillir dans un lieu de culte accepté et respecté …
Et tant d’autres encore si déterminantes pour notre avenir, tu le sais intiment en toi-même, passeront toutes aux oubliettes, et elles finiront avec les bulletins de votes une fois les élections achevées, dans l’incinérateur de l’histoire.

- Parce qu’on est français trop tôt ou le mirage d’un vote mobilisable.
Pourquoi un destin aussi funeste et récurent pour nos voix empreintes de tant de volonté citoyenne ? Parce que tu es insignifiant !
Nos voix, si elles existent, ne sont pas mobilisables.
L’état de nos forces électorales ? Ils les méprisent bien sur !
Sont-ils venus à l’invitation qui leur a été poliment présentée pour le Bourget ?
Même pas un mot d’excuse !
Un club de pétanque dans le Var aura reçu plus de candidats, voila un camouflet pour la promesse d’une surprise du samedi soir.

Les promesses électorales depuis 25 ans ?
Tel, le vote des immigrés, la lutte contre les discriminations et tant d’autres encore, elles ont toutes finit comme la promesse du séducteur d’une nuit, qui promet à sa belle qu’elle sera la seule pour la vie !
On finit à chaque échéance comme elle, une fois réveillée, avec la sensation désagréable de s’être fait prendre au jeu avec la gueule de bois du déçu.
Même quand la banlieue brûle, les flammes ne les inquiètent pas plus que cela – tu me diras même l’enfer ne leur fait pas peur - ils finissent alors, toujours par refermer le dossier.
Un an après, ils se contentent pour les uns, de déposer une gerbe sur la plaque de Bouna et Zyed, [Paix à vos âmes], et pour les autres ils te rient au nez quand tu leur rappelles naïvement leurs engagements vite prononcés sous le feu de l’actu et des voitures brûlées.

Pourtant on continue, le rite masochiste se perpétuant, et à chaque rendez vous, nous attendent douleur et amertume, qui une fois l’effervescence passée, sont toujours dans le menu aussi dégoûtant.
Pourquoi cet inexcusable et continuel mépris de la part des candidats de la France d’en haut ?
Tout simplement parce nous les Autres, finalement sommes comme tous les français, nous votons de l’extrême gauche à l’extrême droite, avec les mêmes critères de choix que nos autres concitoyens.

L’un avocat d’affaires à la Défense, lunettes cerclées, sans barbe et Coran dans la poche, penchera naturellement vers le programme de St Nicolas, cet autre petit bouc au menton, militant chez les verts considère encore qu’il y a de l’avenir dans l’écologie politique.
Celle là, cheveux tirés vers l’arrière, jean moulant sortant de la mosquée le vendredi, en remettant sa djellaba dans son sac à main, est toujours con-vaincue, que le Parti Socioniste aime les arabes, l’autre avec son foulard sur la tête, rêve encore du Grand Soir, avec le petit facteur, et enfin celui là héritier d’un père officier algérien ayant servi le drapeau tricolore en 39-45, votera pour Jean Marie.
Certains enfin comme 40 % des français, décideront au dernier moment - en fonction de l’image qui les aura le plus marqué à la télé ou de la petite phrase percutante qui viendra titiller leur hémisphère cérébrale qui gère les émotions – de mettre le bulletin de vote qui remplira le mieux, la fonction émotionnelle qui les soulagera.

Voila le principal problème électoral pour nous les Autres.
Nous nous sommes « intégrés » à la vie politique française trop vite !
Nous votons avec les mêmes critères que tous les français – critères de classe et de genre de vie, d’intérêt économique et de culture, des critères sociologiquement homogènes avec le reste de la société - soit un exceptionnel bond vers la citoyenneté, en à peine une génération.
Comme si nous étions finalement des français comme les autres et que la société l’ait intégré depuis des lustres, comme si nous vivions dans une société post-discriminations, ayant absorbé le fait musulman.
Nous votons comme si nous étions en 2047, après avoir dépassé les péripéties d’une installation difficile pour une récente communauté minoritaire et porteuse de différences visibles.

Voila donc notre principale faiblesse, qui rend inaudible nos revendications et nos cris de souffrances depuis ces trois dernières décennies.
Nos appels sont ignorés quelques soient leurs formes, qu’ils soient écrits sur des tracts distribués à 1000 exemplaires dans un petit marché, ou qu’ils prennent la forme d’un cocktail Molotov flamboyant une nuit pleine de CRS, qu‘ils prennent la forme d’une manifestation pacifique en 1983 de Lyon à Paris jusqu'à être 100 000 à la Bastille, ou bien encore qu’on les présente en pièce de théâtre en 2007 dans un quartier du 93.
Tant de formules usées qui n’ont jamais abouties, oubliées et méprisées par les gars de la France d’en haut parce qu’inopérantes à l’échelle macro du pays, mais tellement efficaces au niveau local pour la construction lente et patiente d’un vivre ensemble fragile.

Donnes moi une seule raison objective pour qu’ils changent d’attitude à ton égard, en 2007 concernant une élection à l’enjeu national ?
Cherches pas il n’y en a aucune !
Ils n’ont même pas daigné venir te voir ce week-end au Bourget et continuent de te vomir dessus et de cracher sur ton héritage sarrasin avec tout le mépris dû à l’ivresse du pouvoir.
Ils n’ont pas peur de te décevoir, ils n’ont pas peur de te vexer, ils n’ont même pas peur des éruptions de colères régulières de tes jeunes frères.

- Après le Tsunami, la vie refleurit toujours.
Ils n’ont donc pas peur de t’abuser mais une seule chose leur fait peur !
Ils en ont une crainte incommensurable.
Seule cette appréhension profonde les pousse à violer toute la pseudo éthique qu’ils affichent à la télé pour essayer absolument de l’éviter.
Celle qui les pousse à tous les sacrifices pour l’empêcher d’arriver, pour éviter ce qu’ils nomment un véritable « séisme » !
Un séisme qui ne l’est que pour eux, et leur irrépressible envie de s’assoire sur le trône de l’Elysée.
Le séisme du 21 avril 2002, qui a fait de Jospin un éternel loser.
Ce séisme qui les a privé de ce qu’il ont tant convoité, ce séisme qui nous a donné des images si admirables, de petits socialos en pleurs, de petits étudiants de gôche, militants et électeurs en train de chialer comme si le gros Jean Marie allait tous les mettre dans les bateaux vers le bled !
Ca c’était un spectacle historique, qu’est ce que j’ai ris lors de cette soirée mémorable.
Le monde entier a regardé la France, éternelle République accueillante mettre au second tour celui qui incarne selon nos médias la peste brune !
Après un tel séisme ils ont décidé cette fois ci de remettre les compteurs à zéro et de ne plus se diviser.
Chirac adoube Sarko l’américain, et le PS a fait rentrer Jean-Pierre le Revenant et Taubira dans les rangs.
Si tu as compris tout ça tu comprendras aisément que la seule issue cohérente qu’il nous reste c’est de provoquer le 22 avril non plus un séisme mais un véritable tsunami !
La seule manière de les mettre face à leurs 30 années de dénigrement, d’hypocrisie, de haine, dissimulée ou affichée et de désaveux de nous les Autres, la seule manière de les punir d’un saint châtiment républicain tel qu’il se doit c’est en bons franchouillards que nous sommes, de leur montrer tel un seul homme notre cri de rage.
Le jeu de quilles est devant toi, il y a la quille rouge de Buffet, la quille rose de Ségo à la nouvelle dentition payée par les Démocrates US, la quille orange du centriste croisé refoulé, la quille bleu de St Nicolas.
Et derrière toi en train d’attendre depuis 52 ans, le para Jean Marie.
D’une prise de taekwondo tu utilises alors dans le pur style extrême-oriental le poids de leur seul vrai adversaire, pour déséquilibrer leur jeu de quille.

