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Points de vue

Italie : chrétiens et musulmans unis pour défendre la liberté de changer de religion

Rédigé par Martino Diez | Mardi 22 Août 2023 à 10:00

           

Peut-on être tolérant et convaincu ? Musulmans et catholiques italiens, réunis à Turin pour leur rencontre annuelle, sont revenus sur le thème de la liberté religieuse. Dans une nouvelle perspective qui trouve écho ici à l'occasion de la Journée internationale consacrée aux personnes victimes de violences en raison de leur religion ou convictions le 22 août.



Musulmans et catholiques d'Italie étaient réunis pour leur 4e rencontre annuelle à Turin en juin 2023. © Bureau pour l’œcuménisme et le dialogue interreligieux de la Conférence épiscopale italienne
Musulmans et catholiques d'Italie étaient réunis pour leur 4e rencontre annuelle à Turin en juin 2023. © Bureau pour l’œcuménisme et le dialogue interreligieux de la Conférence épiscopale italienne
Lorsque deux interlocuteurs parlent du même sujet plusieurs fois et dans différents lieux, cela signifie qu’ils le considèrent comme important, mais également qu’ils ne sont pas encore parvenus à un consensus total. C’est sans doute le cas pour la question de la liberté religieuse dans le contexte des relations islamo-chrétiennes. Fréquemment évoquée, elle reste une source de tensions potentielles.

Dans le sillage de la tradition juridique médiévale, elle est généralement comprise par les musulmans comme liberté de culte, et l’accent est alors mis sur les limites auxquelles on est souvent confronté en Europe quant à l’exercice de ce droit. Pour les chrétiens, en revanche, elle inclut la possibilité de la conversion, qui est exclue dans presque tous les pays à majorité musulmane et même passible de peine de mort.

La récente rencontre nationale islamo-catholique, qui s’est tenue à Turin le 24 juin dernier à l’Arsenal de la Paix, a cependant marqué une nouveauté et un tournant possible. Les principales associations de l’islam italien (Confédération islamique italienne, UCOII et CoReIs, Institut Tevere) ont en effet partagé avec l’Office national pour l’Œcuménisme et le Dialogue interreligieux de la Conférence épiscopale italienne un « texte boussole » prenant explicitement position en faveur de la liberté de conscience, y compris « la liberté de changer de religion ou de conviction », comme l’affirme l’article 18 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme. Et – plus intéressant encore – il l’ont fait dans une perspective non relativiste. Que signifie cette dernière précision et pourquoi est-elle importante ?

Repenser le rapport à la vérité

Comme l’explique le document, la liberté religieuse peut être défendue à partir d’une conception faible, qui renonce par principe à la question de la vérité. Selon cette ligne de pensée, les différentes expressions religieuses sont interchangeables, soit parce qu’aucune d’elles ne réussirait à exprimer pleinement l’Absolu, qui serait toujours au-delà des symboles qui le représentent, soit, plus radicalement, parce que la question de la vérité n’aurait (ou n’aurait plus) aucun sens.

Italie : chrétiens et musulmans unis pour défendre la liberté de changer de religion
Dès lors, changer de foi serait une simple question d’inclination : un choix qui ne peut être forcé en aucune manière, mais qui serait également purement subjectif et, au fond, dépourvu de contenu. L’apologue des trois anneaux dans la pièce de Gotthold Lessing, Nathan le Sage (1779), exprime cette conviction avec la force de la littérature. Un père laisse trois anneaux à ses trois fils qu’il aime tous également. L’un des anneaux est vrai, les autres sont deux copies de l’original, mais tellement bien faites qu’il est impossible de les distinguer. Chacun des trois fils doit se contenter d’agir comme si son anneau était le vrai.

Le fait que cet apologue se trouve déjà dans Le Décaméron de Boccace montre que cette approche que je qualifierais de relativiste n’est pas née avec les Lumières, mais qu’elle existe déjà dans la pensée médiévale – dans l’islam, par exemple, dans la réflexion ismaélite, qui pourrait être l’origine ultime de la nouvelle de Boccace – comme une tentative de fournir une réponse rationnelle au « scandale » de la diversité religieuse. Cela n’enlève rien au fait que c’est la sensibilité moderne et post-moderne qui a rendu cette position dominante, au moins en Occident.

