L’Unesco a attribué le Prix mondial de la liberté de la presse aux journalistes palestiniens. La cérémonie de remise du prix a lieu le 2 mai en marge de la Conférence mondiale sur la liberté de la presse à Santiago, au Chili. Par ce geste, l’organisation a tenu à « adresser un message fort de solidarité et de reconnaissance » aux professionnels de la presse qui, depuis plus de six mois, couvrent la guerre à Gaza depuis l’attaque du 7 octobre 2023.
« En ces temps d'obscurité et de désarroi, nous souhaitons adresser un message fort de solidarité et de reconnaissance aux journalistes palestiniens qui couvrent cette crise dans des circonstances dramatiques. L’humanité a une dette immense à leur égard, pour leur courage et leur engagement en faveur de la liberté d'expression », a signifié Mauricio Weibel, président du Jury international de professionnels des médias.
« Le Prix UNESCO/Guillermo Cano rend hommage chaque année au courage des journalistes qui font face à des circonstances difficiles et dangereuses, a rappelé Audrey Azoulay, directrice générale de l'UNESCO. Ce Prix nous rappelle encore une fois cette année l’importance d’une mobilisation collective afin que les journalistes, partout dans le monde, puissent continuer à mener leur travail essentiel d’information et d’enquête. »
Plus de 130 journalistes et employés de médias ont été tués à Gaza depuis le 7-Octobre, selon le Syndicat des journalistes palestiniens. Cette annonce de l’Unesco est intervenue la veille de la Journée mondiale de la liberté de la presse, célébrée chaque année le 3 mai. « La Palestine est devenue le pays le plus dangereux au monde pour les professionnels des médias avec plus de 100 reporters tués en six mois à Gaza par l’armée israélienne depuis le 7 octobre 2023 et au moins 22 dans l’exercice de leurs fonctions », a alerté Reporters sans frontière (RSF) à l’occasion de la publication de son classement mondial de la liberté de la presse.
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