Voila mon ami, je te donne l’occasion pour la première fois de notre histoire de changer le destin de la France.
De marquer l’entrée dans ce troisième millénaire par un tsunami venu des banlieues qu’ils méprisent depuis si longtemps, pour lesquelles ils n’ont jamais accordé de crédit ou de conscience politique.
Nous sommes des nains politiques, notre apport économique est encore négligeable quant aux « intellectuels musulmans » ils semblent pour l’instant faire trembler les plateaux de télé même quand ils sont Suisses, rien de notre production actuelle – économique ou culturelle - ne suscite donc leur intérêt.
Il nous reste alors qu’une solution : nous soulager dans les urnes !
Remettons donc Jean Marie au second tour, et provoquons ainsi une contradiction de l’histoire des plus impressionnante.
Jean Marie dit le facho, au second tour par les voix de ceux qu’il est censé vouloir virer du pays !
Ils ne pourront plus dire « c’est à cause de la division de la gauche », ils sauront qu’ils ont été sortis de l’histoire par l’unité des Autres, et ne pourront plus ignorer que nous existons.
Celui ou celle qui sera élu à 82 % au second tour ne pourra plus jamais ignorer que ce sont les Autres, les banlieusards, leurs « blacks », leurs « beurs », qui les ont douloureusement sanctionné.
D’ailleurs si tu observes bien les milieux médiatiques, on parle de plus en plus de ce vote des banlieues pro-Le Pen, la dernière étant Arlette Chabot ce soir avec Jean Marie.
Les banlieues mettent Jean Marie au deuxième tour, le monde entier auprès avoir vu flamber nos quartiers découvrira un niveau de conscience politique inattendu.
D’ailleurs Jean-Marie avec l’intuition souvent vérifiée qui est la sienne, a clairement compris que nous représentons un vivier électoral, qui pourrait le remettre une deuxième fois en selle, aucun candidat n’a osé nous dire comme lui : « Vous êtes ni des potes, ni des blacks ni des beurs, vous êtes des citoyens français (…) tous unis, gaulois, et ce-fran tous unis français d’ici ou d’ailleurs ».
Aucun n’a fait autant de progrès dans la realpolitik que lui, au contraire ils retournent tous vers les insultes à Jean Marie d’il y a vingt ans pendant que lui nous accepte comme français.
Qui est le plus méritant celui comme Jean Marie, qui passe de 0/20 à 8/20 ou ceux qui étaient à 12 et descendant à 8/20 ?
Jean marie est le choix stratégique le plus évident le plus cohérent même en appliquant la grille de lecture du Bourget 2007, il fait mieux que Ségolène n’a t’il pas dit : « J’ai connu le temps où ma mère n’allait pas à l’église sans porter un chapeau ou un foulard sur la tête. Je crois que le voile ne prospère que parce qu’il est interdit. Simplement, il ne faut pas que le port de ces affûtiaux empêche le contrôle des identités. »
Avoue que c’est plus digne que le voile et le viol de la Royale ?

Tous les autres choix que l’on pourrait faire ne feront que perpétuer le système et maintenir le traitement méprisant des élites politiques à notre égard.
Leur mépris subsistera tant qu’on restera insignifiants et que nous nous maintiendrons à des pseudos conseils électoraux, qui ne sont qu’une longue litanie paternaliste qui ambitionne de te faire de la pédagogique citoyenne.
Après le Tsunami des banlieues, commencera alors l’avènement de la VIème République, avec un vrai plan Marshal pour les banlieues, la remise en état de l’école républicaine dans les quartiers, et débutera alors une prise en compte réelle de nos aspirations.
Parce que la peur qu’une fois de plus le duel du second tour leur échappe en 2012, sera l’épée de Damoclès sur leur tête durant les cinq années d’opposition qui suivront.
Jamais plus ils ne diront que tu ne comptes pas, sachant que tu les surveilleras aux législatives et aux municipales, où de mini tsunamis sont aussi envisageables !

- Des difficultés de te convaincre
Cette thérapie de choc, est nécessaire pour les soigner tous autant qu’ils sont et les renvoyer enfin à leurs insuffisances.
Une thérapie qui j’en suis conscient, ne convainc pas tout le monde, bien que mon précédent article sur ma préférence pour la blonde, ait suscité l’intérêt de certains indécis qui sont aujourd’hui convaincus comme moi de se soulager dans l’urne en glissant dans l’intimité de l’isoloir, Jean Marie dans l’enveloppe.

Les principaux contradicteurs à ma théorie du « tsunami des banlieues générateur de l’histoire », sont de trois catégories.

Il y a ceux, qui sont dans le registre émotionnel, qui n’ont pas compris que la politique c’était l’art de concilier les contradictions. Ils sont dans un réflexe pavlovien, résultat d’un formatage médiatique de 25 ans, qui consiste à réagir immédiatement dès que l’on prononce le nom interdit, ils crient alors d’une seule voix « fasciste ».
Ceux là malheureusement, il leur faut d’abord une cure de désintoxication médiatique et un apprentissage plus poussé de l’histoire politique du pays.
D’autres savent très bien que ça tient la route, la seule chose qui les rebute c’est la crainte d’assumer et la peur de l’amalgame que l’on pourrait faire entre les bruns et les verts.
Souvent c’est un avis qui est partagé par des responsables en titre, qui ne peuvent bien entendu supporter une telle étiquette.
Alors que Jean Marie est invité sur les plateaux de télé et que les médias sont plus gentils avec lui en 2007, je ne comprend pas pourquoi on ne lui a pas proposé de venir nous voir au Bourget en tant que grand candidat, je suis sur qu’il aurait été le seul des 4 à être présent !
Certains patrons de l’Islam de France serrent bien la main à Dieudo l’antisémite au Bourget non ?
Etre taxés de lepéniste par nos journaleux, ou d’alliés du fascisme français ne me dérange pas en vérité.
Parce que entre nous, à bien y réfléchir, passer de l’islamiste au lepéniste c‘est un vrai progrès.
Le premier étant associé à l’étranger dangereux et anti-démocratique, donc délégitimé de fait, le second étant la définition même de 20 % de la France de 2007 et du franchouillard gueulard qui vote Jean Marie pour dire j’en ai marre !
Enfin je serais accepté comme un vrai français, mais au delà de cette intégration dans le PAF, ce raisonnement est la preuve d’une logique de fonctionnement soumise à l’image et au quand dira t’on.
Ce sont des raisonnements qui déterminent ton action non pas en fonction de ton propre agenda mais de ce qu’ils diront sur toi.
Comme si nous maîtrisions notre image, alors qu’elle est confisquée par les journaleux depuis toujours ils décident des images et des terminologies dominantes dans les discours, donc peu importe ce qu’ils geulent dans leur médias, osons et entrons dans l’histoire.
L’autre catégorie fait partie de ceux qui ne supportent pas l’esprit avant-gardiste de ma démarche.
Habitués à considérer qu’un djinn comme moi doit rester un trublion enjoué, ils réfuteront ma légitimité à proposer ma candidature à l’analyse, me préférant dans mon rôle habituel de perturbateur, ils se contenteront faute d’arguments sérieux, tels des adolescents attardés de répéter en passant à ma proximité, six fois « lepéniste » en public.
Ceux là, leur mépris à ton égard est tellement grand, qu’ils peuvent en oublier de te saluer en quittant la salle.

Tous ces contradicteurs, qui ont une lutte anti-Le Pen de retard, confondent droite nationale et extrême droite, ils n’ont pas d’autres choix à te proposer si ce n’est de voter pour le moins pire, ce qui factuellement ne veut rien dire, le moins pire étant le vote blanc, qui ne compte pas au final.
Incapables de proposer une réflexion de fond, inaptes à mobiliser un vrai électorat organisé ou de choisir un candidat, ils ne font que ressasser les même slogans usés – votez pour qui vous voulez mais votez - pour se donner bonne conscience d’une participation citoyenne, pourtant méprisée en haut lieu.