Toutefois, comme l’écrit Benoît XVI dans ce qui est presque son testament spirituel Ce qu’est le christianisme, « la foi perd son caractère contraignant et son sérieux si tout s’y réduit à des symboles au fond interchangeables, capables de renvoyer seulement de loin à l’inaccessible mystère du divin ». En ce sens, un exercice utile consisterait à essayer de lire la crise ecclésiale actuelle à partir de cette hypothèse, qui investit le cœur de la foi chrétienne, et non de celle, aujourd’hui dominante, qui explique le recul du christianisme en Occident essentiellement comme un problème de mauvaise communication et de normes morales à revoir.

Mais pour rester sur notre sujet, il semblerait qu’avec cette réflexion, on soit condamné à une alternative peu satisfaisante. Ou la liberté religieuse, mais au prix de la vérité – déjà dans Boccace, le père ne peut plus révéler quel est l’anneau original parce que, détail d’une incroyable modernité, presque nietzschéen, il est mort. Ou bien on pourrait opter pour la vérité et affirmer que l’erreur ne peut pas être mise objectivement sur le même plan que le vrai. Mais dans un contexte où circulent différentes hypothèses sur ce qu’est le vrai et ce qu’est l’erreur, cette position semblerait ouvrir la porte à un conflit endémique et destructeur.

© Bureau pour l’œcuménisme et le dialogue interreligieux de la Conférence épiscopale italienne
© Bureau pour l’œcuménisme et le dialogue interreligieux de la Conférence épiscopale italienne

Savoir reconnaître la dignité de la personne devant soi

Dans le sillage du concile Vatican II, le texte boussole rompt avec cette fausse alternative en adoptant une anthropologie plus fine. « Le dernier fondement, et le plus solide, de la liberté religieuse – affirme le document – n’est pas (…) l’indifférence du “chacun à son goût” » ou le pessimisme résigné du “qui connaîtra jamais la vérité ?”, mais l’amour de l’autre ». Cet autre conserve sa dignité de personne, même lorsqu’il adhère à une opinion erronée ou partiellement vraie car, s’il est vrai que l’erreur n’a pas de droits, la personne garde sa dignité même lorsqu’elle se trompe, fût-ce totalement.

Celui qui connaît le parcours tourmenté qui a conduit à l’acceptation du principe de la liberté religieuse par le concile Vatican II ne trouvera rien de nouveau dans ces lignes. Ce qui est nouveau, en revanche, c’est que ce raisonnement ait été repris précisément par les principales associations musulmanes en Italie.

Avec beaucoup de réalisme, les rédacteurs du document font observer que, même si le chemin du dialogue a rendu les chrétiens et les musulmans plus attentifs aux richesses qu’ils ont en commun, toutes les différences entre les deux religions ne peuvent pas être harmonisées. Les trois anneaux ne sont pas si indiscernables. Sans doute, à côté des éléments d’accord qui sautent tout de suite aux yeux (Dieu un et unique, créateur et juge, réalité personnelle qui se révèle aux hommes), se trouvent de nombreux autres aspects, apparemment différents, qui peuvent être compris comme complémentaires à travers l’étude, le dialogue et le partage spirituel.

Toutefois, il reste également des points non secondaires sur lesquels un accord au niveau dogmatique ne semble pas possible, ni même, au fond, désirable, car il conduirait à un déisme assez insipide. Pour les signataires du document, cette inconciliabilité des points de vue n’est pas un problème. « La liberté religieuse que nous proposons – écrivent-ils, – ne se fonde pas sur un accord entre nous en matière de dogme ou de loi, ou sur un agnosticisme, mais sur le fait que nous reconnaissons la dignité de la personne que nous avons devant nous ».

Il n’est donc pas exagéré d’affirmer que le document présenté à Turin emprunte une voie nouvelle par rapport aux précédentes tentatives de discuter de la liberté religieuse et de conscience en termes purement juridiques ou sur la seule base des références scripturaires. Potentiellement, c’est un développement de grande importance. En effet, la liberté religieuse est le fondement de toutes les autres libertés et une société qui ne la reconnaît pas ou qui la limite à la seule liberté de culte ampute gravement les énergies des personnes et des communautés. « Nous désirons, écrivent les catholiques et les principales associations islamiques italiennes, que ces énergies soient libérées ». Comment ne pas leur donner raison ?