Moi en 2007, je me présente à toi cher électeur, pour t’offrir la perspective de rentrer dans l’histoire par la grande porte.
Je te propose si tu votes pour mon candidat de faire de notre principale faiblesse : la dispersion de notre électorat, d’un bord à l’autre, une arme de déconstruction massive de la logique UMPS.
J’ai besoin juste de quelques centaines de milliers de voix seulement, et le jeu de quilles va s’écrouler.
Plus jamais ils ne pourront dire la banlieue vote pour nous naturellement, plus jamais ils ne te négligeront parce que tu as la capacité de les priver de ce qu’il convoitent le plus depuis toujours : le poste de la magistrature suprême.
Le seul qui leur fait peur c’est le parachutiste Jan Marie qui a torturé mon cousin au bled, maintenant il est notre allié objectif pour en priver un de façon certaine dès le 1er tour de partager le business avec le gagnant au second tour comme il le font depuis 35 ans.
Si je gagne tu prend les sous et moi le poste si tu gagne à moi les sous et à toi le poste, les nigauds qui les ont élus applaudissent alors le jeu de la démocratie télévisuelle
Ainsi nous les Autres nous allons refondre le contrat social du troisième millénaire, écrire un nouveau bail entre co-locataires de la République.

De toute façon, on ne t’a pas attendu, beaucoup dans la banlieue votent depuis longtemps pour Jean Marie et pour Carl Lang ou Bruno Gollnisch aux élections locales.
Certains rappeurs – symbole traditionnel de la banlieue – ont déjà appelé à voter Le Pen et les premiers reportages et autres articles sur le vote Le Pen des enfants d’immigrés a déjà été détecté.

La petite surprise du 22 avril c’est Jean Marie au deuxième tour, la grande surprise serait qu’il le soit avec les voix des sans voix depuis 30 ans.
Une entrée fracassante des Autres dans l’histoire politique française, la seule issue pour exister et sortir de l’anonymat dans lequel ils nous replongent après chaque élection, anonymat qui fait de nous leurs souffre douleur électoral.


Le 22 avril votez utile, faites du tækwondo pour faire péter le système UMPS !

Albert-Ali
Paris le mardi 17 avril 2007

albertali.lefranchouillard@yaho.fr


Albert Ali Lefranchouillard
Rédigé par Albert Ali Lefranchouillard le Mercredi 18 Avril à 19:55
Couverture du livre
Couverture du livre
Albert-Ali annonce MARIANNE M’A TUER son roman.

On l’attendait depuis longtemps, deux ans d’un pénible effort pour sécréter ce que Voltaire nommait : « les petits livres à trente sous qui sont à craindre. Si l’Evangile avait coûté douze sesterces, jamais la religion chrétienne ne se serait établie ».

Un roman, une fiction de 420 pages, qui annoncent la couleur dès la couverture.
«De quoi faire sauter 20 fois la république ».
Tout le monde s’est demandé, qu’est ce que Sirven pouvait avoir dans ses cartons de si dangereux pour Marianne, lorsque arrivé en France en février 2001, il affirmait pouvoir faire sauter 20 fois les institutions ?
La réponse, tu l’as entre les mains, pour seulement 16,90 euros, tu as une bombe portative.
Comme disait Voltaire précédemment : « ce sont les petits livres portatifs à trente sous qui sont à craindre ».




Deux avertissements l’accompagnent.

Avertissement n°1

Ce livre a été écrit avec une plume trempée dans le vitriol, il est vivement recommandé durant sa lecture, d’appliquer les règles de sécurité, valables en station service.
Interdiction absolue de fumer durant la lecture ou d’utiliser le téléphone portable.
Risque d’explosion, pages inflammables.

Avertissement n°2

Tu trouveras dans ce bouquin tous les sujets qui fâchent, ceux qui dérangent et ceux qu’on ignore pudiquement ou que l’on rejette de façon violente souvent avec dédain.
Tu peux donc commencer n’importe quel chapitre, ils se lisent tous indépendamment des autres.
Malgré un nombre élevé de pages, chaque chapitre est comme un petit livret : tu n’as donc aucune excuse pour ne pas achever sa lecture intégrale.
Je te conseille particulièrement les chapitres féministe et islamiste.

Les commentaires ont été nombreux, la critique ne s'en remet pas encore.

« Un voyage au bout de la nuit, la confusion harmonieuse des genres mérite d’être soulignée, une vivacité d’esprit et une réelle richesse pour la littérature française. Un véritable régal littéraire, qui rivalise haut la main avec Céline,…Dion, à enseigner dès le CM2 ».
Téléroman. Paris 2005

« Un ouvrage majeur pour la littérature de fiction, une inspiration pour mon prochain film : le retour du coté obscur du calife ».
Steeve Speel Beurk. Studios de Los Angeles 2005

« Ouvrage que j’ai lu en mangeant un bretzel, le chapitre 7 était écrit pour me nuire, pendant que je mâchais. Après cet attentat manqué au bretzel, l’auteur figure désormais sur ma liste noire de l’axe du mal ».
G.W Bouche. Bunker de la Maison de M. Blanc 2003

« Le contenu de ce livre a été déclaré non-conforme à la Sharia, l’auteur devra en répondre devant le tribunal, une tonne de cailloux en polystyrène seront déversés sur lui après le verdict ».
Le Mollah Omere. Odyssée de Kaboul Grotte à pipi 43 Tora Bora 2004

« Livre non casher, interdit par le grand rabbinat et déclaré dangereux pour la sécurité d’Israël, le ton maussade et l’ironie de l’auteur doivent être dénoncé à notre prochain dîner annuel en même temps que la politique étrangère de la France ».
Le Rabin chïte. Quartier des mythomanes Paris X. 2006

« Le Da Vinci Code était dangereux pour l’Eglise, ce livre c’est du Dan Bron possédé par l’esprit du malin, les fidèles devront prier pour l’âme de ce pécheur, à Rome il aurait été crucifié! ».
Le père supérieur. Centre Benoît 16 de la croix rouge, Rome Ratisbonne 2006

Sommaire
1. Chapitre d’ouverture.
2. Chapitre suivant.
3. Chapitre familial.
4. Chapitre féministe.
5. Chapitre féministe (bis).
6. Chapitre islamiste.
7. Chapitre anti-yankees.
8. Chapitre familial (bis).
9. Chapitre science-fiction.
10. Chapitre posthume.


Albert-Ali sera au Bourget pour le signer.


Pour commander
albertali.lefranchouillard@yahoo.fr

Albert Ali Lefranchouillard
Rédigé par Albert Ali Lefranchouillard le Mercredi 28 Mars à 22:24
2007, 2012 votons féminin ! Moi je préfere la blonde.

Une femme président, en voila une idée saugrenue !
Je sais ! Tu te dis comme Fabius : « mais qui va garder les gosses ? ».
Question légitime, quand on sait que, 40 ans après mai 68, elles sont toujours à faire la double journée.

Avant maternage à la maison après les durs travaux des champs et aujourd'hui maternage, toujours – pas assez de crèches nous dit-on ? - après journées harassantes au bureau, remarquable stabilité dans les comportements de nos femmes.

Alors pour changer un peu ce monde injuste où elles doivent bosser et encore bosser à la maison, pourquoi pas une femme présidente ?
Ce serait bien une femme au pouvoir, non ?
Une reine de Saba, à l'Elysée.
Elle pourrait enfin aider le sexe faible qui souffre tant, et redonner un coup pour motiver la cause des femmes qui, visiblement, semble avoir juste accouché d'une souris nommée Isabelle A.

2007 : un choix difficile.
Les jeux sont faits, nous dit-on, ce sera Ségo-Sarko, faites vos jeux mesdames messieurs.
Alors tu choisis UMP ou PS, une claque de la main droite ou de la gauche le choix est évident !
L'enjeu est crucial, il en va de l'avenir de la France, alors qui choisir, pour qui voter ?
Question que je/tu dois sûrement te poser comme les 30 millions d'électeurs au mois d'avril.
Gauche ou droite ?
Extrême gauche ou centre ?

ll est peut être une hypothèse à laquelle nous n'avons pas osé penser.
Nous ? Oui, moi et toi.
Je veux dire nous les Autres qui avons comme dénominateur commun d'être des français d'origine non autochtone.
Une idée qui révolte a priori, mais pourtant qui, pour celui qui se penche sérieusement dessus, s'impose naturellement.
Et si c'était chez Jean-Marie et sa blonde fille à papa que la solution serait la plus évidente ?
Et si c'était du coté de la nouvelle flamme tricolore que se trouvent chaleur et lumière, donc avenir pour la France ?

Je sais. Tu vas me dire, mais ce sont des fachos, anti-immigrés, racistes xénophobes et antisémites, petites phrases scandaleuses, etc.
Voila pour le résumé du discours que l'on nous sert dans nos médias sans trouver étonnant, que Jean-Marie et son parti soient les seuls, que l'on juge sur des opinions datant de 10, 20 ou pour certaines 30 ans ?
Est-ce que le looser Jospin, lambertiste convaincu jusqu'à l'avènement du mitterrandisme se voit condamné pour ses idéaux radicaux d'il y a 30 ans ?
Même question pour tonton julien du PS, futur ministre de l'intérieur de Ségolène qui, il y a à peine 20 ans, fréquentait le monde extrême de gauche et son frère, l'appuyant à la tête d'une milice extrémiste interdite aux USA et en Israël ?
Demande-t-on aux patrons de la droite, garde rapprochée de Saint-Nicolas-patron-des-minorités, s'ils ont vraiment renié leurs idéaux extrêmes, quand ils étaient pour certains à Occident ou pour d'autres chez les catho ultras durs, voire anciens de l'OAS ?

Comme tu le vois, les casseroles idéologiques puantes, ils en traînent tous derrière eux !
Bien sûr, ils te diront pour ceux qui ne peuvent plus nier cet embarrassant héritage, qu'ils ont changé, qu'ils ne sont plus que jamais républicains et que la révolution radicale c'est du passé.

Dans ce cas, pourquoi ne pas donner le même crédit au FN ?

Depuis 15 ans, une profonde transformation s'est opérée, et je t'assure - moi qui suis souvent présent dans leurs réunions, lors de mes voyages dans l'autre dimension, avantagé par mon invisibilité de djinn - je peux te garantir qu'ils se sont vraiment rénovés ou du moins une partie d'entre eux sur lesquels on peut fonder l'espoir.
Normal, la garde présidentielle du corsaire Jean-Marie, a plus de 60 ans et les cadres intermédiaires génération Marine, sont les nouveaux gardes frontières au front.
Les changements s'opèrent rapidement en politique.
Le parti socialiste français, est devenu le parti socioniste français, la droite se décomplexe et chasse les égorgeurs de mouton dans leurs baignoires et la racaille à coup de karsher.
Faisant ainsi basculer le racisme, de l'extrême droite vers la droite et peu à peu vers la gauche.
Ce ne sont plus les skinheads qui insultent les nègres en marge des manif’ du FN, ce sont nos présentateurs qui chantent la France aux chansons qui voudraient castrer les noirs et nos éléphants du PS qui trouvent qu'il y en a trop en équipe de France !

Conclusions avec Jean-Marie : tu sais à qui tu as à faire. Un gaulois, debout fier de son pays et qui assume depuis 50 ans son discours.

La principale qualité dans le combat politique c'est la franchise.
Or c'est ce qui leur manque à tous, excepté Jean-Marie qui est le seul dont on est sûr des convictions.
L'homme fait partie de cette race des combattants qui respectent leur adversaire.
Bien sûr, petites phrases et casseroles jonchent sa route sur le chemin de l'Elysée, depuis l'époque ou en corsaire, bandeau sur l'œil, il défiait l'establishment, mais doit-on s'arrêter à une image d'un Le Pen vieille de 15 ans ?
C'est sûr que je ne lui fais pas vraiment confiance avec une partie du Front (notamment les durs et les crânes rasés) mais …
Peut-on encore continuer à donner aveuglement comme des sous-hommes, notre voix à la gauche qui nous a tant trahis ?
Tu le sais, depuis qu’ils ont inventé la religion beurre et SOS, afin de drainer ton enthousiasme et l'endiguer vers les oubliettes du militantisme, on ne peut plus leur faire confiance !
Sans compter l'épuration qu'ils ont menée au sein des instances dirigeantes, où les quelques voix pour la paix en Palestine qui subsistaient, ont dû démissionner pour être remplacées par les larbins de service plus sionistes que tonton Julien futur ministre de l'intérieur de Ségolène, qui ira karshériser à son tour le moment venu les racailles antisémites des banlieues.
Quant à la droite, notre « ami » Sarko trouve qu'on devrait arrêter la polygamie, stopper l'excision des filles et arrêter d'égorger nos moutons dans les baignoires des H.L.M, si l'on veut rester en France et se dire Français et tous cela en prime time sur TF1.
Monsieur Sarko, il faut faire un choix : si l'on aime la France on n'est plus polygame et le mouton dans la baignoire c'est fini !
Soit et les clubs échangistes pour civilisés républicains, fréquentés par les quadra, blancs, bourgeois souvent dans la politique, ça vous va pour remplacer la polygamie des sauvages ?
C'est sûr que la polygamie masculine, il est contre, ça se comprend, lui-même fut victime de polyandrie féminine.
Un mari ministre à Paris et un deuxième homme, boss dans la pub à New York c'est trop !

Celui-là, il nous fait du Le Pen des années 80, mais sans le charisme et le style Jean-Marie, qui a quand même plus d'envergure quant il fait ses petites phrases.
Le sort de la droite et de la gauche étant réglé, restent les petits partis insignifiants (MPF, PC, Verts, LCR etc.) qui sont juste chargés de recruter pour emmener des voix à Sarko ou Sego au second tour. Face à Blanc bonnet et Bonnet blanc, que nous reste-t-il ?

Conclusion évidente, si l'on veut faire peter le système UMPS, établi depuis des décennies, et donner une chance d'être entendus afin que nos voix comptent, il faut une révolution !
Et cette révolution, c'est la blonde Marine qui la porte.
Protection de la France face au mondialisme, arrêt de la politique d'immigration inhumaine que les autres mènent depuis 30 ans pour toujours tirer les salaires vers le bas, mieux exploiter ceux qui, comme nos pères, ont traversé la Méditerranée pour bosser.
Enfin un geste passé inaperçu mais très important, celui de la main tendue aux banlieues, la seule vraie main honnête que l'on nous tend depuis 30 ans.
Main à poigne mais respectueuse si l'on est prêt à se bouger.
Et enfin seul candidat, dont la politique internationale est la plus cohérente, la plus juste et surtout la plus proche de nos aspirations, de nos solidarités d'outre méditerranée.
N'est il pas le seul candidat qui ose dire, sur TF1 à l'heure de grande écoute, qu'il est prêt à discuter avec le Hamas palestinien élu démocratiquement et qui conseille à l'Iran le plutonium plutôt que l'uranium ?
Franchement , avoue quand même qu'il a de la classe, le bonhomme !
A ce titre je dis : « Pourquoi pas Jean-Marie et Marine ? »

Voici donc mes pronostics, je n'ai aucun mérite puisque je peux voyager dans le futur, je te donne donc le scénario qui nous attend.
Les jeunes des banlieues massivement inscrits sur les listes et les citoyens désireux de changer, se doivent de voter Jean-Marie, ainsi il sera premier au premier tour !
Au second tour, il mourra de crise cardiaque, regrettant que cela ne soit pas arrivé 20 ans plus tôt, Marine reprendra alors le flambeau.
En 2012, elle sera présidente, si tu votes pour elle encore une fois, sa génération n'étant pas marquée comme celle de son père du sceau de l'infamie collabo vichyssoise et de l'Algérie française.
L'UMPS implosera alors, les relations internationales de la France prendront le cap du respect des nations souveraines, avec une implication plus forte au Moyen-Orient, les Bannou Herzl, n'étant pas suffisamment nombreux dans l'appareil FN, nous avons tous et toutes nos chances d'être rapidement des cadres d'un nouveau mouvement national républicain réformé.
Un mouvement qui réconcilie franchouillards nationalistes et héritiers de l'immigration, un mouvement qui aura la possibilité de mener des grands changements.
L'utopie et slogan éculé « les immigrés dehors », n'étant plus déjà le mot d'ordre du FN, une vraie politique de transformation des banlieues avec un plan Marshall adéquat, débarrassera les médias de scoops et de reportages sur les banlieues dangereuses.
Nos banlieues deviendront des zones d'excellence, alors que le vivier de compétences est resté jusqu'alors inexploité.