*****
Docteur en études orientales à l’Université Ca' Foscari de Venise, Martino Diez est directeur scientifique de la Fondation internationale Oasis et enseignant-chercheur en langue et littérature arabe à l'Université catholique de Milan. Première parution de l’article dans Oasis le 17 juillet 2023.




Réagissez ! A vous la parole.

1.Posté par Rond LEDARON le 22/08/2023 18:04 | Alerter
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L'Islam étant la dernière mise à jour du logiciel que le Créateur a voulu pour l'Homme, logiciel qui réaffirme le pourquoi de la vie humaine qui est d'adorer son Seigneur comme les différents prophètes envoyés par Allah Soubhanou le rappellent. L'Islam , contrairement aux religions antérieures, reconnaît tous les prophètes sans exclusive. En effet, les juifs ne reconnaissent pas Jésus ( la paix sur lui) et les chrétiens ne reconnaissent pas Mohamed ( paix et miséricorde sur lui). C'est la raison pour laquelle un musulman ne peut que régresser en se convertissant au christianisme. Mais nous savons Qu'Allah soubhanou a donné à ses créatures la faculté de choix, faut il que ces dernières le fassent en connaissance de cause.

2.Posté par François CARMIGNOLA le 23/08/2023 14:07 | Alerter
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@ledaron utile et intéressante description du point de vue islamique orthodoxe quant à la (stricte) hiérarchie entre les religions du livre, le terme de "régression" désignant avec précision ce qui justifie pour encore pas mal de musulmans la peine de mort pour apostasie, pomme de discorde (ici de concorde) entre l'islam jaloux, et toutes les autres religions...

On appréciera aussi le choix que notre savant respectueux laisse libre, le "en connaissance de cause" étant suave mais, reconnaissons le, légèrement menaçant.

3.Posté par Patrice le 23/08/2023 22:03 | Alerter
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naïvement, je croyais que ce qui prime en religion est la spiritualité plus que les personnes ?
Si tel est le cas, en quoi un musulman perdrait quelque chose en changeant de religion ?

4.Posté par Rond LEDARON le 24/08/2023 05:21 | Alerter
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@françois,
Celui qui utilise le Windows 11, va t'il revenir au Windows 1.0 ou au 2000 ?
Que nenni, en théorie.
Le dernier logiciel pour les humains étant l'islam, revenir aux précédents serait un non sens. La régression est la croyance au dogme trinitaire hérité du Concile de Nicée en 325 ( de l'ére chrétienne), croyance réfutée au sein même du Coran ( c'est d'ailleurs la différence majeure qui nous sépare).
Connaissant ton état d'esprit couplé à une ultra sensibilité chronique, je ne suis pas étonné de te sentir menacé.
Merci encore de me faire rire.

5.Posté par Rond LEDARON le 24/08/2023 05:26 | Alerter
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@Patrice,
Au delà de la spiritualité se pose la question d'être en adéquation avec les textes révélés.
La perte du musulman est de revenir à des considérations polythéistes en adorant : le père, le fils et le saint esprit, concept quelque peu tarabiscoté quand à la volonté de se prétendre monothéiste.
Le musulman à donc tout à perdre d'autant qu'il reconnaît tous les prophètes, contrairement aux religions précédentes.

6.Posté par François CARMIGNOLA le 24/08/2023 22:39 | Alerter
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Ravi de vous faire rire, mais on a le droit de se sentir mal à l'aise avec ceux parmi les musulmans qui réclament la peine de mort pour ceux qui veulent revenir à Windows 95... Vous n'en faites pas partie, cela est sûr, mais on sent tout de même une forme de réticence à considérer acceptable ce choix-là.

Quant à la trinité chrétienne, considérée comme du polythéisme, et bien nous sommes là dans une discussion théologique dont l'une des conclusions possibles est que les deux conceptions du Divin sont incompatibles, les deux "Dieux" étant en fait fondamentalement différents, ce qui obère complètement votre théorie de l'englobement des traditions et ruine donc votre progressisme.
Par ailleurs passer d'une croyance à l'autre serait alors infiniment plus coupable et c'est d'ailleurs ce qu'on sent à vos dires.