Avoue que la tentation est grande, avec lui on au moins trois garanties :
- Il n'a jamais trempé dans le système.
- C'est un homme debout qui tient ses paroles et respecte le travail.
- Il n’a pas été infiltré par les Bannou Herzl du lobby qui n'existe pas, mais qui est présent à droite comme à gauche et qui, à chaque élection, organise le voyage du nouveau président élu … chez la première démocratie du Moyen-Orient et dernier empire colonial de la planète.

Qu'avons-nous à perdre ?
Jean-Marie n'est pas plus raciste que Pascal Sevran ou Georges Freche, il n'a jamais karshérisé les quartiers, et les militants de couleurs, ne sont pas des colleurs d'affiche chez lui.

Faire le choix de Marine, qui va reprendre la boite à papa, c'est la garantie de punir sévèrement les partis traditionnels pour leur manque cruel d'honnêteté et de respect de l'Autre c'est à dire nous, ou toi et moi.
Cette première révolution accomplie, nous avons le temps devant nous, pour que le système change et qu'à nouveau on tienne compte des réalités.

Albert Ali Lefranchouillard
Rédigé par Albert Ali Lefranchouillard le Jeudi 22 Février à 12:55
Monsieur Albert Ali nous revoici une nouvelle fois ensemble.
Nous avons bien saisi les deux étapes de votre chronologie, quelle est donc la suite de cette politique migratoire accélérée durant les trente glorieuses ?


Je vous ai fait part de l’origine inavouée de cette peur de voir la France transformée, cette peur de l’altérité typiquement républicaine.
Cette appréhension et cette conviction profonde incarnée dans les propos du général de Gaulle disant :
« Qu'on ne se raconte pas d'histoire !
Les musulmans, vous êtes allés les voir ?
Vous les avez regardés, avec leurs turbans et leurs djellabas ?
Vous voyez bien que ce ne sont pas des français!
Ceux qui prônent l'intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants.
Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre.
Agitez la bouteille, au bout d'un moment ils se sépareront de nouveau.
Les arabes sont des arabes, les français sont des français.
Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et demain quarante ! »
Voila un postulat des plus clairs !
Pourtant, malgré cette conviction partagée par nombre de ses contemporains et de ses amis politiques, on a importé par millions les « ahmeds rois du balais que personne ne connaît » pour un décollage réussi de l’économie d’après guerre et pour mettre fin à l’emprise du PCF sur le monde ouvrier, Ahmed et ses copains ne pouvant chanter l’internationale en arabe !
Ce qui suivra est une décision incroyablement contradictoire et politiquement incompréhensible : le regroupement familial !

Je m’explique, alors que tous les « ahmeds » étaient prêts à rentrer chez eux, rejoindre leur Shéhérazade et acheter un lopin de terre à cultiver avec le magot de smics accumulés ; alors qu’aucune politique d’intégration n’avait été mise en œuvre et que cette masse ouvrière fut tenue longtemps à l’écart entre autre dans les foyers Sonacotra ; que toutes les conditions psychologiques, sociales, économiques et politiques étaient réunies pour qu’ils rentrent enfin chez eux (comme ils l’avaient eux mêmes programmé dès le départ), en préservant la future progéniture de sauvageons à l’état de gamètes, on leur proposa une aventure inouïe !

Rester chez Marianne, et mieux encore, ramener du bled leur Shéhérazade - tout cela en pleine crise économique et pétrolière de 1973 - afin que les sauvageons encore à l’état de gamètes deviennent de solides et vigoureux gaillards en survêtement et baskets.
De solides gaillards, dont certains galoperont 20 ans plus tard, flics aux trousses et cocktails Molotov à la main ou d’autres encore – de plus en plus nombreux - priant sur les trottoirs à Marseille ou à Barbes faute de places dans les mosquées.
Enfin une autre part encore, plus visible avec djellaba et barbe fournie, Nike au pieds gérants de kebabs dans le 9-3 et rêvant de hijra en Arabie !

Troisième acte d’un machiavélisme encore plus poussé, mais qui va désormais changer pour toujours le visage de la France.
Une décision lourde de conséquence, qu’on a peine à comprendre.
D’autant plus que la classe politique française débattait depuis longtemps déjà, de ce risque de transformation de la société.
Ce n’est pas des paroles d’un illuminé, même si je suis un peu allumé, c’est une thématique complémentent ancrée dans l’histoire politique de nos institutions.

« (...) quand la proportion des indigènes-citoyens augmente : si l'on n'augmente pas leur représentation, il y a disparité de traitement du corps électoral, ce qui blesse l'équité politique ; si l'on augmente leur représentation à due concurrence, des citoyens de fraîche date peuvent devenir l'arbitre entre les partis dans la Métropole, déplacer la majorité et bientôt peut-être la constituer à eux seuls.
A la limite, le code civil des Français est voté par une majorité de polygames et, pour noircir le tableau, le code pénal, par des fils d'anthropophages.
Avant que cette limite soit atteinte, il faut trouver autre chose. »
Donc en résumé il y avait très certainement une réelle prise de conscience de cette « menace » potentielle et pourtant les décisions politiques giscardiennes restent inexplicables.
A moins que …

M. Albert-Ali vous m’intriguez comme jamais, dites nous vite quel est ce secret historique, faites nous cette exclusivité pour les lecteurs du Blog !

Le secret de la transformation inattendue des sauvageons à gamètes en sauvageons à casquettes, vient de ce pari politique inouï, démesuré, fait par Giscard et les anciens de l’Algérie française.
Rappelons que ce sont ceux-là même, qui avaient le plus intérêt à virer « Ahmed » - haine traditionnelle de l’immigré et nostalgie de l’Algérie française aidant - pourtant ils ont décidé d’accorder la gratuité de la pilule à Germaine et même l’avortement, tout en encourageant « Ahmed » à voyager avec 75 % de réduction à la SNCF.
Vous avez bien saisi, cette contradiction profonde entre l’accès aux moyens modernes de contraception et la féminisation du travail des françaises - avec pour conséquence inévitable une baisse générale de la fécondité - et une arrivée massive de mamas maghrébines et africaines.
Familles de 8 à 10 enfants ne seront pas rare, chez ces nouveaux immigrés, alors que Germaine, peu à peu découvre les joies du travail à la chaîne, et celui des caisses enregistreuses chez Auchan, avec enfin le bonheur de ne plus être enceinte malgré elle.

La question que l’on soulève nécessairement face à ce constat objectif, c’est pourquoi une telle décision aussi absurde ?
Ils ont maintenu la regroupement familial et ainsi assurer la présence d’une population immigré massive, bien que sa mission de reconstruction était finie – qui amènera par la suite un cantonnement et une concentration progressifs, de ces populations dans des zones sans accompagnement social, culturel et économique.
Suivra un abandon progressif de ces mêmes populations, alors que 132 ans d’occupation de leur pays ont bien montré que le vinaigre et l’huile ne pouvaient se mélanger si l’on les laissait seuls !
Donc non seulement ils ont conçu le regroupement familial comme un outil d’immigration complémentaire mais l’accompagnement socio-économique et culturel était quasiment absent.
Pourtant on aurait pu faire une excellente vinaigrette avec l’intervention du politique.
Les ingrédients nécessaires pour un subtil mélange du vinaigre et de l’huile étaient pourtant disponibles : moyen financiers colossaux – grâce au trente glorieuses – pour des politiques sociales de qualité, alphabétisation et intégration économique, école républicaine encore fonctionnelle à cette époque et moyens supplémentaires à l’échelle d’un tel défi !
On n’intègre pas 2 millions d’immigrés et leurs familles, de culture si éloignée de la tradition gréco-romaine et judéo-chrétienne – dixit de Gaulle - avec une simple carte SNCF famille nombreuse à 75 % de réduction et un T3 de 65 m² dans un HLM !

Alors pourquoi cet abandon pendant les vingt années qui suivirent ?

Vingt ans d’abandon et de regroupement familial accéléré ne pouvait que conduire à une impasse démographique, sociale et économique en un mot : la naissance inévitable d’immenses quartiers en marge de la société : autrement dit, les banlieues de années 80 à 2000 !
En résumé 1945-1975 : création de l’Office National de l’Immigration, un outil aux mains de l’Etat pour une immigration massive avec des ahmeds qui seront élus meilleurs ouvriers de France durant les trente glorieuses !
1973-1983 : regroupement familial qui donnera naissance à des millions d’enfants et regroupement urbain sans accompagnement socio-économique adapté à cette échelle : inévitablement ce sera la naissance des « quartiers ».

L’on comprend bien ou vous voulez en venir, mais vous n’expliquez toujours pas les causes de cette décision, est ce que vous sous entendez qu’il s’agit d’un complot ?
Pensez vous que les décideurs politiques étaient assez fous pour saborder le pays aussi bêtement ?

La théorie du complot, c’est le mot magique pour discréditer toute tentative d’analyse iconoclaste et hors du système.
Si théorie du complot il y a, se sont ceux là même qui le dénonce, qui crient au complot en accusant les autres de comploter contre la République, qui sont en pleine théorie du complot par leurs accusations !
Je vous donne des éléments objectifs d’analyse, froids, mesurables et intrigants !
Qu’on m’explique pourquoi l’absurdité de tels choix.
La relégation vers les quartiers périphériques, par exemple n’est pas juste une contrainte qui s’est imposée, par manque d’espaces.
La banlieue est une création étatique datant de plus de quatre siècles.
C’est le lieu de relégation sociale institutionnalisé et même défiscalisé.
La banlieue étant historiquement une zone franche datant du moyen age.
Etre à « une lieue du ban » – qui était l’impôt payé par les paysans au moyen age – c’était bénéficier d’une exonération fiscale mais en acceptant d’être relégué dans une zone défavorisée.
Si les ahmeds avaient pris leurs 10 000 balles et se seraient cassés, il n’y aurait pas eu de crise du logement depuis 30 ans, puisque ces mêmes ensembles urbains seraient vides des millions d’immigrés et de leurs familles.
Pourtant on a décidé de les garder tout en sachant que l’huile et le vinaigre ne se mélangent pas ! La question reste complète, pourquoi ?

Bon laissons le complot de côté donnez nous vos explications.

L’année 1974, est une date clef dans l’histoire de l’évolution de la société française, vers sa transformation inévitable.
C’est l’année ou se lance les premiers centres de remise en forme, avènement du culte du corps, la majorité passe à 18 ans, le divorce par consentement mutuel est institué, l’adultère est décriminalisé, et enfin l’avortement autorisé.
La fête peut donc commencer.
L’Eglise n’est définitivement plus une menace, même la force morale qu’elle pouvait conserver sur la vie était devenu insignifiante, elle ne pouvait même plus protéger un fœtus et le mariage ont elle était la gardienne des sacrements, lui échappait définitivement.
Le dernier danger, qui subsistait c’était les rouges.
Rappelons que le parti communiste français était le premier parti de France à la sortie de la seconde guerre mondiale et sa contribution à la résistance lui conférait un immense prestige.
Le PCF accepta de déposer les armes et de ne pas faire passer la France à l’Est, en échange d’un deal social avec les gaullistes.
Conclusion, économie planifiée, acquis sociaux et croissance était les garanties d’une société meilleure, proche de leurs aspirations politiques et de leur projet révolutionnaire.
Une fois la menace rouge temporairement écartée, il fallait une arme fatale et silencieuse pour les liquider, ce fut Ahmed et ses copains d’Afrique.
On savait depuis longtemps que chanter l’internationale en arabe, ou en wolof était impossible pour ces indigènes, alors noyer la force ouvrière française par un raz de marrée prolétaire bronzé et noir était la meilleure façon d’assurer une croissance à moindre frais tout en diluant les forces révolutionnaires des rouges.
Résultats les bastions populaires et ouvriers devinrent peu à peu, des quartiers à l’armée ouvrière inutile et aux bataillons inopérants.
Machiavélisme suprême, coup double pour le patronat français qui écartait ainsi une menace réelle pour ses usines tout en assurant une pression salariale à la baisse jusqu'à ce jour.
Il ne restait plus au parti communiste 30 ans plus tard, qu’à louer son siège social pour des défilés de mode opulents, symboles même du capitalisme, l’histoire est une éternelle contradiction
Mais pourquoi alors, ne pas les avoir renvoyés chez eux et avoir préparé les conditions favorables à la naissance de quartiers entiers à coloration immigrée ?

Tout cela lors de ma prochaine interview, en abordant d’autres sujets brûlants : l’islamisme comme équivalent oriental du républicanisme français, les élections féminines et populistes de 2007 et bien sur mon dernier concept venu du cœur de mon univers invisible, ce que j’appelle : « l’effet pékinois » !

Salam à tous à bientôt
Albert Ali
Vos réactions sur levoile@cegetel.net


Albert Ali Lefranchouillard
Rédigé par Albert Ali Lefranchouillard le Jeudi 4 Janvier à 19:37

Monsieur Albert-Ali, nous voici à nouveau réunis pour la suite de cetteinterview exceptionnelle.

Expliquez nous ce que vous entendez par cette chronologie en quatreétapes et pour le moins insolite ?

 

Je vous disais donc.

Etape 1 : lescolonies coûtent trop chères et surtout - au lendemain de la création de l’ONU-il aurait fallu enfin appliquer les droits de l’homme proclamés à la télé etdonc donner la citoyenneté aux sujets de l’empire.

Ce qui signifie concrètementqu’aujourd’hui, la Franceserait un pays de 95 millions d’habitants avec une majorité de musulmans !

Comme la République est une etindivisible, que seul le citoyen est reconnu, qu’on n’a pas droit au lobbies etaux communautés, et bien … ah sharria sharria sharria !

Par les urnes tu ne passeras pas !

Je suppose que vous avez saisi. Laprincipale raison, qui a justifié la fin des colonies, c’est la peur detransformer une France majoritairement blanche et laïque - par le jeu d’unecitoyenneté enfin égale - en un ensemble incohérent où fatalement deux modèles,deux législations se confronteraient !

Les musulmans n’étant pas desmohicans, il était impossible de les civiliser avec les chants universalistesde la dame au bonnet rouge !

Je sais, tu te dis que c’estencore un délire de ma part, comme pour la polygamiegastronomique de mon précédentarticle[1],alors prends toi ce qui vient dans les dents et dis moi si tu es encore deboutaprès !

Un grand visionnaire, l’avaitdéjà compris dés 1945, écoutes le donc il est d’une clarté :

 

« C’est très bien qu'il yait des français jaunes, des français noirs, des français bruns. Ils montrentque la Franceest ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle.

Mais à condition qu'ils restentune petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommesavant tout un peuple européen de race blanche, de culture latine et grecque, etde religion chrétienne. 

Qu'on ne se raconte pasd'histoire !

Les musulmans, vous êtes allésles voir ?

Vous les avez regardés,  avec leurs turbans et leurs djellabas ?

Vous voyez bien que ce ne sontpas des français!

Ceux qui prônent l'intégrationont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants.

Essayez d'intégrer de l'huile etdu vinaigre.

Agitez la bouteille, au bout d'unmoment ils se sépareront de nouveau.

Les arabes sont des arabes, lesfrançais sont des français.

Vous croyez que le corps françaispeut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions etdemain quarante !

Si nous faisions l'intégration,si tous les arabes et berbères d'Algérie étaient considérés comme français,comment les empêcherait-on de venir s'installer en métropole, alors que leniveau de vie serait encore plus élevé ?

Mon village ne s'appellerait plusColombey les deux Eglises mais Colombey les deux mosquées ! »[2]

 

Il avait 40 ans d’avance sur sescontemporains le Général de Gaulle, car il s’agit bien de lui !

Voyez-vous, la question de lacompatibilité des mœurs musulmanes au sein de la République n’est pas unnouveau débat !

 

Donc étape 1 : on quitte lescolonies, avant que la démocratie se retourne contre nous, que la France de Dunkerque àTamanrasset dépasse le rêve pour devenir un cauchemar.