7.Posté par Rond LEDARON le 26/08/2023 06:10 | Alerter
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Sérieusement @françois, tu me fais souvent rire à ton corps défendant, il faut le dire . La redondance de tes accusations à l'encontre des frères, tes supputations, tes théories tarabiscotées, ta propension à édifier ton nid chez ceux que tu combats font de toi un personnage haut en couleur dont nous nous prenons quand même d'affectation. Il faut dire que le second degré aide à faire perdurer nos joutes.
Passons aux choses sérieuses :
Peux tu me citer en France une personne adepte de la peine de mort pour apostasie ? Un frère de préférence.
Question théologie, comment appelle on le fait d'adorer trois dieux ? Pour la petite histoire, le concept trinitaire adopté au concile de Nicée en 325 n'est qu'un copié collé d'un dieu perse romanisé, Mithra, troisième de trois, venu rachetet les péchés des Hommes. Le fameux concile fut de début de la fin pour les nestoriens et autres groupes chrétiens qui s'attachaient au véritable monothéisme et considéraient Jésus ( la paix sur lui) comme un envoyé de Dieu ce qui répond à ton affirmation sur deux dieux, affirmation en relation avec le catholicisme apostolique romain ( post concile). Nous musulmans considérons que le Créateur est le même pour tous,c'est la raison pour laquelle bon nombre de personnes évoluent en se convertissant à l'islam, suite logique des religions précédentes, qui, entre nous ont annoncé la venue du dernier des prophètes Mohamed ( paix et bénédictions sur lui), mais nous n'allons pas entrer plus avant dans une disc...  

8.Posté par François CARMIGNOLA le 31/08/2023 17:46 | Alerter
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Mon cher Ledaron, aucune expression publique en France n'a réclamé la peine de mort pour apostasie, ni bon frère, ni bonne soeur. Par contre, comme vous le savez, l'apostasie est passible de la peine de mort en Arabie Saoudite et aux Emirats, entre autres. La question est discutée mondialement, vous le savez bien et c'est l'objet de l'article que nous commentons.

La question de la trinité a donné lieu, vous avez raison à un certain nombre de discussions au sein du catholicisme en formation mais son élaboration bien qu'insérée dans son contexte historique, comme tous les concepts religieux, reste plutôt original (votre théorie du copier coller de Mithra est totalement fantaisiste).

Bien qu' hélas méconnue de nos jours (et vous le démontrez en croyant qu'il s'agit d'un polythéisme, comme beaucoup) cette belle conception a l'immense mérite de résoudre au prix d'une acrobatie intellectuelle faisant appel au mystère divin (mais en cela elle n'est pas seule), la question de la présence du divin sur terre. Rien que ça...

Car le Dieu monothéiste même fournissant une loi comme le Dieu juif, reste trop lointain, même rendu plus proche par un livre incréé (conception discutée elle aussi) ou par un prophète certes estimable mais trop humain et dont l'héritage disputé reste incertain.
Car ce qui reste du passage sur terre d'un être divin, la troisième personne chrétienne, c'est-à-dire l'Esprit, résout aussi le problème de l'héritage historique de la révélation, sous la forme de ce qui a...  

9.Posté par Rond LEDARON le 05/09/2023 22:19 | Alerter
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@françois,
Apostasier son pays en tombant dans les bras d'un autre, surtout en tant de guerre est traité de qu'elle façon déjà ?
La trinité resucée des mythologie d'antan, n'est que du recyclage permettant d'inclure les croyances polythéistes antérieure. Il en va de la date de naissance supposée de Jésus (la paix sur lui) qui correspond au Solstice d'été, comme de son rachat des péchés de l'humanité à l'égal du dieu Mithra.
Donc la trinité serait un monothéisme ???
1+1+1=1 ??? Les mathématiques n'y comprennent plus rien.
Dieu le père, le fils et le Saint Esprit, concrètement Jésus ( la paix sur lui) serait le père de lui même et le fils de lui même ???
Marie ( la paix sur elle) créée par Dieu.... enfante Dieu ??? Normal que ce concept tarabiscoté fait fuir les ouailles vers l'islam, grand nombre d'entre eux soulignant des incongruités qui dépassent la logique et l'entendement,beaucoup d'autres sortent du christianisme pour devenir athée, tels sont les effets d'une doctrine inventée en 325.