Une réalité faite de blancs et debruns, d’alsaciens et de kabyles, de bretons et de chaouis, de marseillais etde sahraouis, une palette de couleurs insupportable pour les nationauxrépublicains !

Une Algérie française, libre etdémocratique, avec tout le préambule de la Constitutionappliquée de façon ferme et entière – un peu comme la sharria afghane en 2001 –aurait au moins eu comme avantage d’économiser pas mal de paperasse !

Plus de certificat d’hébergementpour venir en Métropole, plus de visa, plus de longue file d’attente ! Sourire(de génie) ….

 

Comprenez-vous maintenant, cette phobie originelle de perdre l’identitéfrançaise, qui est le slogan du chouan De Villiers ?

Si un certain discours dominant,interpelle sans cesse les gens sur l’impossibilité de vivre ensemble, entremusulmans et le reste de la société, c’est simplement la résurgence d’une peurancienne, qui a fait trembler nombre d’élus, une peur qui est celle du coupablepris la main dans le pot de confiture !

Je m’explique : en allantciviliser le monde du sud, Marianne savait parfaitement quelle profondeinjustice elle commettait !

Tant qu’elle n’était pascontrainte d’appliquer les principes qu’elle a édictés, le système tenait, maisau lendemain de Nuremberg, au lendemain de la redécouverte des droits del’homme vraiment universels, avec la création de l’ONU et l’idée du droit despeuples à disposer d’eux mêmes, soudainement Marianne réalise (cf. de Gaulle) àquel point être républicain et démocrate c’est mettre en péril ses propresconvictions.

Conclusion : on se sauve dubled, tant pis pour les pieds noirs, tant pis pour les harkis « ces soushommes »[3] qui ont servi la France, ils découvriront levrai visage de la femme au bonnet rouge à leur arrivée en métropole ; ceuxqu’elle a laissé là bas, subiront un sort peu enviable !

En métropole, ces serviteurs dela nation découvriront les principales qualités de la femme au bonnetrouge : perfidie et mensonge, ingratitude et souffrance seront le lot demisères qu’elle leur offrira comme récompense à leur loyauté d’harkis trahispar leur mère nourricière !

 

En résumé, l’illusion coloniale aprit fin, parce que les valeurs même qui l’ont motivée, par leur applicationintégrale et juste, allaient mettre fin au règne de la femme au bonnetrouge !

C’est au nom de la République et del’universalisme, qu’elle est partie baïonnette en main, civiliserl’Autre ; c’est le jour où elle devait appliquer ces mêmes valeurs,réellement et justement, qu’elle a pris la poudre d’escampette, craignant detuer par leur mise en application, ces mêmes principes !

C’est le paradoxe deMarianne,  il est d’une étonnantesingularité !

Appliquer les valeursrépublicaines en Algérie française, aurait mis fin à la France !

Rendez-vous compte, c’est unparadoxe de l’histoire qui mérite que l’on s’y penche.

Mettre fin à des principes sibeaux, tout simplement … en les appliquant.

D’où cette phobie de l’élémentétranger dans le corps national. Sa seule présence rappelle à Marianne, qu’ellea un jour mis la main dans le pot de confiture et qu’elle fut prise en flagrantdélit.

Elle s’est vite fait oublier,mais aujourd’hui certains élus n’hésitent pas à dire qu’ils ne veulent pas êtreles dhimmis[4] et que ce sera euxou nous (sic), une guerre entre l’Islam et l’Occident.

Ils rallument le feu de la hainede l’altérité, au cours de diatribes dignes du docteur Bodichon.

Mais cette étape a été rapidement oubliée. On passe alors à l’étape 2.

 

Etape 2 ! Expliquez nousde quoi  s’agit il ?

 

1945 : le grand Général, quiétait déjà à cette date convaincu que l’huile et le vinaigre ne se mélangentpas, vient de libérer la France. Ilen devient le chef de l’Etat.

Puis il fait sa traversée dudésert et revient au pouvoir pour mettre la France sur les rails.

Un deal secret entre lesrésistants avait eu lieu.

Quel était le mystère du dealentre les cocos et les gaullos ?

Les cocos, plus nombreux à lalibération et bien armés, pouvaient faire tomber la République dans lerouge et rejoindre l’axe du mal soviétique ; alors pour éviter une seconderévolution française aussi sanguinaire que la première, on a donné des gagesaux rouges et ils ont rendu les armes.

Résultat : économieplanifiée et interventionnisme d’Etat, progrès social et économique pendanttrente ans ; les cocos étaient contents et les gaullistes évitèrent lebain de sang.

Mais….

C’était sans compter sur l’espritmachiavélique de certains décideurs de la France d’en haut.

Pour rendre les rougesinopérants, on décida d’importer par millions des « Ahmed » pour en faire les « rois du balai que personne ne connaît ».

Conclusion : 30 ansd’immigration jusqu’à son arrêt « officiel », ont transformé lepaysage ouvrier français.

On passa d’un Parti communiste à30 %, à un PCF à moins de 5 %, obligé de louer son siège social pour défilés demode haute couture, le symbole même de l’opulence capitaliste !

Encore un paradoxe de l’histoireà la française.

Cette immigration bronzée etblack a permis à notre économie un décollage fulgurant. 90 % desroutes ont été posées par « Ahmed » et ses copains, les mines decharbon et la sidérurgie, encore « Ahmed » et ses camarades.

Ce sont finalement eux lesvéritables pères fondateurs de l’Europe, avec la Communauté Economiquedu Charbon et de l’Acier, les autos françaises se construisent à lachaîne,  etc.

Une économie qui décolle àmoindre coût et surtout un syndicalisme inopérant, car c’est là le secret de cecomplot machiavélique : « Ahmed » et ses copains ne pouvaientchanter l’internationale en arabe, ni servir de force révolutionnaire.

Conclusion : le grand soir, black,rouge et bronzé était impossible !

Voila comment redresserl’économie d’après guerre à moindre coût, tout en évitant une révolutionbolchevique et en réduisant le PCF à peau de chagrin, rouge !

Bravo chapeau !

 

La suite de ce complot machiavélique et la nouvelle donne dela France du dernier quart du XXème siècle, vous sera contée laprochaine fois, vous découvrirez alors l’étape 3  de ce processus historique dont on vit lesconséquences aujourd’hui.!



[1] Voir : Eloge d’un nouveau droit de l’homme :la polygamie, sur ce même blog.

[2] Propos recueillis par Alain Peyrefitte dans : C'était de Gaulle le 5 mars 1959 et citéspar B. Stora, in Le transfert d'unemémoire, Ed. La découverte, 1999

[3] Dixit Georges Freche

[4] Voirle dernier dérapage du maire de Montfermeil reproduits dans un article du 9juin 2006 du quotidien israélien Haaretz, ont il aurait, entre autres, déclaréà propos d’une partie des immigrés de Montfermeil : « C’est eux ou nous. S’ils gagnent, nous sommes foutus. Je suis français,catholique et fier de l’être, et je n’ai aucune intention de vivre comme undhimmi dans mon propre pays. » « C’estune guerre entre l’islam et la culture occidentale. La France et l’Europeentière sont en danger, a également ajouté Xavier Lemoine. Si nous échouons àcomprendre l’extension de la menace musulmane, nous sommes en grand péril.»


Albert Ali Lefranchouillard
Rédigé par Albert Ali Lefranchouillard le Mardi 25 Juillet à 10:32

Rencontre singulière et pour le moins inattendue, avec vous M.Albert-Ali génie franchouillard, pour une interview déroutante.
Vous avez accepté de vous manifester et surtout – fait extrêmement rare – décidé de braver l’interdit et de parler avec un humain.


Interview d’un djinn islamiste… Ou la réhabilitation du sarasin.

Ma  première question, pourquoi moi ?

 

Disons que parler n’est pas chose complexe dans notre univers.

Nous sommes comme vous les humains, capables de raison, doués de la faculté de penser et dotés du libre arbitre. Nous sommes donc soumis aux mêmes règles de l’univers voulues par notre Seigneur Maître de la Création.

Toutefois il nous est, dans l’absolu, défendu de communiquer avec vous ; cependant les événements et la situation en  France sont si préoccupants, que je me sens dans l’obligation d’intervenir au risque d’être puni.

Par ailleurs le choix de l’interlocuteur, vous, ainsi que mon statut, facilitent notre échange.

 

Je possède en effet votre corps depuis très longtemps ; comme chaque être humain, vous êtes accompagné d’un génie chargé de nature, d’être celui qui vous inspire et vous tente.

En ce qui me concerne, en vous habitant, je suis en partie immunisé contre les dangers liés à l’interdit de communiquer avec les humains.

De plus, lorsqu’on habite l’un d’entre vous, on puise dans son énergie ectoplasmique pour voyager dans l’espace temps.

Or, en ce qui vous concerne, disons que je suis bien doté : le niveau d’énergie ectoplasmique étant proportionnel au degré de folie de l’individu possédé, avec vous M. Abdelaali, je peux remonter à l’époque de Cro-Magnon.

 

Votre réponse est plutôt déroutante et inhabituelle, néanmoins allons à l’essentiel : qu’est ce qui vous paraît si préoccupant dans notre pays ?

 

J’observe depuis longtemps votre monde d’humains, en particulier dans votre pays et je constate depuis quelques années une déliquescence totale des mœurs et des valeurs, qui ont été à l’origine des mythes fondateurs de la République.

La distance se creuse entre les dirigeants d’en haut et les populos.

Depuis longtemps déjà, vos dirigeants vous méprisent et considèrent que vous ne pouvez pas comprendre, qu’ils doivent décider pour vous, que c’est trop compliqué pour vous à Bruxelles et à Maastricht, qu’il faut laisser les « experts » décider ; ils l’ont avoué depuis peu, en résumant si brillamment ce fossé : « France d’en haut et France d’en bas », qu’ils disent !

Preuve de cette logique capacitaire, ils vous ont sommés de voter la « Constitution Giscard » sans discuter.

Avant chaque échéance électorale, ils se rendent un peu plus sympathiques et se disent proches de vous. Mais ils souhaitent simplement, que vous vous cantonniez à congratuler le meilleur d’entre eux, à la télé et dans les magazines people, que votre rôle soit de mettre le bon bulletin dans l’urne, permettant ainsi au système de tenir.

Pour cela, ils n’hésitent pas à user de tous les moyens dissuasifs pour vous empêcher de penser, en réveillant les vieux fantômes français, xénophobie et racisme, peur de l’immigré et du reste du monde, crainte absolue de la précarité, qui amènent un homme à rentrer chez lui le soir, avec une seule envie : tout oublier, bière à la main, devant une émission suffisamment abrutissante pour lui ôter toute envie de penser, donc d’avoir peur !

Mais ce système d’abrutissement généralisé, organisé par des animateurs télé et show-biz, commence à trouver ses limites. On arrive à l’extrême, celui de la télé réalité puis …

Les premières années de ce troisième millénaire ne sont finalement pas très réjouissantes, j’ai de profondes craintes sur les ratonnades qui s’annoncent !

 

Vous parlez de ratonnades, cela me semble excessif, quant à la « distance » des hommes politiques avec le peuple, on peut la constater depuis longtemps, elle n’est pas nouvelle, on s’en plaignait déjà sous les premières Républiques.

N’exagérez vous pas un peu ?

 

Pensez vous qu’il soit normal qu’en République, un homme politique présente sa candidature, en déclarant qu’il le fait pour lutter contre une prétendue « islamisation » de la France ?

Qu’aurions nous dit, si il avait affirmé vouloir lutter contre la « judaïsation rampante » de la société française, le scandale aurait été évident !

Ces propos ressemblent étrangement à ceux qui étaient proférés en toute impunité, juste avant que ne résonne le bruit des bottes dans les années 30.

Le bruit des bottes, précédé à l’époque par l’odeur nauséabonde des propos judéophobes, de l’entre deux guerre.

Ce genre de propos – aujourd’hui dans leur version « islamophobe » - vomis en toute impunité aux heures de grande écoute, avec la participation complice des médias majoritaires, ont toujours été annonciateurs de mauvaises nouvelles sous nos cieux républicains !

 

Pensez vous aussi, qu’il soit raisonnable que ce même homme politique demande l’envoi de l’armée et le tir à balles réelles, dans les lieux de révolte populaire ?

Militarisation du discours qui se fait aujourd’hui au féminin, où elle se veut plus « Royal » que le roi de Vendée !

Pourtant, personne n’a osé parler de répression militaire quand les routiers ou les agriculteurs ont manifesté, souvent avec plus de violence et de coûts pour la communauté nationale !

 

Quand je parle de ratonnade, j’affirme qu’il est historiquement vérifié que les minorités sont à chaque fois stigmatisées par des propos qui légitiment ensuite les actes et cela finit indubitablement par les camps et demain, le jeune sauvageon des banlieues portera le croisant vert à la place du crocodile Lacoste.

Pour cette raison, je suis inquiet de l’évolution de notre société, où les jeux de télé réalité vont peu à peu vers plus de sang et plus de pleurs, pour arriver à la mise en scène de jeux du cirque à la romaine version Mad Max.

La violence devient le cadre ambiant, la référence générale des jeux télé aux banlieues qui brûlent.

Avons nous la certitude que dans 10, 20 ou 40 ans, une crise majeure en Europe n’amènera pas les bottes du Chouan et la blonde fille à papa au pouvoir, eux qui rêvent tous deux d’une garde républicaine de 500 000 hommes composée essentiellement de « patriotes », suivie d’une ratonnade géante en Europe, dans la pure tradition Reconquista ?

Les patriotes auront sûrement des blousons noirs et le crâne rasé !

 

Ce sont des considérations inquiétantes et qui paraissent tellement impossibles ; qu’est ce qui vous semble dysfonctionner dans notre pays et vous persuade d’un avenir si sombre ?

 

La fin d’une illusion, la fin de l’illusion que la République assimilationniste était le modèle absolu, la fin d’une vision prétendue universaliste, mais qui n’a jamais dépassé le stade des écrits qui en faisaient l’éloge.

La fin de ce que Balladur a appelé « l’illusion jacobine », la fin de cette chimère où l’on pensait que notre modèle pouvait apporter égalité, fraternité et liberté à tous !

 

Je m’explique :

 

Tant que chacun était convaincu que Marianne, notre mère à tous – « qui êtes aux cieux républicains » - était le creuset qui permettait à chacun de se fondre et de devenir finalement l’égal de l’autre en droits ; tant que les élites pouvaient tenir ce discours, faire espérer en cette utopie et tant que les populos pensaient que c’était vrai, alors un certain équilibre était trouvé.

On espérait en la France, on croyait au mythe assimilationniste, on pensait que le racisme finirait par disparaître quand Le Pen prendrait sa retraite, que l’économie irait mieux et qu’enfin tout le monde se retrouverait derrière le pays comme un seul homme, comme lors de la coupe du monde en 1998 et 1 et  2 et 3  zéro !

Or que s’est-il passé durant ces 40 dernières années ?

Quatre étapes résument le scénario qui s’est déroulé sous nos yeux, sans qu’on s’aperçoive de la curieuse mutation qu’a subie notre pays !

 

Etape 1 : Fin des colonies : quelles en étaient les véritables motivations ?

Etape 2 : Motivations qui expliquent la suite : une arrivée massive des immigrés « ex-indigènes » : pourquoi cette immigration là ?

Etape 3 : La conclusion du cycle migratoire se fait par une décision inouïe et complètement absurde : le regroupement familial ;  quels mystères se cachent derrière cette décision anti-politique ?

Etape 4 : Et pour terminer, une France nouvelle est née ; assiste-t-on alors à l’écriture d’un nouveau contrat social ?

 

Expliquez nous ce que vous entendez par cette chronologie pour le moins insolite ?

 

 

Je vous raconterais cette contre-histoire de la dame au bonnet rouge au prochain article

Albert-Ali génie franchouillard

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Albert Ali Lefranchouillard
Rédigé par Albert Ali Lefranchouillard le Jeudi 6 Juillet à 11:45