10.Posté par Lévy le 05/09/2023 23:13 | Alerter
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Que du blabla, aucune référence dans le Coran quant à l’apostasie et la sourate Al kafirun démontre exactement le contraire . Le reste n’est que création de faux hadith ( création humaine plus de 2 siècles après la naissance de l’Islam ) bien mis en avant par la secte wahabite ( et donc non musulmane) mis au pouvoir par les américains pour toutes les raisons que l’on sait .

Quant à la trinité , elle n’est qu’une création politique , qui a mis 5 siècles à être imposée par l’Eglise et non la Bible . ( voir l’excellent livre ´ ´comment Jesus est devenu Dieu’ ) .

Bref encore une fois beaucoup de raccourcis , de mensonges et surtout d’inepties intellectuelles. Normal pour un petit facho islamophobe sans aucune culture religieuse mais qui se croit un grand intellectuel.. bref un pauvre type qui passe son temps à faire le King sur internet mais qui longe les murs dans sa misérable vie quotidienne..

Si c’est tout ce que vous avez à proposer pour nuire à l’Islam, c’est un peu faible même très faible… et surtout redondant ! C’est à cela que l’on voit cette jalousie maladie contre l’Islam que bon nombres d’idiots entretiennent ( et je vous le concède alimenter également par de nombreux musulmans ) . Et ne venez pas avec vos ´ il faut tuer tous les juifs ´ … , car face à un sachant vous vous ferez retourner en deux secondes , mais heureusement internet vous permet de le faire , Internet ce haut lieu de l’intelligence humaine .

c’est comme le Talmud ( Jesus est un singe et Marie une prost...  

11.Posté par Lévy le 05/09/2023 23:25 | Alerter
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Et juste pour que vous ne perdez pas votre temps , je ne lis jamais les réponses à mes commentaires. Je n’ai pas cet orgueil de vouloir à tout prix le dernier mot surtout avec les gens malhonnêtes et sans aucun bagage théologique. Vous aurez toute votre éternité post mortem pour vous morfondre . Par contre je vous sais très exciter de répondre puisque que vous passez votre vie sur ce site , on se demande bien pq d’ailleurs , enfin j’ai la réponse personnellement mais la vie m’a appris de ne pas perdre mon temps avec des ignorants méchants et malhonnêtes. Internet n’étant finalement qu’une plateforme pour tous les refoulés à la vie misérable banale et sans aucune profondeur spirituelle . Rien que la promotion de votre minable site internet en guise de signature montre tout la misère du personnage . Bisous mon cher

12.Posté par François CARMIGNOLA le 06/09/2023 08:06 | Alerter
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@ledaron vous voulez suggérer "douze balles dans la peau" ? Et bien c'est le sujet de la discussion et vous semblez prendre parti.

@levy (j'imagine que vous vous prenez pour un pantalon, on pourrait vous nommer 501) : vous devriez relire le Coran, on en trouve d'excellentes traductions en français.
Ainsi 16/106 " Celui qui dénie Dieu après avoir cru - hormis celui qui a subi une contrainte mais dont le cœur est resté affermi dans la foi, celui dont le cœur se complaît dans la mécréance, la colère de Dieu est sur lui et un châtiment terrible l'atteindra."
Il y a donc des allusions très claires à l'apostasie dans le Coran et encore une fois, cela fait l'objet de débats et d'interprétations variées.

La trinité est effectivement d'élaboration complète assez tardive, mais on trouve dans les évangiles de quoi nourrir l'idée. Jésus se proclamait "fils de Dieu" et a clairement indiqué qu'un "paraclet" viendrait aider les hommes après son départ.
Le christianisme est-il un monothéisme ? La question se pose et la réponse est complexe. Je dirais qu'en tout cas, le Dieu chrétien est très différent du Dieu islamique et ne communique pas avec les hommes de la même manière...

C'est la deuxième fois que vous parlez de "longer les murs": j'imagine que vous, vous marchez dans la rue en murmurant des malédictions antisémites ce que vous prenez pour du courage et qui n'exprime que vos obsessions. Pour ce qui concerne vos insultes, du moment qu'elles utilisent le vouvoiement...

Maintenant je n'...  


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